J'étais prête, maquillée, vêtue d'une minijupe et bas fins. J'étais déjà très excitée, mes tétons tout durs sous la soie. J'attendais trois hommes déterminés à me partouzer par tous les trous… Ils sonnèrent à 20h. À peine leur avais-je ouvert la porte, que l'un d'eux me plaqua contre le mur d'entrée, me prenant la bouche en me triturant les fesses ! Ma petite chatte en trembla… je lui caressa la queue à travers son pantalon pendant que les deux autres messieurs entraient dans le salon. Il me mit assez rudement à genoux et m'engouffra sa queue dans la bouche sans ménagement, jusqu'aux couilles ! J'étouffais mais réussi à sortir ma langue pour lui lécher les boules… Il me baisa la bouche deux trois minutes, puis m'entraîna dans le salon.

Les deux autres s'étaient, déshabillés et attendaient sur le canapé, leur queue raide en l'air. Paul, celui qui m'a prise dans l'entrée, me poussa vers eux et m'ordonna de les sucer tous les deux. Ce que je m'empressais de faire, à genoux et déjà toute mouillée… Leurs deux bites furent ravies, je crois. J'allais de l'une à l'autre, puis avalais les deux en même temps. Paul releva ma jupe et commença à me peloter les fesses, me les écarter, jouant avec ses doigts pour me les enfiler. Je suçais les deux autres encore plus excitée par la main qui me fouillaient la chatte ! Puis il prit le martinet sur la table, me caressa lentement la fente et m'assena soudain un grand coup ! J'en avalais à fond la bite que je léchais ! Paul continua de me fouetter les fesses à bonne allure. À chaque coup, je faillis jouir ! Il cessa, mon cul était cramoisi, je le sentais en feu et ça me rendait folle de jouissance. Je sentis son sexe faire le pinceau entre mes fesses… j'étais au paradis ! Deux bites dans la bouche et l'une qui allait m'enculer fortement ! Il me pénétra d'un coup ! Il avait une grosse queue et un énorme gland. J'ai crié comme une chienne ! Jo et René me trituraient les tétons. Sans prévenir, Jo me déchargea tout son foutre dans la gorge, et il y en avait du liquide ! Paul me ravagea le cul et plus il me le détruisait plus je m'ouvrais comme une vraie femelle ! René ne fut pas long à me jouir sur le visage, j'en avais partout ! Paul me limais de plus en plus fort, faisant claquer ses grosses couilles sur mes fesses ! C'est son cri qui me signala qu'il allait me remplir le ventre ! J'ai joui en même temps que lui ! Et dieu sait qu'il me l'a rempli le ventre ! Son sperme n'arrêtait pas de s'enfuir de ma chatte !

Nous nous reposâmes un peu, en buvant du champagne…

Plus elle est grosse, plus j'aime, évidemment ! Celles qui racontent que la taille ne compte pas, je ne les crois pas !… hihihi…

L'autre soir, j'avais rendez-vous chez un ami black avec lequel je n'avais encore jamais baisé. On boit un peu, ...

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