Cette histoire s'est déroulée il y a maintenant quelques années alors que je n'étais encore qu'étudiant.
Je devais avoir entre 18 et 20 ans lorsque que j'ai vécu cette expérience.

Etudiant peu fortuné avec un loyer à payer pour poursuivre mes études supérieures, je me devais d'aller bosser en intérim pour financer ma scolarité.
N'ayant plus mes parents pour m'aider, je faisais les postes en usine en tant que cariste les weekends et vacances scolaires.

J'avais le look de tous les jeunes de cette époque, survêtement et baskets de marque. L'été le short était de rigueur.

Alors que je cherchais à me faire coiffer les cheveux à moindre coût, un collègue de l'usine me conseilla un coiffeur de la ville pas cher (8€ à l'époque).
M'expliquant que c'était un ancien, et qu'il allait toujours se faire coiffer là bas depuis des années.
Ni une, ni deux, je débarque chez ce coiffeur courant de l'été.
Je rencontre un type assez âgé, pas loin de la retraite je présume.

Le salon de coiffure était assez ancien, on parle d'un salon de coiffure dans le fin fond de la campagne.

Je m'installe, j'explique au commerçant que je viens de la part de mon collègue, et il commence à me couper les cheveux. Coupe toujours très courte, avec un peu de gel, bref la mode de cette époque.

Tout se déroule pour le mieux, bien que je trouve que ce coiffeur prend beaucoup de temps avec moi pour une simple coupe tondeuse ciseaux.

Son attitude me semble cependant par moment un peu étrange, en effet, je trouve qu'il a tendance à placer systématiquement une de ses jambes entre mes cuisse pour me coiffer de face. Etant en short de sport en nylon et ne portant que rarement de caleçon sous mon sort, mon sexe est donc régulièrement en contact avec sa jambe.

je n'y prête pas attention, la première fois, me disant que peut être cette posture n'est que le fruit du hasard.

3 semaines après, je retourne le voir pour une nouvelle coupe. Toujours en short, j'avais déjà oublié l’expérience précédente.

Il recommence à se positionner de la même manière, insistant davantage par moment avec sa cuisse contre mon entrejambe.

La coupe dure, comme par hasard, son souci du détail lui permet de continuer de me chauffer. Ne voyant pas ma compagne de l'époque pendant tout l'été, je suis comme qui dirait un peu à cran. Je commence à avoir une érection, qui dans un short en nylon ne laisse planer aucun doute.
Toujours sans un mot, ni de lui, ni de moi, la coupe se poursuit, avec ma queue tendue comme jama ...

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