Troisième et dernière partie

Me prenant par les couilles, il me fit relever la croupe et avec son pied m’écarta les jambes. La position n’était pas des plus confortables mais le fin goulot me pénétrait sans effort.
- Alors Martin, tu vas pouvoir le prendre ?
- Oh, putain, si je m’attendais à cela, je vais pouvoir m’y glisser comme dans une biche en chaleur !
Est ce le mot, est ce l’idée ? je ne sais, en tout cas, mon amant me prit la tête entre ses deux puissantes mains et me baisa la gorge comme jamais on ne me l’avait fait. Il se vida les couilles directement dans mon gosier. J’aurais aimé connaître le goût de son sperme, je ne pus récupérer que quelques gouttes quand il se retira. Je n’eus pas le temps de m’appesantir sur mon dépit que je sentis Martin m’enfiler lentement, fermement, intégralement jusqu’à que ses couilles vinrent frapper les miennes. Je manquai de tomber en avant, n’ayant plus rien sur quoi m’appuyer. Empalé jusqu’à la garde, Martin me redressa et me plaqua contre lui ; j’étais un jouet entre ses bras, il m’emporta ainsi en direction d’un chêne centenaire sur lequel je pus poser mes mains.
- Allez, appuie toi et offre ton cul !
Comment lui refuser ? et surtout pourquoi ? Je n’avais qu’une envie : être baisé. Il entreprit un lent va-et-vient entre mes fesses qu’il tenait écartelées par ses mains puissantes, les pouces me tenant l’anus ouvert. Bien labouré par mon bûcheron, sous le regard attentif des deux autres, j’étais la reine. Frustré dans leur libido depuis des semaines, ils découvraient ravis qu’un homme pouvait se prêter tout aussi bien à leur énergie…Je n’avais pas mal à la tête, je n’avais pas mes règles, je n’étais pas fatigué, je voulais leur sexe en moi aussi longtemps qu’ils le pourraient. Pour l’heu ...

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