Il y a quelques jours, j'ai découvert que me femme tient un petit journal intime. C'est en recherchant une archive sur notre ordinateur que j'ai trouvé son fichier intitulé "Mémoires d'une assistante sociale", oui c'est son métier. La lecture de ces mémoires a confirmé ce dont je me doutais depuis déjà quelque temps, elle me trompe et est devenue une vraie salope. Même si nous nous aimons et sommes très bien ensemble, je dois bien reconnaître que de sérieux problèmes de santé m'empêchent de l'honorer comme il le faudrait. Vous vous faire partager ma situation de cocu, j'ai donc décidé de vous publier régulièrement à partir d'aujourd'hui ses fameuses mémoires. Voici donc la première partie :
Je m’appelle Jeanne de Trébout, j’ai 55 ans et je travaille en banlieue parisienne dans le domaine du social. Quand j’ai débuté, il y a déjà vingt-cinq ans, je n’étais alors qu’une jeune assistante sociale (AS) et je me suis retrouvée affectée dans les Hauts de Seine. Sous la direction d’une AS expérimentée, je m’occupais essentiellement de personnes âgées.
Une quinzaine d’années plus tard, j’ai été mutée dans une mairie du Val de Marne où je me suis retrouvée en charge de la surveillance et du contrôle des assistantes maternelles.
Mon mari Edouard, âgé de près de 65 ans, a une bonne situation dans une grande banque parisienne et nous habitons depuis toujours dans le IXème arrondissement de Paris dans un bel immeuble Haussmannien.
Côté sexe, comme beaucoup d’hommes de son âge, Edouard est ce que l’on pourrait appeler un pépère et il faut bien reconnaître que le suivi régulier du cours des bourses mondiales et la lecture quotidienne du journal Les Echos semblent lui suffire comme plaisirs dans l’existence. Un rapport mensuel « pour l’hygiène » constitue l’essentiel de son activité physique. Le sexe ne me manque pas ; la course à pied est peut-être devenue un palliatif ! Bien sûr, comme beaucoup d’épouses quinquagénaires délaissées, j’ai un sextoy dont je me sers parfois dans mon bain. Mais je dois avouer, qu’avec le temps, je ne ressens aucun manque sexuel et cela me convient très bien.
Il y a un mois et demi, j’ai quitté le service social de ma petite mairie du Val de Marne pour rejoindre la direction régionale des affaires sanitaires et sociales d’Île de France. Implantée rue de Mouzaïa, cette direction regroupe de nombreux services dont celui des enquêtes sociales où j’occupe un poste de chargée de mission. Cet emploi m’oblige à faire de nombreux déplacements dans les différents départements de la petite couronne parisienne qui constituent mon secteur d’enquête.
Aujourd’hui, je suis en déplacement à Stains où je dois rendre visite à une femme qui élève seuls ses quatre enfants depuis que son mari est en prison pour des délits divers. Je me gare sur le parking au pied de deux tours et regrette un peu de m’être habillée BCBG pour venir dans un tel quartier car je risque de faire tache parmi toutes les femmes magrébines habillées en djellaba ou abaya et coiffées du hijab. Après avoir repéré le bâtiment C, je prends l’ascenseur et monte jusqu’au 8ème étage. J’annonce qui je suis et je précise que j’ai rendez-vous avec madame Dahoud ; la femme me répond que c’est bien elle.
Une fois installées au salon, elle me sert un thé à la menthe puis je sors les différents documents que je dois remplir dans le cadre de mon enquête. Je lui explique que cela doit servir à déterminer les aides sociales auxquelles elle a droit. Comme elle a du mal à comprendre, elle me dit qu’elle va demander à son fils Mohamed d’assister à notre conversation. Elle l’appelle et voilà qu’un jeune homme d’une petite vingtaine d’années arrive, l’air désinvolte, genre racaille. Il me lance un « Salut » et s’avachit sur un fauteuil. Sa mère lui explique en arabe la situation et je commence à remplir mes documents. Le jeune homme n’arrête pas de me regarder des pieds à la tête et je suis un peu gênée. Je croise et décroise sans cesse les jambes pour trouver la position qui me convient mais cela semble l’exciter, il prend un vilain plaisir à se caresser par-dessus le tissu tout en me regardant.
Au bout d’une petite heure, j’ai rempli l’essentiel des documents mais il manque encore quelques pièces justificatives que madame Dahoud doit récupérer. Je lui donne mon numéro de portable pour qu’elle me prévienne quand elle les a et je repasserai la voir. Au moment de partir, Mohamed se lève et me dit qu’il va me raccompagner jusqu’à ma voiture.
Dans le petit ascenseur, il se colle derrière moi et se frotte ostensiblement à moi. Ne souhaitant pas faire de scandale, je change de position mais il revient se coller à mon dos. Soudain ses mains m’enlacent et il m’embrasse dans le cou en me disant
- Tu sens super bon, j’adore ton parfum !
