Je me suis marié jeune, à 22 ans, et notre mariage n’a tenu que 8 ans. Une fois
divorcé, j’ai racheté la moitié de notre maison à mon ex, dans le sud de la France, à
Sète.
Depuis que je connais mon ex femme, j’ai toujours eu une attirance pour ma belle-mère,
âgée aujourd’hui de 54 ans, elle-même divorcée depuis longtemps. Ma belle-mère, Josée,
habite non seulement la même ville que moi, mais dans la même rue, et bien que mon
divorce s’est avéré difficile, je suis resté en très bonne relation avec la mère de
mon ex. Elle a aussi compris, sans me l’avouer qui était vraiment fautif dans ce
divorce. Bref, nous nous voyons fréquemment et nous nous invitons à déjeuner ou dîner
au moins une fois par mois. C’est une femme que je trouve très belle, pulpeuse,
sensuelle et extrêmement gentille et agréable, tout le contraire de sa fille.
Cependant, je n’ai jamais osé lui avouer mon désir, qui au fil du temps devient de
plus en plus fort. J’ai essayé de lui faire comprendre par certaines allusions, mais à
priori sans succès. Combien de fois, après avoir dîner avec elle, une fois seul je me
suis branlé en pensant à son corps. Néanmoins, tout à basculé un jour ou elle m’a
téléphoné pour me dire « bonjour Jacques, es tu libre ce soir pour venir dîner à la
maison, ma sœur Claudine est avec moi en ce moment, et elle aimerait te revoir depuis
tout ce temps ». Rien que le son de sa voix me faisait bander. J’avais quelque chose
de prévu, mais je me suis empressé de lui répondre « Merci Josée, c’est avec grand
plaisir que je dînerai avec vous, et en plus cela me fera plaisir de revoir Claudine
». Rendez vous pris pour 19h.
Je suis arrivé chez Josée à l’heure, elles étaient toutes les deux et toutes
pimpantes. Josée était magnifique dans une robe légère près du corps et assez courte,
avec un large décolleté qui laissait entrevoir le début de sa belle poitrine. Je l’ai
embrassée comme d’habitude. Claudine était assise sur un fauteuil, elle aussi était
très belle. Cela faisait au moins 6 ou 7 ans que je ne l’avais pas vu. Elle avait 2
ans de plus que Josée. Elle s’est levée pour m’embrasser en nous serrant fort dans les
bras. Elle avait elle aussi une robe légère et courte. Je leur dit à toutes les deux «
vous êtes magnifiquement belles toutes les deux, vos robes vous vont à ravir ». Josée
me dit « je me suis laissé avoir pour les courses, et si tu es d’accord j’ai prévu un
apéro dînatoire ». Bien sur que j’étais d’accord. Une musique de fond, deux belles
femmes avec moi, je bandais déjà, et mon cerveau était en ébullition. En prenant
l’apéro, j’ai d’abord parlé avec Claudine pour lui demander ce qu’elle devenait (elle
habitait Toulouse). Elle m’a raconté une partie de sa vie, jusqu’à ce que ça énerve «
gentiment » Josée, qui me dit « y en a que pour Claudine », et lui répondre « mais non
Josée, mais vous je vous vois souvent », profitant d’un slow qui passait en musique,
je lui dis « pour me faire pardonner, voulez vous m’accorder cette danse ». Sans me
répondre, elle se leva et me tendit ses bras. Je la pris contre moi, j’avais une main
dans son dos et l’autre sur une de ses hanches. La texture de sa robe était d’une
douceur extrême, je sentais sa peau dessous, je promenais ma main dans son dos et je
me suis vite aperçu qu’elle ne portait pas de soutien gorge. Je bandais, et comme
j’étais collé à elle, je pense qu’elle sentait bien mon excitation et me bite enflée.
Je sentais la chaleur que son corps dégagé, une chaleur de femme chaude, sensuelle et
excitante, je n’avais jamais ressenti un bonheur pareil, j’avais l’impression d’avoir
atteint mon rêve, d’avoir atteint le gral, et je ne le réalisais pas entièrement, me
demandant si je rêvais ou pas. Avec mon autre main, je descendais doucement le long de
sa hanche jusqu’en haut de sa cuisse, et là aussi je n’ai pas senti de culotte. Je
bandais encore plus. Josée avait mis ses deux bras autour de mon coup et sa tête
reposait sur mon épaule. Mon excitation était extrême, et je me suis risqué, même
devant sa sœur, à faire glisser ma main vers ses fesses. Quand je suis arrivé sur sa
croupe, j’ai senti sa raie et c’est à ce moment là qu’elle a relevé sa tête pour venir
face à moi et poser ses lèvres sur les miennes. J’ai senti sa langue sortir et entrer
dans ma bouche toute ouverte. Nos langues pleines de salive se sont entrelacées. Je
bandais comme jamais. J’avais maintenant ma main sous sa robe et sur ses magnifiques
fesses et de l’autre je caressais son sein. Depuis le temps que j’attendais ce moment,
que je ne croyais jamais venir, depuis le temps que je me branlais en pensant
exactement à cette scène, nos langues faisant devant Claudine qui nous regardait sans
rien dire, je n’ai pas pus me retenir et j’ai joui dans mon slip. Une fois le slow
terminé, j’ai regardé Josée dans les yeux en lui disant « si vous saviez depuis le
temps que j’attends ce moment magique, de vous tenir dans mes bras et de vous
embrasser, je vous en remercie ». Elle me coupa la parole en me disant « tu sais ou tu
ne sais pas, mais moi aussi j’attends ce moment depuis longtemps, mais je n’ai jamais
osé franchir le cap, et ce soir je ne sais pas pourquoi, je me suis lancé, peut être
parce qu’on en a parlé cet après midi avec Claudine et que je me sentais plus forte ».
