Marillon venait de jouir avec délice et ça se voyait facilement sur son visage pour qui la connaissait comme moi. Le regard pétillant, un sourire béat. Mais derrière une faim encore inassouvie.
"Viens, j'ai envie que tu me prennes"
Ces mots étaient une délicieuse invitation mais qui ne me laisser pas le choix de dire non.
Un peu plus tôt j’étais encore opposé à ce que notre relation glisse vers une relation aussi sexuelle. Maintenant, là, je ne sais plus. Pour ma part, on aurait pu s’arrêter là, car j’ai toujours su être maître de moi-même. Mais si je m’écoutais réellement à ce moment-là, je pense que j’en avais autant envie qu’elle.
Quelques jours avant nous étions allés ensemble chercher nos résultats de dépistage, et je savais qu’elle prenait la pilule depuis deux ans. Nous allions pouvoir faire l’amour sans protection mais surtout sans risque.
La voir nu et belle devant moi, ses cheveux blonds détachés mi longs en bataille qui lui tombé sur les épaules, dévoilant sa nuque fine et gracile. Elle s’était relevée sur les mains, bras en arrière, mettant en valeur sa belle poitrine aux seins en poire dont les mamelons rosées se détachaient à peine de sa peau laiteuse. Elle était jambe écartée dévoilant sa chatte entièrement épilée, dont j’avais commencé à établir une cartographie mentale lors de mon exploration avec la langue et mes doigts. Son petit corps frêle de jeune fille m’excitait au plus haut point, mon sexe n’avait pas encore débandé mais là, il trouva la force de se tendre encore.
Je me jetais sur son cou pour l’embrasser, la mordre gentiment. Je la soulevais avec facilité du lit dans mes bras. Pour la caresser, l’étreindre, faire rouler sa tête entre mes mains, la plaquer fort contre moi, lui montrer de toute ma force l’envie que j’avais pour elle. Je caressais sa peau douce de mes mains agiles. L’attrapant tantôt par la nuque, les hanches, les chevilles ou les poignets. Je n’avais jamais envisagé que notre relation prenne cette tournure mais maintenant j’avais envie de la posséder, de lui faire sentir qu’elle était à moi, une petite chose fragile entre mes bras musclés.
Je la repousse sur le dos toujours jambes écartées. Mon sexe dressé, palpitant, avec les veines bien dessinées, et le gland plus gros que jamais. Il repose et recouvre son sexe chaud, lisse, humide et affamé. Mes mains se posèrent sur sa tête. L’une s’engouffra dans sa chevelure avant de l’attraper avec fermeté et douceur par la nuque. L’autre lui caressant le visage, s’attardant sur sa bouche la forçant à s’ouvrir pour me lécher les doigts, ce qu’elle fit sans se faire prier, en fermant les yeux avec douceur et application comme elle le fit sur mon sexe mais avec plus de facilité. Je jouais avec sa langue.
Je la fis languir en dévorant ses seins, aux tétons tels des framboises. Elle me plaqua la tête d’une main pour m’encourager à continuer. Je décidais alors d’une main de caresser son sexe. Le temps n’avait plus d’emprise sur nous. L’espace se réduisait à nos corps tout en étant infini.
Puis je me redressais pour la surplomber sans résistance de sa part, même si je sais qu’elle aurait aimé que ça continue ainsi, entre grâce et volupté pour toujours. Je posais mes mains sur ses épaules et présentais mon sexe à l’entrée du sien. Je sentis que son excitation était teintée par de l’appréhension face à la taille de mon sexe. J’essaie de la pénétrer avec douceur, mais ma ...
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