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Ma collègue très gourmande.

Publié par : hhelle le 30/10/2018

Voici une vieille histoire, avec une femme qui est toujours ma maîtresse aujourd'hui!
Alors que je débutais mon métier de serveur, B. a prit soins de me montrer toutes les ficelles, habitudes et astuces.
Elle est petite, blonde, avec un sourire enfantin et un corps de jeune fille malgré ses 44 ans. Moi, un peu timide encore à 21 ans, je l'écoute, la regarde attentivement, et à l'instar de nombreux clients, tombe sous le charme.
Son petit cul rond surtout, moulé dans sa jupe noire. je ne tarde pas à apercevoir le haut de ses bas ou son décolleté quand elle se contorsionne près de moi. Elle s'en rend compte, et en rajoute avec un grand sourire charmant; à la fin du service, en l'aidant à sortir les poubelles, je peux même admirer la naissance de ses fesse, et son string!
Bref, je suis aux anges lorsque elle accepte de me raccompagner, ma vieille caisse aillant rendu l'âme (enfin.. sur le moment... hem >.>).
Nous papotons, elle a gardé sa jupe qui remonte sur le haut de ses cuisse. J'admire la dentelle à l'élastique de ses bas, ses petits seins pointus sous son T-shirt.
"Tu as eu du succès, t'es mignon et sympa, certaines clientes te quittaient pas des yeux."
Je lui retourne le compliment, en fait certains mâles avaient littéralement les yeux hors de leurs orbites en la matant.
Elle se marre, je bande comme jamais. Elle me tape la cuisse, rebondit contre ma bosse, glousse et commence à me carresser à travers mon pantalon.
"Montre la moi ta belle queue, j'ai du mal avec ta braguette!"
Je voudrais pas non plus qu'on quitte la route, et lui exhibe ma trique. Elle la prend en main, commence à me branler. Une main ferme douce et experte, qu alterne avec des carresses sur mon gland et un massage de mes couilles. Bien plus adroite que mes copines! Elle ne tarde pas à me faire juter, alors que nous approchons de mon immeuble.
"Attrape les mouchoirs dans la boite à gant!" elle se lèche les doigts, s'amuse de me voir essuyer les taches sur ma chemise.
"Je te laisse ici, mais si tu veux, j'habite juste un peu plus loin"
J'ai beau être soulagé, je rêve encore de ses fesses. J'accepte l'invitation, et sitôt chez elle, je lui relève sa jupe, caresse ses miches à pleine main. Elle sont si menues qu'elles disparaissent entre mes mains.
Tu veux pas qu'on prennent une douche?" mais je suis irrésistiblement attiré par son odeur de chatte en chaleur, m'accroupis derrière elle baisse son string et lui lèche gouluement son intimité.
"Oh, mais tu es un vrai cochon toi! j'adore..."
Elle gémit, écarte les cuisses et se cambre, ma langue glisse entre ses lèvre, et je goûte pour la première fois à la rosette d'une femme.
"Oh oui, tu me lèche le cul petit cochon!!"
je plonge entre ses fesses, je sens ses doigts frôler mon menton alors qu'elle se doite. Au bout d'un court moment, elle jouie en s'effondrant à genoux.
J'ai son cul à portée de main, ma main glisse dessus, et le tapotte. Elle glousse, et tortille de la croupe:
"Met moi une féssée, j'adore!"
J'obéit, plus fort, plus vite, comme elle m'ordonne. Elle me provoque et je réponds avec salacité. Elle crie de plaisir, et moi je bande à nouveau comme un âne! Elle se saisit de mon entrejambe, masse la bosse de mon pantalon:
"Oh, mais sors là vite, ça va exploser!" Elle apprécie ma vigueur et m'entraine par la bite vers sa chambre.
"Tu l'aimes mon cul, petit cochon?" Elle se met en levrette et je lui plante ma pine entre ses lèvres gorgée de jus. C'est un vrai délice pour moi, mais au bout d'un moment elle se dégage:
"Non, t'as pas comprit, pas pas là!" Et elle saisit ma bite pour la poser contre sa rondelle.
"Oh oui, vas y pousse mon mignon, prends moi le cul!"
C'est une première pour moi, mais son anus se revèle aussi doux et profond que sa chatte, plus serrée, quoique à peine. Rapidement j'accelère, comme elle le veux, la baise si fort que ses fesses claquent, mes couilles battent contre son sexe. Je réalise que nous sommes devant un grand miroir; la belle se carresse en me regardant l'enculer! Plus elle en dit, plus je suis bestial et pervers. En fait, je ne peux plus m'arreter! Je la retourne, et découvre le matelas completement trempé. Je l'encule de face, elle carresse et griffe mon corps de plaisir pendant que je la bourre. Pour calmer mes ardeurs, car j'ai envie de la fourrer toute la nuit tellement elle m'excite, j'alterne avec u ...

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