J’essaye de me dégager mais il est plus fort que moi. Il parvient à me faire pivoter face à lui et s’empare de ma bouche. Je résiste mais sa langue force le passage et il joue avec la mienne. Pendant ce temps, ses mains remontent ma jupe et ses paumes se glissent sous mes jarretières puis caressent mes fesses. Je ne peux pas bouger tellement il me sert fort. Malgré le tissu de son pantalon, je sens sa queue gonflée exciter mon entrejambes. Malgré la peur d’être violée dans cet ascenseur, la situation m’excite. Il faut dire que cela doit bien faire cinq ou six ans que je n’ai pas senti un homme me désirer ainsi. Heureusement, l’ascenseur stoppe et la porte s’ouvre.
Je hâte le pas pour regagner ma voiture mais Mohamed me colle toujours de près. Nous croisons un groupe de cinq ou six jeunes de son âge et les commentaires vont bon train
- Eh Momo, c’est ta nouvelle meuf ?
- Tu fais dans le style cougar maintenant ?
- Tu te l’ais faite dans les caves ou chez toi ?
- Pensez aux copains la prochaine fois !
Arrivée à ma voiture, je m’installe au volant mais avant que j’ai le temps de refermer la portière, le jeune homme pose sa main sur mes cuisses et remonte jusqu’au fin tissu de mon string. Il me dit
- Vous êtes toute moite ! J’espère que nous ferons plus ample connaissance la prochaine fois.
Il porte sa main à son nez et respire mon parfum intime. Je démarre et part en trombe.
- Quel sale petit merdeux !
me dis-je en moi-même.
Le soir, alors que nous sommes dans la chambre, je me déshabille devant Edouard en espérant qu’il s’occupe de moi. Oui, je dois reconnaître que le comportement de ce jeune mâle intrépide a excité mon corps de bourgeoise mature. Pendant toute la journée, j’ai repensé à la scène dans l’ascenseur et j’ai eu de nombreux élancement dans mon bas-ventre. Cet étalon macho aurait-il réveillé mes envies mises en sommeil par de longues années de train-train familial et d’abstinence sexuelle ?
Devant le manque de réaction de mon mari, je lui dis
- Chéri, tu peux te mettre au lit sans m’attendre. J’ai eu une journée harassante et je vais prendre un bon bain.
Discrètement, je me saisis de mon godemiché caché dans ma table de chevet et le glisse dans la poche de mon peignoir. Une fois plongée dans mon bain moussant, je me saisis de l’objet, le glisse entre mes jambes et ferme les yeux. Tandis que le sexe factice vibre au plus profond de moi, je me revois dans la cage d’ascenseur. La bite tendue de Mohamed cogne contre mes fesses. Je l’imagine appuyer sur le bouton d’arrêt de la cabine et m’obliger à prendre appui de mes mains sur la paroi devant moi. Il relève ma jupe, écarte mon string et frotte son sexe contre ma fente. Un violent orgasme me tétanise et je reste immobile dans l’eau chaude de ma baignoire. Pendant cinq bonnes minutes, mon bas-ventre continue à être agité d’ondes de plaisir. Je ne me souviens pas avoir connu un tel orgasme avec mon godemiché. Lorsque je reviens dans ma chambre, Edouard lit Les Echos. Je m’installe près de lui et m’endors rapidement.
C’est deux jours plus tard, au travail, que je reçois un sms « J’ai récupéré les papiers. Vous pouvez passer demain à 14h00. » signé Fatima Dahoud. Je réponds aussitôt « Pas de souci. Je serai là ». L’un des avantages d’avoir de l’ancienneté dans le service où je travaille et d’avoir un poste de chargée de mission comme le mien c’est que l’on peut s’organiser comme on le souhaite sans avoir à rendre des comptes à quiconque.
Une fois au lit le soir, je ferme les yeux et me voici de nouveau dans la cage d’ascenseur avec Mohamed. Collé dans mon dos, il me besogne comme un forcené ; une main me caressant les seins et l’autre m’excitant le clito. Je jouis longuement, sous ses assauts virtuels et sous ma main bien réelle entre mes jambes. J’ai l’impression de devenir folle ! Alors que jusqu’à présent je ne me caressais qu’en de rares occasions, voilà que je deviens accro à la masturbation en pensant à ce jeune loubard d’une cité de Seine Saint Denis. Je ne comprends pas ce qui m’arrive.
Le lendemain, en prenant l’ascenseur pour rejoindre le 8ème étage, j’évite de penser à mon fantasme de la nuit précédente. Je sonne à la porte et c’est Mohamed le fils qui vient m’ouvrir. Il me fait entrer et me conduit jusqu’au salon où il me fait asseoir. Il me demande si je veux du thé à la menthe ; pour éviter de le braquer, je le remercie et lui dis que j’accepte. Il me sert puis s’installe en face de moi. Il me dit alors
- Ma mère a dû s’absenter en urgence pour accompagner ma jeune sœur. Mais elle m’a laissé les papiers pour vous.
Je sors le dossier de la famille Dahoud et je vérifie au fur et à mesure les papiers qu’il me donne. Au bout de quelques instants, il rajoute
- Ma mère m’a dit ...
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