Laurence sort de sa salle de bain, vêtue de son peignoir, en finissant de se sécher les cheveux.
« Hmmmm » se dit-elle « Aujourd’hui est un grand jour. Je dois être TRES sexy »
En cette fin d’après-midi, en effet, elle se prépare à sortir entre filles pour fêter son prochain mariage avec Franck, prévu dans deux semaines. Et elles ont bien l’intention de vraiment faire les vamps pour aguicher tous les hommes de passage… Et de s’amuser entre elles, selon les préférences de Sylvie et Nadège…
Le soleil inonde encore son grand appartement par les immenses baies vitrées de cette tour.
Après avoir posé sur son lit un tailleur noir assez coquin, avec sa jupe assez haut fendue et sa veste à revers plongeants lui faisant généralement un décolleté de rêve, elle ouvre les tiroirs de sa commode qui renferment ses trésors de lingerie fine.
« Bien sûr, bas et porte-jarretelles, comme toutes les copines aujourd’hui…» fredonne Laurence. « Noir, classe, ou bien rouge -un peu pute-, ou blanc, ivoire, violet -vraiment très pute-, gris… Oh, j’en ai presque trop, avec tous ces cadeaux de mes anciens copains…Bref, essayons »
Laurence lance tout en tas sur son lit, ôte son peignoir et s’assied, nue, au bord du grand lit, face au miroir immense qui jouxte sa commode. Le soleil vient jouer sur sa peau bronzée.
« Bon, le plus facile, ce sont les bas, il y a moins de choix » se dit Laurence en enfilant lentement de jolis bas fumés très soyeux, dont le haut garni de petites dentelles est pour l’instant un peu lâche sur ses cuisses, n’étant pas encore tendu par les jarretelles.
Puis elle commence à essayer successivement toutes ses tenues. Chacune ou presque lui rappelle une situation érotique avec un garçon différent :
En passant cette adorable culotte ivoire toute transparente et garnie de dentelle, elle se souvient du sexe durci de Mathieu contre ses fesses, alors qu’il était debout derrière elle et venait de l’aider à l’enfiler, et de la chaude matière visqueuse qui avait soudain inondé cette dentelle lorsqu’elle avait saisi ce sexe tendu à deux mains dans son dos et l’avait branlé vigoureusement tout en se tordant elle-même sous les baisers de Mathieu dans son cou…
En se regardant à genoux dans la glace avec le porte-jarretelles rouge en satin, elle croit encore sentir les deux mains qui passaient dessous et agrippaient ses fesses satinées aussi alors qu’elle était agenouillée sur la banquette et enfonçait son sexe avide sur la verge tendue d’Alain qui la pénétrait par le côté de son slip au cours de ce long voyage en train de nuit au fond d’un compartiment sombre mais où la crainte d’être découverts décuplait leur plaisir…
Et maintenant le souvenir de la bouche de Philippe qui, à genoux dans cet ascenseur d’un hôtel d’Atlanta, le visage sous sa jupe ample, mordillait ses fesses à travers le tulle violet de cette culotte qu’elle regarde maintenant mouler ses jolies fesses par dessus ses bas haut perchés tendus par les jarretelles larges d’un serre-taille damassé genre 19è siècle…
Ou bien encore…
L’esprit de Laurence s’envole à l’évocation de ces souvenirs excitants que ses essayages successifs ramènent à la surface, et ses sens s’échauffent sous les caresses conjuguées des ses mains câlines et des frôlements sensuels des petits morceaux de tissus couvrant et découvrant alternativement les zones les plus sensibles de son corps ferme et sensuel…
Elle glisse maintenant du lit… La voilà assise sur la moquette épaisse, jambes repliées et écartées encore revêtues des bas qui plissent maintenant, les dernières jarretelles ayant sauté au moment de sa glissade… Leurs petites boucles métalliques reposent retournées sur son ventre nu, entre le haut de son string en tulle bordé de dentelle et son nombril…
Laurence regarde dans le miroir la toison brune et fournie qui apparaît sous le tulle transparent, et sa main qui lentement descend le long de son ventre, écarte les jarretelles inutiles et vient doucement frotter ce sexe gonflé à travers le tissu si fin… Elle regarde encore, intensément, les détails les plus intimes qui apparaissent maintenant quand ses mains remontent et tirent le haut du petit string vers son ventre… Cette vision et la pression du tissu provoquent presque un orgasme… Elle relâche la dentelle, et elle fixe de nouveau dans le miroir ces doigts qui redescendent, pénètrent sous le petit string…
Elle ferme les yeux et s’abandonne sous la caresse de ses doigts qui entrent doucement dans la moiteur…
Quand tout à coup… Toc, Toc, Toc…
Laurence met quelques secondes à émerger de sa torpeur érotique, se redresse et regarde vers la porte, quand un autre toc toc sur sa gauche lui fait soudain comprendre que c’est de la baie vitrée que vient le bruit…
Elle sursaute en découvrant de l’autre côté de la vitre, en plein soleil couchant, un laveur de carreaux accoudé au bord de sa nacelle et qui la regarde en souriant d’un air goguenard…
Laurence se redresse d’un bond et tente par réflexe le geste classique, un bras replié sur ses seins et l’autre main largement étendue devant son sexe, avant de se rendre compte du ridicule la chose compte tenu de son allure ( bas plissant sur ses jambes, jarretelles s’agitant autour du haut de ses cuisses, soutien-gorge replié sur son ventre ) et du fait que le laveur venait certainement d’en voir beaucoup plus…
Le fait qu’il soit jeune, plutôt mignon, qu’il ait l’air sympa et surtout que les baies vitrées de cette tour ne peuvent pas s’ouvrir ne sont pas non plus pour rien dans le fatalisme de Laurence, qui laisse retomber ses bras, puis hausse les épaules en souriant d’un air contrit…
S’ensuit un « dialogue » rapide, tout fait de gestes et expressions de visage :
-Laurence, tapotant son avant-bras gauche du bout de l’index droit et haussant les sourcils, s’étonne de l’heure tardive du nettoyage des vitres…
-Eh! semble répondre l’inconnu en écartant les bras et les levant paumes vers le haut. Puis il exprime avec son pouce levé et un sifflement que Laurence perçoit faiblement son admiration pour le « spectacle »…
-Elle parvient à lui demander encore s’il l’a vu longtemps
-Deux à trois minutes environ est la réponse. Le jeune inconnu ajoute alors sa demande de voir la belle recommencer par voie d’un petit mouvement circulaire de la main droite devant lui… Et précise qu’il voudrait bien la voir aussi retendre ses jarretelles… avec un geste sans équivoque, ses doigts accrochant dans le vide un bas imaginaire sur sa cuisse droite…
- Laurence rit gentiment, le traite de petit coquin avec le mouvement classique de l’index près de son visage…
… Et elle se prend tout d’un coup au jeu… Après tout, elle ne risque rien, ne le connaît pas et n’a aucune chance de le revoir, puisqu’ après son mariage elle déménage et que les laveurs de carreaux ne seront ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur