Gigi et Nat

Un soir au j’étais tranquille chez moi, il devait être 18h, et je n’attendais personne. Je m’étais mise à l’aise comme j’aime quand je suis seule chez moi, j’avais tout simplement mis une robe légère et très courte (vraiment raz du cul), que je ne mets que chez moi et dessous, rien. Je suis bien comme ça et puis ça m’aide aussi à entretenir ma libido et mon excitation et à chaque fois en allant me coucher, je suis excitée et je fini par me branler soit sur mon lit devant ma glace soit sur mon bidet quand j’ai envie de pisser.
J’avais déjà baissé mon rideau de porte, quand j’ai entendu frapper au volet.
« oui c’est qui ? »
« c’est ta fille Nat »
J’ai ouvert le volet toute surprise de la voir arriver chez moi, c’est quasiment jamais ou du moins jamais seule.
« oui j’étais en bas et puis j’ai dit je peux pas passer devant chez maman sans aller lui faire un petit câlin ».
C’est vrai que j’entretiens des relations proches avec Nat, on est comme qui dirait fusionnelles.
« Assieds toi ma fille, je t’offre quoi à boire »
« Un café sera très bien, mais dis moi je ne t’ai jamais vu dans cette robe, qui te va super bien ? »
« Non je ne la mets que quand je suis ici et toute seule, elle est vraiment très courte, d’ailleurs je vais aller me changer ».
« Alors là, je t’interdit d’aller te changer, tu es trop belle habillée comme cela, et pour une fois que je te vois hyper sexy, je préfère que tu reste comme ça ».
« Heureusement que tu es venue seule, car si ton mari était là je me serais changer, avec toi je suis à l’aise »
« C’est vrai tu as des cuisses magnifiques ».
« Oui peut être, mais tu sais maman y a pas que les mecs qui regardent le cul de belles femmes, moi quand je te regarde je te trouve très belle pour ton âge, très sensuelle, bref y a pas que les mecs qui te regardent »
« Ho ma chérie, tu me flatte et tes compliments me vont droit au cœur, c’est vrai ça me touche que ma fille me dise que je suis belle, et ça me laisse pas non plus insensible »
« Viens ma petite maman, viens près de moi, j’ai envi d’un câlin comme quand j’étais petite fille »
Je me suis approché de Nat, tout contre elle, alors qu’elle était assise sur une chaise, elle a passé son bras autour de ma taille, puis elle a descendu sa main sur ma cuisse nue.
« Maman, je t’aime tu sais »
« Oui ma fille moi aussi, tu as des mains douces »
Nat a commencé à bouger sa main le long de ma cuisse puis tout doucement est remontée sur le côté pour aller sur mes hanches.
« Mais maman, tu ne portes pas de culotte ? »
« Non ma fille ça te dérange ? »
« Pas du tout bien au contraire, je te trouve encore plus belle maintenant que je sais que tu es toute nue sous ta robe . Tu veux bien venir à cheval sur moi pour un petit câlin ma maman chérie »
Je me suis approchée de Nat, je l’ai chevauchée et j’étais face à son beau visage. De son côté, je sentais ses mains parcourir mes fesses nues, et j’avoue que ça me procurait un plaisir intense. J’étais à cheval sur ma fille, nue sous ma robe et je sentais ses mains me caresser, oui je trouvais cela incestueux , mais en même temps extrêmement excitant.
« Tu es très belle toi aussi ma chérie et tes mains me procurent un réel plaisir, tu veux bien m’embrasser ? »
Nos lèvres se sont jointes, puis nos langues dans un baiser torride et dont je me rappellerais toute ma vie. Tout en embrassant Nat j’avais commencé à la déshabiller et je lui embrassais sa belle poitrine nue. Je me suis levée et rapidement je lui ai enlevé tout le reste.
« Tu es belle toute nue ma fille. Viens au bord de la chaise et écarte bien tes jambes, oui comme ça »
Je me suis mise à genoux, j’ai commencé à caresser son minou, puis j’ai passé ma langue sur sa fente et son clito.
« Oui maman, ho c’est bon tu lèche bien, j’en étais sûre que tu léchais comme ça oui ne t’arrête pas »
Nat m’a sauté dessus en mettant ses deux jambes autour de ma taille et en m’embrassant comme une gloutonne.
J’ai senti sa langue sur mon sexe et ses mains qui me caressaient les seins et le cul.
« Oui Nat ouiiii continuuuue hoooo ta langue, tes doigts ouiiii dans mon cuuuul hoooo c’est troooop je viiiiens chérie, je viiiiens »
J’ai joui comme une folle sous les caresses de ma fille. Une fois mes esprits retrouvés, Nat me dit « maman j’ai encore envie que tu me lèches partout »
J’ai pris une banane pour la pénétrer.
Elle avait les yeux fermés, p ...

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