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Ma femme, la salope de la cité (Partie 4 de son journal intime)

Publié par : elena75 le 04/07/2021

Aujourd'hui, je me suis encore longuement masturbé en lisant la suite du journal intime de ma femme. Quelle salope !! Je ne doute pas que vous allez faire de même en pensant à elle.

"Ce mercredi soir, Edouard doit rentrer plus tard que d’habitude car il assiste à la réunion du conseil syndical de l’immeuble. Comme je sais qu’ils doivent aborder l’affaire du ravalement de la façade extérieure et de l’éventuel remplacement de la chaudière, la réunion risque de durer bien plus longtemps que les autres fois.
Après avoir dîner seule, je m’installe au salon avec ma tablette. Je pianote « Femme mature », « Jeunes beurs » et « Cité » et lance la recherche. Je n’en reviens pas du nombre de sites de rencontre qui m’affichent des petites annonces aux titres plus qu’évocateurs : « Bourgeoise mature cherche jeune beur 20 ans », « Libertine 55 ans cherche jeune rebeu », « Cougar cherche jeunes loubards des cités », « Mature nympho cherche black ou beur bien monté », « Docile et soumise 55 ans cherche jeunes beurs pour plans candaulisme », « Mari offre sa femme à groupe de beurs », …
C’est une révélation de découvrir que les femmes de mon âge sont nombreuses à rechercher et entretenir des relations extra conjugales avec des jeunes des cités quand ce n’est pas leurs maris qui font la recherche pour elles. Moi qui me croyais anormale depuis quelques semaines, je découvre finalement que je ne suis pas une exception. Cela me confirme bien, puisque certains maris sont complices de ces rencontres, que cela n’a rien à voir avec l’amour. C’est purement physique et sexuel, cérébral et peut-être animal ! Je suis vraiment rassurée et, puisque Edouard n’est pas rentré lorsque je me mets au lit, je me fais longuement jouir avec mon sex toy.

Le lendemain matin, après avoir longuement réfléchi, je me décide à mettre un message à Mohamed mais en veillant à faire comme si je m’adressais à sa mère « Je passerai ce jour vers 17h00 pour vous laisser une copie du dossier. Si vous n’êtes pas là, je le laisserai dans votre boite à lettres ». Ne recevant aucune réponse, je me dis que Mohamed est peut-être passé à autre chose et que m’avoir baisée deux fois lui suffit. Si tel est le cas, alors je n’aurai plus à m’interroger sur mon comportement.
Une fois la voiture garée sur le parking, je me dirige vers l’entrée du bâtiment C que je connais maintenant bien. Alors que je pousse la porte donnant sur le hall, je tombe nez à nez avec Mohamed. Il ne semble nullement surpris et me lance
- Bonjour, ma mère n’est pas encore rentrée du travail.
Je lui réponds
- Je te laisse l’enveloppe avec la copie du dossier ou bien je la mets dans la boite à lettres ?
Il a un sourire sournois et me dit alors
- Je ne remonte pas là-haut et la boite ne ferme pas à clé. On va la laisser chez le concierge et il la donnera à ma mère quand elle passera.
Il me demande de le suivre et nous nous dirigeons ensemble vers la loge du concierge. Il frappe à la porte vitrée, une voix puissante nous répond
- Ouais, c’est ouvert !

Mohamed ouvre la porte et me laisse entrer avant de refermer derrière lui. Devant nous se tient un solide black qui doit bien faire près de deux mètres et cent kilos. Il a des cheveux blancs coupés ras, un gros nez épaté, des yeux sombres, une barbe d’au moins trois jours et sa djellaba dessine parfaitement son énorme bedaine qui lui donne presque un air de femme enceinte. Il nous regarde sans rien dire et c’est Mohamed qui parle le premier
- Bonjour monsieur Sissoko, je viens vous voir avec madame comme vous me l’avez demandé l’autre jour.
Je suis un peu surprise de ce qu’il dit car je ne vois pas ce que j’ai à faire avec le concierge de l’immeuble.
Le vieil homme lui répond
- C’est parfait Mohamed, tu peux nous laisser maintenant.
Le jeune homme me prend finalement l’enveloppe des mains et se dirige vers la porte. Le concierge le suit, referme la porte et la verrouille à clé.
Je me demande vraiment ce que je fais là mais l’homme m’impressionne et je reste sans réagir. Il vient vers moi, me prend par le bras et, sans me brusquer, m’entraîne vers un rideau tendu au fond de la pièce. Il écarte le tissu et nous voici dans une nouvelle pièce qui doit être une chambre. Il me dit
- C’est la chambre du veilleur de nuit qui me remplace de 20h00 à 6h00. Moi j’habite au premier étage avec ma femme et mes enfants.
puis il poursuit
- Asseyez-vous ! Faut qu’on parle !
Intimidée, je pose mes fesses sur le bord du lit tandis qu’il tire une chaise à lui et s’assoie juste en face de moi. Il m’observe avec attention, l’iris de ses yeux est aussi noir que sa pupille. Il a un visage presque animal et je constate alors qu’il a de grosses touffes de poils dans les oreilles. Je croise les jambes et serre les bras sur ma poitrine. Je n’en mène pas large !

