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Le Bracelet de Momo (Episode 1)

Publié par : diegoo le 01/09/2022

Depuis quelques moi, j’ai un patient au Bois de l’Aune, une des plus connues des cités du pays d’Aix.
Chaque soir, quand j’ai fini les soins de Robert, je rentre chez moi directement.
Régulièrement, en sortant de l’appartement de mon patient, je dois enjamber un petit brun cheveux tondus, très mat de peau, toujours en survêtement, assis à terre, adossé au mur et les baskets contre le mur opposé.

Chacun des jours où je le croise je suis obligé de fendre sa sphère intime pour longer le couloir jusqu’au escaliers,
Chacun des jours où il est là, mon paquet passe au niveau de sa tête et mes baskets frottent presque le sien.
Chacun des jours où je l’enjambe, il ne bronche pas, ne dit rien et me regarde.
Chacun des jours où mes couilles passent devant lui je regarde ses baskets et je me dis que je les lui retirerais bien.
Chacun des jours où mes baskets frôlent son paquet je me dit que je lui mettrais bien mon pied entre les cuisses….
Chacun des jours où….
Un jour, au moment ou je pose mes yeux sur ces pieds:

-hey mec, tu fais quoi là ?
-Je rentre chez moi j’ai terminé…
-mec, tu viens j’ai mal à la jambe
-c’est à dire?
-Tu me fais un pansement, j’ai mal…
-OK montre moi…
-on va chez moi…

Je ne savais plus trop ce qu’il se passait mais je m’efforçais de rester très professionnel sans pouvoir m’empêcher de poser mes yeux sur son cul quand il s’est levé et s’est dirigé vers sa porte. J’ai noté qu’il boitait légèrement et me suis dit qu’il était probablement sincère. Je suis toujours méfiant dans ce genre de situation. Je le suis jusqu’au bout du couloir.

Je franchis la porte d’un petit appartement, plutôt bordélique et sombre. Une assez forte odeur de clope me prend au nez, je le suis dans l’unique pièce salon-chambre… En plus de l’odeur du tabac, mes neurones s’affolaient en détectant les effluves de chaussettes, baskets, boxers qui jonchaient le sol, des odeurs d’interminables branlettes, de quoi alimenter mes fantasmes. Dans mon métier je suis habitué à ce genre de chose. Mais là c’était différent et je n’arrivais pas à décrire, mais mon coeur s’accélérait et je transpirais dans le slip.

Il se jette assis au bord du lit et remonte une jambe de son survêtement. Mon regard balayait doucement sa jambe poilue du genou à la pointe de sa chaussure. il portait les Nike si populaires ...

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Mots-clés : En partie vraie, Gay, Soumission/domination, Fétichisme, Odeurs, Uro/Scato, Au travail