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Ma femme, la salope de la cité (Partie 5 de son journal intime)

Publié par : elena75 le 11/08/2021

Lorsque je rentre le soir, je vérifie dans le panier linge sale les strings de ma femme. Pas de doute, elle s'est encore faite baisée aujourd'hui. Son journal intime me le confirme comme vous allez le lire

"Ma visite dans la loge de monsieur Sissoko remonte maintenant à dix jours et mon envie de sexe est de plus en plus forte. Vers 16h30, alors que je m’apprête à quitter le bureau, je reçois un sms d’Edouard « J’ai une vidéoconférence avec notre succursale des USA qui débute à 17h30, ne m’attend pas avant 20h00. Bises. ». Comme cela m’arrive environ deux fois par mois, je vais donc dîner seule et, comme à chaque fois, je fais me faire un plateau léger à consommer devant la télévision.
Après mon repas frugal, alors que je suis en train de ranger la bouteille d’eau dans le frigidaire, je remarque le superbe concombre qui est dans le bac à légumes. Je ne sais pas pourquoi, mais aussitôt cela me fait penser au sexe du concierge, bien noir mais encore si vert malgré le grand âge de monsieur Sissoko ! Et si j’osais ? Non, cela ne se fait pas !
Après ma douche, j’ai encore une bonne heure avant l’arrivée d’Edouard et j’ai donc largement le temps d’apaiser mon envie de jouer avec mon godemiché. Mais, une fois que j’ai l’objet en main, il me semble aussi rikiki que le sexe de mon mari et bien loin de la taille de celui des jeunes beurs ou du concierge. Tant pis, l’envie est trop forte ! Je me précipite à la cuisine et m’empare du concombre. De retour dans ma chambre, allongée sur le lit simplement vêtue d’une petite nuisette transparente jaune paille, je promène le légume sur ma fente. Le contact du légume encore froid sur ma chatte déjà brûlante est saisissant ; je frissonne. Lorsque je pousse le légume en moi, le froid irradie dans tout mon sexe. Non, je ne vais pas avoir les lèvres gercées car bien vite, le légume se réchauffe. Il est si long que je n’ose pas le pousser trop loin mais bien vite je ressens les premiers effets de cette étrange pénétration. Tandis que ma main droite fait coulisser la chose en moi, je me caresse le clito de l’autre main. Suis-je une dépravée, vais-je devenir une mythomane ? Je n’ai pas trop le temps d’y réfléchir car un violent orgasme m’emporte dans un état second.

Quelques jours passent encore et j’arrive, non sans difficultés, à éviter de me masturber trop fréquemment. Je dois cependant me rendre à l’évidence, j’ai besoin d’un vrai mâle, j’ai besoin de sentir une vraie queue en moi, j’ai besoin de me faire prendre. Mais comment faire ? Je ne vais tout de même pas envoyer un sms à Mohamed en lui demandant de me baiser. Ce serait lui accorder trop d’importance, me rabaisser devant ce jeune loubard et me comporter comme la dernière des salopes. Même si j’ai l’impression d’en devenir une ces dernières semaines, je ne souhaite pas que cela soit trop évident aux yeux de Mohamed.
Le mardi matin, alors que je suis au bureau, je jette un œil sur le dossier de la famille Dahoud afin d’essayer de trouver un prétexte pour retourner à la cité du Maroc. Je vois que tous les documents ont été adressés en recommandé à la commission sociale et que nous avons reçu l’accusé de réception du dossier. Finalement j’ai une idée ! Je prends mon portable et j’envoie un mot à Mohamed « Merci de préciser à votre mère que je passerai jeudi à 17h30 pour lui remettre l’accusé de réception transmis par la commission sociale en charge de l’étude de votre dossier ». Mon message, suffisamment sérieux et officiel, est plus que crédible alors qu’il n’est nullement dans nos habitudes de remettre un tel accusé de réception aux familles. Je ne doute pas que le jeune beur va tenter de profiter de mon nouveau passage chez sa mère, sous un prétexte professionnel à ses yeux, pour m’entreprendre de nouveau sous une forme ou une autre.


