J’étais sur son lit, les fesses en l’air, mon sexe en érection pendait dans le vide et mon trou étais à sa merci.
La manière dont je m’étais retrouvé dans cette position m’échappait encore, et pour être honnête, je n’en avais cure. Le fait de me retrouver cambré, avec elle derrière moi, dans sa nuisette noire, sans rien dessous, suffisait largement à attiser mon désir.
- Te voilà beau, me dit-elle. Remarque, tu vas enfin comprendre ce que je vis quand c’est moi qui suis à ta place. Pour une fois, c’est toi qui vas faire la salope.
- Je ne suis pas trop mal installé, et j’ai hâte de voir ce que tu me réserves, lui répondis-je
Un rictus apparu dans le coin de sa bouche. Avec délicatesse, elle se saisi de mon sexe de sa main gauche, et commence des mouvements de va et vient, comme si elle cherchait à me traire. Sa main droite, quant à elle commence à me titiller doucement mon petit trou.
Un chaleur intense envahi mon corps, et des gémissements de plaisir m’échappent. Les caresses de son doigt dans ma raie s’arrêtent, et c’est sa langue qui prend le relais. Elle est chaude, humide, elle passe sa langue tout autour de mon petit trou et se met à l'embrasser, le lécher. Ça m’excite, mon sexe dans sa main devient de plus en plus dur tandis que sa langue humidifie mon trou. Sa bouche se déplace, elle descend sur mon scrotum, puis mes couilles et enfin, elle prend mon sexe entièrement dans sa bouche alors que son doigt pénètre mon anneau qui n’offre aucune résistance.
Qu’est ce que c’est bon.
- Alors, comment on se sent? Me demande-t-elle.
- Si c’est ça être à ta place, alors je veux bien qu’on fasse ça plus souvent, lui dis-je le souffle court.
Elle rit et me répond :
- Je te comprends, d’ailleurs je me rends compte que je suis un peu jalouse, tu veux bien t’occuper de moi?
Je sens son doigt qui se retire de mon trou, je me redresse et la prends dans mes bras pour l’embrasser langoureusement. Ma main passe sur sa nuisette, caresse son sein et fini par arriver à son entre jambe déjà trempé de désir. Je lui caresse son clitoris, gonflé d’excitation, tout en continuant à l’embrasser et à lui mordiller les lèvres. Mon majeur et mon annulaire viennent alors à rentrer dans sa petite chatte lisse et trempés. Elle gémit. Mes doigts s’enfoncent et ressortent de sa chatte, à mesure que le temps passe, je sens que l’endroit devient de plus en plus humide.
Elle me regarde dans les yeux et me dit « C’est ta queue que je veux ». Elle me bascul ...

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