On s’est assis, moi entre les deux femmes. J’étais un peu gêné d’avoir éjaculé dans
mon slip et plutôt qu’elle ne le découvre, j’ai préféré prendre les devant en leur
disant « j’étais tellement excité par Josée, de sentir sa peau, qu’elle soit nue sous
sa robe, que je n’ai pas pu me retenir et j’ai joui dans mon slip ». Claudine me dit «
tu ne peux pas rester comme ça, viens te laver ». Je les ai suivies dans la salle de
bain, et Josée me dit « tu veux qu’on te lave toutes les deux ». Oh que oui. Josée m’a
enlevé ma chemise pendant que Claudine défaisait mon pantalon et baissait mon slip
plein de sperme. Je me suis mis debout dans la baignoire et Josée m’a arrosé le sexe
puis m’a demandé d’écarter mes jambes pour arroser mon cul. Je me suis mis de profil
Josée a mis beaucoup de savon liquide dans ses mains et m’a lavé la queue qui est
devenue tout de suite très grosse, sous ses doigts doux et plein de savon, elle me
branlait la queue et me caressait les couilles en me regardant avec un sourire
malicieux. J’ai senti les mains de Claudine sur mes fesses puis à l’intérieur, elle
passait dans toute ma raie écartée et remontait jusqu’à mes couilles. Un moment elle
s’est attardé sur ma pastille et à entrée le bout de son doigt. Mon gémissement de
bonheur lui a fait dire « tu aimes, tu veux que je rentre davantage avec mon doigt » «
Ouiiiii Claudine prend moi, rentre ton doigt a fond, oh que c’est bon ouiii encule
moi, et vous Josée continuez à me branler, enlevez votre robe que je vous vois toute
nue ». Toutes les deux ont enlevé leur robe et en 2 secondes se sont retrouvées nues,
car Claudine aussi ne portait rien dessous. Josée a mis ma queue entre ses seins et a
continué de me branler ainsi tandis que Claudine avait deux doigts dans mon cul. J’ai
joui de nouveau sur les seins de Josée. Elles m’ont rejoint dans la baignoire et nous
nous sommes lavés tous les 3. A mon tour je les ai lavé avec du savon liquide, d’abord
Josée qui avait écarté largement son cul pour que je passe mes mains sur sa chatte et
son cul, en rentrant 1 puis 2 doigts dans sa chatte et ensuite dans son cul. J’étais
de nouveau excité et je ne voyais que la chatte de Josée. A un moment j’ai relevé la
tête pour la regarder, et à ma grande surprise j’ai vu les deux sœurs qui
s’embrassaient en se caressant les seins. Je leur dit « vous m’excitez toutes les deux
à vous gouiner, c’est d’autant plus excitant que vous êtes belles et sœurs en même
temps ». Josée à joui. Elle s’est rincée et ensuite elle m’a dit « attends que je me
sèche et on va s’occuper tous les deux de ma sœur ». Josée lui lavait le cul et moi la
chatte. Claudine était aux anges « Ouiiiiiiiii, continuez tous les deux, oui Josée
encule moi avec tes doigts et toi Jacques, branle moi et entre tes doigts aussi,
ouiiiiii c’est trop bon, haaaaa je jouiiiiii ». On est revenu dans la salle de séjour
pour reprendre un apéro et son accompagnement. Nous étions nus tous les 3 sur le
canapé. Josée qui avait aussi acheté des desserts me dit « laisse toi faire, j’ai envi
de manger une religieuse au chocolat sur ta queue ». Elle prit le gâteau et l’empala
sur la queue. Je me suis allongé sur le canapé, la religieuse sur ma queue qui
commençait à grossir. Josée l’écrasa avec ses doigts et me lécha comme ça. J’en avais
partout, sur la queue, les couilles, et même le cul car j’avais mis une jambes en haut
du canapé. Quand ma bite fut raide Josée est venue sur moi, elle m’a chevauché, je
sentais sa chatte ruisselante passer sur ma queue couverte de chocolat. J’ai commencé
à entrer en elle, et elle s’est penchée en avant vers moi pour me dire « vient
doucement mon chéri, j’attends cela depuis ...
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