Grosse fuite d’eau à la maison. J’appelle le plombier qui me répond : « Vous avez de la chance : je finis un chantier à côté de chez vous à l’instant et j’arrive donc dans cinq minutes »
Quatre minutes plus tard, le joli athlète sonne. Il entre, je lui montre le problème et il se met au travail : ce n’est qu’une soudure à reprendre. Malheureusement pour lui, l’accès n’est pas facile et il est obligé de se contorsionner. On parle du slip du plombier mais là, c’est une culotte de dentelle rose aux jolies broderies qui m’apparaît. Il me demande si je peux lui donner la pince spéciale qui est dans son sac et je suis contraint de l’enjamber pour la trouver et la lui donner. J’en profite bien sûr pour effleurer ses fesses puis sa main. Nos regards se rencontrent ; le mien est coquin alors que le sien est surpris. Il me remercie pour la pince et se remet à l’ouvrage.
Comme il utilise son chalumeau, je ne voudrais pas qu’il se blesse et je ne le travaille pas plus au corps pour l’instant. Il me demande de remettre l’eau en route et je tourne donc le robinet de sécurité qui se trouve dans le coin de la pièce. Il se relève et me dit : « C’est bon ! ». Je lui rétorque avec coquinerie : « Qu’est-ce qui est bon ? Je ne vous ai rien fait ! », tout en regardant sa petite culotte. Il rougit et sort de sa position inconfortable avant de ranger son matériel professionnel. Pour le reste du matériel, il n’y a rien de rangé mais c’est plutôt à l’étroit : ma réplique et mon regard bien placé ont induit une belle bosse au niveau de son entrejambe.
Je propose de lui laver les mains puisque le robinet est désormais fonctionnel (pas que le robinet du lavabo) et je lui savonne les mains tout en plantant un regard provoquant dans le sien. Je nous essuie les mains en les frottant l’une contre l’autre sans le quitter des yeux et avant qu’il ne me dise un mot, j’entreprends sa bouche avec la mienne et sa queue avec ma main libérée. C’est un vrai professionnel avec du bon matériel ! Au travers du tissus, je palpe une queue qui me semble bien épaisse et longue. De son côté, il descend ses mains vers mes fesses et les caresse de ses larges mains après avoir franchi l’élastique de ma culotte rose à dentelle (il ne le sait pas encore).
Ses doigts se promènent le long de ma raie en me provoquant des mouvements d’excitation du bassin. Notre baiser est fougueux et nos langues ont vite fait de trouver une synchronisation de leurs caresses. Sa langue me paraît d’une largeur comparable à ses mains et à sa queue. Elle m’emplit la bouche de plaisir. Cet homme qui paraît fruste à prime abord est an fait d’une douceur extrême. ...

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