A 57 ans, j’ai vu et vécu bien des choses sur le plan sexuel. Je dois avouer cependant que mon dernier rendez-vous dans une chambre d’hôtel près de Metz, m’a permis de découvrir le plaisir d’être à la merci de l’objectif d’un appareil photo, capable de saisir chacun des instants faisant de moi un objet, un jouet qu’on remplit de semence.
Le monsieur d’un certain âge, m’avait repéré sur le site de drague que je fréquente habituellement. Il m’avait envoyé un message dans lequel il me faisait remarquer que mes photos si excitantes soient elles, n’étaient pas de bonne qualité et ne mettaient pas suffisamment en valeur la vieille salope à petite bite que je suis. Il me proposa donc un rendez-vous à l’hôtel pour une petite séance photos érotiques que j’acceptais volontiers.
Cette séance se déroula en milieu d’après-midi. Je suis entré dans la chambre dans laquelle il m’avait donné rendez-vous. Il m’attendait. Il était vêtu d’un jean’s et d’un t-shirt bleu. Dans mon sac à dos, les vêtements et sous-vêtements qu’il m’avait demandé d’apporter ainsi que quelques jouets sexuels et érotiques. Plus en détail, j’avais apporté un short vinyl, un short de sport, un collant ouvert, une petite culotte blanche, des gants noirs, mes baskets blanches, une chemise blanche, un collier de chien, une laisse, une cagoule, un petit gode rose et du gel lubrifiant.
Il me demanda de me changer dans la salle de bain. Une fois changé, je suis revenu dans la chambre. Il avait préparé l’appareil photo sur un pied et il s’était déshabillé. Il était là devant moi, nu le sexe déjà en érection.
Le but du jeu était selon ses règles de faire en sorte que pendant toute la séance photo, je fasse tout ce qu’il fallait pour qu’il bande dur. C’est lui qui dirigeait la séance.
Il me demanda d’abord de m’asseoir au bord du lit et d’écarter mes jambes gainées du collant ouvert, pour laisser deviner ma petite culotte blanche (j’entendais les crépitements de l’appareil photo et cela m’excitait).
Il me demanda d’écarter mes cuisses davantage et de son index il fit en sorte qu’un de mes testicules rasés sorte sur un côté (là encore les cliquetis de l’appareil photo se déchainaient).
Ma petite culotte blanche se retrouva bien vite à hauteur de mes genoux, l’appareil photo continuant son œuvre.
Il me demanda ensuite de me mettre à genoux devant lui. Cagoule sur la tête et collier de chien autour du cou, il me demanda de regarder le plafond en tirant la langue. Sa bite était là, au-dessus de mon visage (j’entendais les crépitements de l’appareil photo).
Ma culotte était trempée de ma m ...

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