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Le prix de ma liberté

Publié par : douxnu le 30/06/2025
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Mon voisin m'avait laissé tranquille depuis plusieurs mois et depuis qu'il m'avait offert à ses collègues de travail chez son ami Robert.
Je pensais qu'il m'avait oublié et son chantage avec lui. Mais qu'elle ne fut pas ma surprise de trouver un petit papier sur mon pare-brise : rendez-vous samedi 6h sur le parking en t-shirt, short et basket.

Il ne m'avait donc pas oublié, ça aurait été trop beau. Je me demandais bien ce qu'il me préparait encore.

Le samedi suivant, je me présente sur le parking à l'heure dite. Il arrive et me fait signe de monter dans sa voiture. Il ne dit mot avant de sortir de la résidence et de la ville.

Une fois à la campagne et tranquille, il m'informe que si j'accepte toutes les conditions de ma nouvelle mise à disposition ce matin sans broncher, je retrouverai ma liberté et il mettrait fin à son chantage de tout révéler à ma femme.

Je n'avais donc pas le choix pour que ma situation s'améliore et que je retrouve ma liberté, chère liberté.

Il me dit ensuite de me foutre à poil et de lui remettre mes vêtements. Il me conduit dans une ferme isolée tenue par deux générations de paysans. Un patriarche de 75 ans, veuf, et ses deux fils de 50 et 52 ans, divorcé et célibataire, ainsi que d'un commis de 55 ans. Lors d'un chantier qu'il avait chez eux, ils lui confièrent qu'ils avaient beaucoup de mal à trouver femme. A vrai dire, ils étaient plutôt bourrus et ayant l'habitude de vivre entre hommes, il leur était difficile d'attirer le chaland.
Alors, mon voisin me dit qu'il leur avait parlé de moi comme d'une possibilité d'assouvir leurs envies sexuelles. Me décrivant comme une silhouette mince et un corps glabre, avec la peau blanche et peu de muscles, il ne serait pas difficile de me confondre avec une femme, sachant que mes trous étaient à disponibilité.

Une fois arrivé au bout du chemin, il me dit de descendre et de parcourir les 500 m à découvert vers la cour de la ferme. Il me précisa également qu'au moindre refus de ma part, il reprendrait le chantage. Il reviendrait me chercher vers midi, me laissant 5 heures avec mes hôtes. Je savais donc à quoi m'en tenir.

Je marchais donc sur ce chemin pierreux au milieu des champs coupés en cette fin du mois de juin. Je voyais les bâtiments de la ferme se dessiner et j'entendais le bruit de la traite du matin. En arrivant dans la cours, deux molosses aboyant m'accueillent me tétanisant sur place. Un sifflement les fit se taire et s'asseoir, me laissant tranquille. Un vieux sur le pas de la porte du bâtiment d'habitation me fit signe de venir.

Arrivé à sa hauteur, il me complimenta sur la blancheur de ma peau et me fit passer devant lui en me caressant les fesses. Cette caresse provoqua un frisson. Sur la table de la pièce, 4 bols se trouvaient déposés. L'un en bout de table est les autres autour. Il me dit qu'il attendait ses gars pour le petit déjeuner après la traite, mais que je pouvais déjà m'installer pour prendre le mien. Je m'apprêtais à m'asseoir à table, quand il me dit : "qu'est-ce que tu fais ? ta place n'est pas autour de la table mais sou la table. En effet, ton petit déjeuner commence par une première dose de mon jus. Allez, sous la table et ouvre la bouche vers moi."
Je me trouvais donc en face de sa braguette ouverte, d'où il fit sortir une queue molle entourée de poils blancs. Je la pris en bouche pour tenter de la faire gonfler, car il me dit qu'il avait quelques difficultés à bander vu son âge. Alors, je m'appliquais à remonter sa hampe vers son gland, et en la tenant d'une main à la faire coulisser puis rentrer complètement en bouche, avec force salive. Lui qui disait ne pas bander, je sentis sa queue grossir peu à peu sous mes caresses jusqu'à ce qu'il ne pusse plus se retenir et m'inonder la gorge sans crier gare en poussant un râle de jouissance.
C'est à ce moment que j'entendis plusieurs voix l'interpeler et le féliciter de son plaisir.
Il me dit alors de rester sous la table et d'enfourner l'une après l'autre les bites de ses fils et du commis, que je ne voyais pas, pour compléter mon petit déj. Une fois assis à table, ils ouvrirent leurs braguettes et me présentèrent chacun leurs queues fromagées et odorantes, poilues, de toutes tailles et posées sur des couilles poilues et de grosseur différentes.

Je pris le temps de toutes les faire bander et chacune l'une après l'autre de les faire gicler, pendant qu'ils mangeaient, parlaient et riaient ensemble jusqu'à la jouissance. Je pris le temps de les nettoyer et d'attendre la suite du programme.
Ils me demandèrent de sortir de sous la table sans les regarder, mais en les précédant vers la sortie et la cour. Ils en profitèrent pour me peloter les fesses, les écarter et jurer qu'elles seraient bientôt comblées.

Je me dirigeais ainsi vers l'étable où ils m'attachèrent à plat ventre sur une auge jambes écartés à bonne hauteur disaient-ils.

Puis, l'un d'eux me cracha sur la rondelle et me mit un doigt rugueux, commençant des va-et-vient qui me firent gémir. Il n'en fallait pas plus pour l'encourager à présenter son gland capoté devant l'ouverture plissée, à la pénétrer cm après cm, pour caler ses couilles aux miennes. Je sentais sa toison me chatouiller le dos et les fesses. Une fois calé, il se retira doucement avant de s'enfoncer à nouveau plus à fond, me faisant crier. Il dit que je pouvais crier tant que je voulais, l ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Gay