Le lendemain matin, sous la douche, je m’épile bien les jambes pour les rendre lisses puis le sexe pour me faire un joli triangle. J’enfile ensuite mes bas les plus fins que j’attache à un large porte-jarretelles rouge. Je mets un mini string qui masque mon triangle de poils pubiens tout en épousant parfaitement la fente de mon sexe. Je choisis ensuite un soutien-gorge dont la fixation est entre les seins. Pour ne pas être trop provocante au bureau et susciter des remarques déplacées ou des interrogations justifiées, je m’habille d’une robe de laine qui m’arrive jusqu’au genoux.
Une fois au bureau, je décide de prendre sur moi pour ne pas aller sur internet voir des vidéos porno. De même, contrairement à ce qui m’arrive chaque jour depuis ma visite chez le concierge, je veille à ne pas me masturber à chaque fois que je vais aux toilettes. Au déjeuner, je suis à table avec trois collègues féminines dont Louane une jeune assistante sociale de 25 ans récemment recrutée. Lors de notre discussion, Louane nous annonce qu’elle se marie très prochainement et que ses copines ont décidée de procéder à son enterrement de vie de jeune fille le week-end prochain. Elle nous explique redouter que ses amies l’entraînent dans une soirée de débauche avec des chippendales et autres jeunes mâles. Cette discussion m’a fort excitée et je fais attention à ne pas trop serrer les cuisses et jouir.
L’après-midi me semble bien long et je me plonge dans un dossier plutôt compliqué pour éviter de penser à mon rendez-vous à la cité du Maroc. Au fond de moi, je me dis qu’en me privant volontairement de jouissance au cours de la journée, mon plaisir n’en sera que plus grand. A 16h45, il est l’heure de quitter le bureau mais, avant, je retire mon string et le glisse dans mon sac à main. C’est la première fois que je suis ainsi, le sexe sans petite culotte, et j’apprécie d’être ainsi offerte aux caresses du vent avant, je l’espère, de l’être à ces jeunes mâles.

Lorsque je me gare sur le parking de la cité du Maroc, ma chatte est déjà toute moite et mon cœur bat la chamade. En entrant dans le hall du bâtiment C, je tombe sur monsieur Sissoko qui se tient debout à l’entrée de sa loge. Est-ce un hasard ou bien Mohamed l’a-t-il prévenu que je venais aujourd’hui rendre visite à sa mère. Il me regarde de ses gros yeux noirs, j’ai l’impression qu’il me déshabille du regard. Il me dit
- Madame Dahoud vous attend déjà, je l’ai vue arriver il y a un bon quart d’heure.
Je lui réponds
- Merci beaucoup. Je monte la voir.
Avec un sourire sournois il me rétorque
- Il y a déjà du monde qui est monté pour attendre !
Quelques instants plus tard, madame Dahoud m’ouvre elle-même la porte lorsque je sonne à son appartement. Mohamed est également là, tout en me regardant des pieds à la tête, il me salue d’un amical
- Bonsoir madame de Trébout. Je suis ravi de vous revoir.
Le petit salaud fait le mielleux mais je devine ses intentions.
J’explique donc que je suis venue lui remettre une copie de l’accusé de réception qui confirme que son dossier a bien été reçu par la commission sociale chargée de l’étudier. Elle m’offre le thé puis, après une dizaine de minutes de papotages, je décide de prendre congé. Mohamed se lève en même temps que moi et dit à sa mère
- Je raccompagne madame de Trébout jusqu’à sa voiture. Faudrait pas que certains la chahutent dans le hall ou sur le parking.
Il pénètre avec moi dans l’ascenseur et appuie sur le bouton du 4ème étage en me disant
- On va s’arrêter quelques instants chez un copain.
Je ne lui réponds pas car n’est-ce pas finalement ce que j’attends !

La cabine s’arrête, la porte s’ouvre et Mohamed m’entraîne dans le couloir de droite qui dessert quatre ou cinq appartements. Nous voici devant la porte 45 que mon accompagnateur ouvre sans même frapper. Nous sommes aussitôt accueilli par de la musique raï à tue tête et une odeur âcre de cigarettes. Une fois la porte refermée derrière nous, Mohamed me dit
- Les parents de Mouloud sont partis au bled en Algérie pour deux mois. Alors notre copain en profite pour inviter toute la bande.
Nous empruntons un petit couloir et débouchons dans un grand salon meublé à l’orientale avec des tapis berbères sur le sol, des lanternes rouges dans les coins, de gros canapés autour la pièce et deux petites tables basses en fer. Une bonne dizaine d’adolescents et de jeunes hommes sont avachis par terre sur des coussins, sur des poufs ou dans les canapés. Certains fument la chicha et d’autres des cigarettes, que je pense être des joints.
Mohamed fait déplacer un jeune et s’assoie à sa place sur le canapé. Il demande à un autre de baisser un peu la musique puis à un autre d’apporter un pouf. Il positionne le pouf collé au canapé entre ses jambes et me fait asseoir dessus en lui tournant le dos. Il pose l’une de ses mains sur mon épaule et l’autre sur ma hanche. Je sens son souffle sur ma nuque. Il dit alors à ses copains
- Bon, nous allons maintenant passer aux choses sérieuses. Sortez tous le ticket qui prouve que vous avez bien payé pour être ici !
Je ne sais nullement si Mohamed est le caïd de toute la cité mais il l’est pour ceux présents dans la pièce car ils brandissent aussitôt un ticket. Je note qu’il est rouge pour certain, bleu pour d’autres et vert pour les derniers.
La situation m’excite, le petit salaud a donc vendu mes charmes à ses petits copains. Non seulement il veut faire de moi sa petite salope mais il veut aussi faire de moi sa pute qu’il vend à ses potes.

Les mains de Mohamed se déplacent dans mon dos et il défait les boutons de ma robe qu’il fait glisser jusqu’à ma taille. Ensuite, il me caresse l ...

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