Il se décide enfin à parler
- Vous savez, cela fait plus de quarante ans que je suis le concierge de cette cité. Les petits jeunes, je les connais bien ; je les ai tous vu grandir ! C’est des branleurs mais ils sont pas méchants !
Ne sachant pas quoi lui répondre, je hoche de la tête et il poursuit
- Je connais toutes leurs combines ! Et je les surveille pour pas que ça dégénère. Faudrait pas que ça devienne la zone dans cette cité, comme ça l’est ailleurs !
Il marque une pause, ses yeux descendent sur ma poitrine puis mes jambes avant de revenir se planter dans les miens. Il reprend
- Je sais tout ce qui se trame à la cité du Maroc, sur le parking, dans le hall, dans les escaliers et surtout dans les caves !
Je ne vois toujours pas où il veut en venir et je m’apprête à me lever pour partir. Il devine mon intention, pose une main sur l’un de mes genoux et me lance
- Bougez pas p’tite dame. C’est là que ça devient intéressant !
Il semble satisfait de son effet et continue
- L’autre jour, je faisais une ronde au deuxième sous-sol et je vous ai aperçue entrer dans cette cave avec Momo et son pote Djamal. Je suis resté un bon moment derrière la porte et je vous ai entendu. Ça été chaud ! Ils vous ont bien fait couiner !
Avant que je puisse répondre quoi que ce soit, il enchaîne
- Je connais bien l’endroit. Ils y emmènent régulièrement des filles, des jeunes et des moins jeunes. Ils appellent ça «Leur cave à meufs » ! Une fois que vous êtes repartie à votre voiture, je les ai coincés tous les deux pour avoir des explications et Momo m’a montré des photos. Il m’a dit que vous étiez un sacré coup !
Je réussis à répliquer
- Non, ce n’est pas ce que vous croyez, ils m’ont …
Il me coupe la parole et me lance
- Vous inquiétez pas ! Je n’enverrai pas les photos au service social, ça les regarde pas ! Oui, je me suis renseigné auprès de madame Dahoud pour savoir qui vous étiez.
Voilà donc où il voulait en venir ! Je commence à comprendre son intérêt !

Me regardant toujours droit dans les yeux, il commence à remonter le bas de sa djellaba tout en restant assis. Il me sourit
- Oui, je vois que vous avez compris ! Je garde tout ça pour moi et vous pourrez revenir dans la cité comme vous voudrez. Mais on va se faire un petit plaisir tous les deux.
Sa djellaba est maintenant remontée suffisamment haut pour que je découvre le sexe qui pend entre ses jambes. On dirait un énorme tuyau noir tout dégonflé mais aux dimensions impressionnantes. Le rose de son gland circoncis tranche avec la noirceur de sa hampe, ses bourses pendulent en dessous, on dirait comme une sorte de gros animal endormi.
Il écarte ses jambes et me dit
- Si vous avez bien joui avec ces deux jeunes, vous allez voir combien ça va être meilleur avec moi. Allez approchez-vous ! J’ai vu sur les photos que vous sucez bien !
Ce gros bonhomme me répugne mais je ne peux pas détacher mon regard de son sexe. Une douce chaleur envahit mon bas-ventre et ma chatte commence à devenir humide. Tous les efforts que j’ai faits ces derniers jours pour oublier mes étreintes dans la cave avec les deux jeunes beurs s’évanouissent d’un seul coup. Je repense à toutes ces annonces lues sur internet, à toutes ces femmes qui osent clairement afficher leurs envies de sexe et de luxure. Oui, en un instant, j’oublie la femme que je suis pour ne penser qu’à la salope que je suis en train de devenir. Je veux cette queue, je la veux dans ma bouche et au fond de moi. J’en ai trop envie !

Sans rien dire, je me mets à genoux devant monsieur Sissoko et je sais parfaitement qu’en me mettant ainsi, je lui signifie que je suis à lui, toute à lui. Je prends juste son gland en bouche et mes mains s’emparent de sa hampe et de ses bourses.
Je ferme les yeux pour mieux ressentir en moi le plaisir de briser les tabous que je m’impose depuis toujours. Je le tète, je le caresse, je lui malaxe les bourses, je l’aspire, je l’avale et petit à petit son sexe grossit comme si le tuyau se remplissait d’eau sans pouvoir se vider. J’ai maintenant du mal à l’avaler entièrement tellement il est gros. J’ai l’impression que je vais étouffer alors je me force à respirer par le nez pour continuer le faire coulisser dans ma bouche. Des filets de salive coulent par la commissure de mes lèvres et par moment, lorsque son gland cogne au fond de ma gorge, j’ai des hauts le cœur.
L’impression d’étouffer est encore pire lorsqu’il pose ses énormes mains derrière ma nuque pour m’interdire de trop bouger. J’ai presque l’impression qu’il se masturbe avec ma bouche ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Hétéro, Maghrebin(s), Marié(e)s