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Le prolapse

Publié par : pasbeau9 le 30/05/2024

Un gars que j’avais rencontré il y a 3 ans reprit contact avec moi ! Il était adepte du fist, ce que nous avions bien partagé à l’époque mais il m’avoua que depuis deux ans, il ne pratiquait plus (il avait rencontré une nouvelle compagne) et qu’il avait arrêté de se dilater.
Cependant, nos nouveaux échanges l’avaient émoustillé et il avait envie de recommencer, enfin surtout d’essayer car en deux ans d’abstinence, il reconnaissait qu’il devait avoir le cul bien serré.
On convint malgré tout d’un rendez vous et je lui demandais s’il avait des capotes (car il ne suçait et ne se faisait sucer qu’avec) et aussi du gel ! Il m’annonça en fait que pour le gel, il devait en racheter car il avait utilisé le peu qu’il lui restait le week-end précédent pour se retravailler l’anus afin d’avoir une petite chance d’être fisté à nouveau ! Mais il me précisa qu’il acceptait de souffrir (en fait il aimait ça…) et que je ne devais pas reculer quoiqu’il dise …
Pour ma part, connaissant son goût pour se travestir, je lui précisais qu’il pouvait s’habiller comme il le souhaitait à la condition de ne pas mettre de culotte, je voulais voir sa bite (que je savais grosse) pendre entre ses cuisses.
Le soir arriva et je me présentais chez lui, ou plutôt dans la maison de son père absent.
Après quelques banalités d’usage, il s’absenta pour aller se vêtir et je me servis un verre d’eau en attendant.
Quand il revint, il avait revêtu un joli petit chemisier blanc, et pour le bas, juste un collant ! Mais celui-ci était ouvert au centre et son énorme bite pendait exactement comme je le souhaitais !
J’étais aux anges !!! Je la saisis à pleine ma main, et la soupesa. C’était un énorme morceau de viande, au repos elle faisait facilement 17centimètres par 5, et particularité qui me fit aussitôt bander, un prépuce gigantesque, d’au moins 4centimètres de long. Je jouais avec cet énorme morceau de chair, glissais mon majeur à l’intérieur du prépuce pour titiller son frein, tournais mon doigt autour du gland et lui demandais si je pouvais mettre mon propre gland dedans ! Hélas, terriblement inquiet par rapport aux maladies, il ne le souhaita pas …
Je le branlais, le décalottais, n’en finissais pas de malaxer son sexe mais il ne bandait pas. Je lui fis remarquer et il me répondit qu’il était en conditionnement soumis et qu’il ne se le permettait pas. (en fait j’appris plus tard qu’il s’était fait juter quelques temps avant mon arrivée !)
J’étais un peu déçu tout de même mais il me fit mettre debout devant lui désormais assis sur le canapé. Il dégrafa ma ceinture, baissa ma braguette, mon pantalon et me laissa ainsi en slip ! Il commença alors à m’embrasser la bite par-dessus le tissus du slip, à me la mordiller et malgré tout, j’aimais ça.
Il baissa alors complètement mon slip et entreprit de me recouvrir le sexe d’une capote. Enfin, il me prit dans sa bouche et me suça avec délicatesse !
Au bout d’un moment, on alla dans la chambre et il se repositionna à genoux devant moi pour me sucer. Mais là, il entreprit de se branler en même temps et il arriva à se faire légèrement bander. Sacré monstre de chair que je vis en le faisant se relever. Quel morceau ! Comme j’étais capoté et pas lui, je présentais mon sexe devant son gland et entrepris de me le recouvrir avec son prépuce. C’était la première fois que j’enfilais ma queue dans le prépuce d’un mec, et je commençais à nous branler tous les deux ! Le pied !
Mais j’étais venu pour essayer de le fister pour la deuxième fois et je pensais que la tâche n’allait pas être facile.
Il s’allongea sur le dos sur le lit et releva ses jambes en les écartant. Il avait toute la raie rasée, c’était magnifique ! J’enfilais une paire de gants, saisis le gel et lui en tartinais l’anus. Le moment délectable que j’adore, le premier doigt qui s’introduit dans le cul d’un mec … C’était bon et chaud et son trou avait tout de même l’air souple. Mais je pris mon temps pour savourer ce moment avant de lui mettre un deuxième doigt. J’allais et venais dans son cul, les tournais et retournais puis le troisième s’y glissa. Cette salope avait visiblement bien travaillé sa chatte quelques jours auparavant car déjà mes quatre doigts étaient au chaud. Je le ramonais allègrement, et je le sentais s’ouvrir rapidement. Alors il était temps de mettre mes doigts en pointe, et je fis une première tentative pour enfoncer ma main. Bien évidement, cela bloqua assez vite au plus large de ma main, mais je ne faiblissais pas. Je poussais, ressortais pour mieux repousser plus fort et un peu plus loin et au bout d’un bon moment, la largeur de ma main se trouva en équilibre entre la sortie et l’entrée. La cochonne soupirait fort, à la fois de douleur et de plaisir de se faire défoncer le cul et je poussais à nouveau. Lentement, ma main s’engouffra et disparue entièrement jusqu’au poignet. Je remuais mes doigts à l’intérieur pour me rendre compte de la largeur et profondeur de son rectum, c’était jouissif.
Alors lentement je ressortis, puis re-rentrais doucement, rajoutais du gel et accélérais le mouvement. A ses gémissements, je savais qu’il aimait ça, et il me dit qu’il était lui-même étonné que j’ai pu rentrer finalement aussi facilement.
Alors je me mis à lui ramoner la chatte avec de moins en moins de ménagements. De temps en temps, j’attrapais de l’autre main sa bite pour la malaxer, la décalotter et branler cet énorme bout de chair flasque. Ma main à l’intérieur de son rectum se mit à chercher le petit virage pour l’entrée de son colon, j’avais envie de tester sa profondeur, mais après quelques tentatives douloureuses pour lui, j’abandonnais.
Il décida de se mette à quatre pattes et le pistonnage recommença. Mais j’avais l’impression que je pouvais aller plus violement dans cette position et ce fut le poing fermé que je rentrais et sortais de ses entrailles. Quand je rentrais, il soupirait fortement et poussais sur ses sphincters pour m’éjecter alors que moi je résistais pour maintenir ma main en lui. C’était un véritable combat qui avait pour résultat de lui dilater encore plus le cul ! A un moment je ressortis complètement le poing et lui demandais de pousser fort. C’est alors que sa couronne culière s’ouvrit largement et que sa rose sortit, rougeoyante et luisante !!! Splendide et de lui-même, il glissa ses deux mains derrière lui, glissa ses doigts dans son cul pour l’écarte ...

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