Par cette belle journée ensoleillée, je prenais la direction de Bruxelles pour rejoindre un ami que j’avais rencontré dans les soirées mondaines et délirantes de la région parisienne. J’étais engagée sur l’autoroute, le hasard voulut que je m’arrête à la hauteur d’une cabine de camion suite à des ralentissements et même parfois des arrêts dus à des bouchons. Le chauffeur, attiré par ma tenue et mon exhibitionnisme, s’arrangeait toujours pour s’arrêter près de ma voiture pour me faire des signes de la main. Je lui répondais par des petits sourires coquins. Je le provoquais en passant ma main dans mon soutien- gorge, ou suçant mon doigt tout en le fixant dans les yeux. Parfois en caressant mes lèvres avec ma langue.
J’aime beaucoup m’exhiber pour être mâtée et attirer le regard des hommes. Ma robe très courte était remontée, le chauffeur pouvait apercevoir à travers la vitre depuis sa place le haut de mes cuisses et reluquer mes jambes gainées de bas résille maintenus par mon porte-jarretelles. Souriant, il m’avertissait par de grands coups de klaxon qu’il était très intéressé.
Je roulais maintenant devant lui car la circulation devenait plus fluide. Ses appels de phares et clignotants successifs me firent comprendre qu’il avait la ferme intention de me retrouver sur la prochaine aire d’autoroute en rajoutant quelques coups de klaxon pour être sûr que j’avais bien compris le message.
Arrivée sur un parking, je me garais en face de quelques camions en stationnement. Mon dragueur vint se placer près de ma voiture. L’homme, beau gosse, descendit et s’approcha de mon véhicule, il était grand, de belle allure avec ses cheveux blonds et ses yeux clairs. Il commença à me contempler, souriait, il me dragua, J’ouvrit ma portière lui laissant libre accès à mon corps, Il passait sa main chaude sur mes seins en s’attardant sur mes tétons, il caressa ensuite mes jambes et mes cuisses. Ce bel étalon glissa sa main vers mon entre-jambes et s’aperçu que j’étais une travlope : « Huummmmm ! Gut !, Kommen Sie ! » Je ne comprenais pas, voyant que je tardais, il me saisit fermement le bras pour me sortir de la voiture, je ne pouvais faire autrement que d’obtempérer. Il m’obligea à m’exhiber en faisant le tour du camion pour être vue par les autres chauffeurs de poids lourds et peut-être les intéresser eux aussi par la suite.
« Montiert » me dit-il sèchement devant la portière ouverte de sa cabine, il me claqua les fesses pour me faire monter. C’était un allemand qui m’abordait et j’étais plutôt inquiète et tendue mais à la fois excitée et consentante. Je me suis vite retrouvée à l’intérieur. A ma grande surprise, je vis un autre homme nu sur la couchette, son sexe épais dressé comme un pieu. Ils étaient donc deux allemands dans ce camion qui me draguaient. Il me fit signe du doigt de m’approcher au- dessus de lui à quatre pattes ma bouche au-dessus de sa queue.
Le mâle allongé sur le lit, jambes écartées, la tête relevée sur un coussin, pour me regarder. Je me place à genoux entre ses jambes, ma bouche au-dessus de la queue. J’encercle le gland avec mon pouce et mon indexe et je les fais glisser le long de cette belle colonne en tirant sur la peau vers la base pour bien dégager le gland. La bite est maintenant bien tendue, droite et dure. Je peux donc la caresser, la branler, la lécher, la sucer en regardant mon mâle dans les yeux avec un regard coquin et en passant ma langue sur mes lèvres pour l’exciter. Je commence par masser avec le bout des doigts et des ongles le tour du gland rougeâtre. Puis ma langue s’attardait un petit moment sur le bout de la bite et glissa tout le long de la hampe par dessous jusqu’aux couilles. L’allemand me prit fermement la tête entre ses mains pour m’imposer une gorge profonde. J’avais la bouche emplie par ce chibre qui me forçait les lèvres. J’avais des hauts-de-cœur à chaque vas et vient au fond de ma gorge. Je palpais et soupesais ces couilles pleines. Il commença à gémir de plus en plus fort et poussa de longs râles, son sexe éclata et m’envoya de longs jets au fond de ma gorge.
Mon beau blond venait de se placer derrière moi, après avoir écarté la ficelle de mon string il me claqua violemment les fesses et appuya sur le bas de mon dos pour m’obliger à me cambrer et lui offrir plus facilement mon cul. Je vibrais entre les mains de ce beau mâle. Il m’écarta les fesses et me fistat avec un doigt puis un autre et peut être plusieurs. Je sentais le gland de sa queue forcer l’ouverture de ma chatte, puis d’un coup de reins il s’enfonça jusqu’à la garde pour m’enculer avec de longs et puissants va-et-vient, je poussais à cet instant un cri de douleur. Il prenait plaisir à me défoncer sans ménagement. Sa grosse queue me remplissait bien la chatte, Il me donna plusieurs fois la fessée et s’acharnait intensément, il était très excité. Il alternait souvent les positions et ça devenait de plus en plus hard. Il se coucha sur mon dos, passait ses mains sous ma poitrine et pressa mes seins. La pénétration devenait plus douce, puis mes cris se transformèrent en couinements et gémissements de plaisir, j’étais heureuse, c’était bon de se faire baiser. Il accéléra ses coups de reins en haletant de plaisir, je sentais qu’il commençait à jouir mais il continua à me limer sans ménagement et sans éjaculer. Il était endurant et j’adore ça pour leur plaisir mais aussi pour le mien et en profiter un maximum. Il regardait à chaque fois qu’il se retirait l’ouverture très large de ma chatte puis replaça sa queue au chaud et recommençait à me besogner, il ne fatiguait pas, c’était un bon mâle.
Je les entendais discuter en pensant qu’ils voulaient changer de position. J’en savais maintenant un peu plus sur leur prénom : Le beau blond derrière moi s’appelait Andréas et ma bouche s’occupait jusqu’à maintenant du pieu de Karl. Ce dernier prit place, prêt à prendre ma rondelle, il poussa son gland dou ...

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