Fraîchement sortie de l'école ,je fus conseillé pour participer à une formation afin de parfaire mon expérience dans le monde du travail. J'intégrais donc un stage qui me permettrait de trouver un emploi à la fin des dix mois d'apprentissage. Le groupe de huit stagiaires d'un niveau allant du BEP au BTS était formé par un vieux monsieur très gentil mais aussi très exigeant. Celui ci était secondé par Rahman ,un secrétaire d'origine étrangère qui s'occupait de toute la partie administrative.
Très vite, je m'aperçus que Rahman tournait autour de moi. Il m'apportait du café à ma table (alors qu'il ne le faisait pas avec les autres stagiaires), me rejoignait en pause pour pouvoir discuter avec moi, me posait quelque fois des questions personnelles : avais-je une copine? Habitais-je encore chez mes parents ? Je crois qu'il tâtait le terrain comme on dit. Au fil des jours, il se lança en m'avouant qu'il me trouvait très beau, que j'avais la plus belle bouche du monde! que je devrais être mannequin de mode plutôt que de travailler dans la mécanique...
Amusé par son attitude envers moi, j'entrais dans le jeu de séduction du "chat et de la souris "en l'allumant dès que j'en avais l'occasion sans jamais vraiment franchir le pas, me justifiant hypocritement qu'il ne fallait jamais mélanger travail et sentiments. Je jouais avec lui, tour à tour faisant une moue boudeuse puis l'aguichant comme la pire des salopes. Un de mes petits jeux coquins favoris était de choisir une banane en dessert pour le repas du midi que nous passions tous ensemble au réfectoire. J'épluchais lentement le fruit, le déshabillant de sa pelure et l'engloutissait jusqu'au fond de ma gorge en l'épousant voluptueusement de mes épaisses lèvres charnues. Tout en fixant Rahman droit dans les yeux, je mordais dans la chaire tendre du fruit avec un sourire vorace en lui faisant un clin d'œil avec un sourire vorace. Subjugué ,il me reluquait avidement puis détournait le regard, perturbé par tant d'effronterie.
Notre petit manège ne passa pas inaperçu par les autres stagiaires et notre formateur, qui voyait ça d'un très mauvais œil. Mais je continuais tout de même mon petit manège sans me soucier du "qu'en dira t'on". A la fin de la journée, nous nous retrouvions Rahman et moi pour parler et flirter gentiment. Nous nous embrassions dans ma voiture ou chez lui lorsque je le ramenais, sans toutefois aller plus loin.
Je lui fit part un jour que je ne pourrais pas le reconduire car je devais passer la visite médicale obligatoire. Son regard s'assombrit d'un coup, et il m'avertit que je devais me méfier du médecin du centre de formation, que c'était un pervers qui aimait profiter de sa situation pour abuser des jeunes hommes qu'il trouvait mignon! Intrigué par cette nouvelle qui éveilla en moi une certaine excitation, je fit mine de rien en le rassurant et en lui promettant que je calmerai les ardeurs de ce vieux salaud si celui-ci devenait trop entreprenant.
Le lendemain je recevais ma convocation et me rendais à l'infirmerie, frappais à la porte et attendais sagement qu'on me dise d'entrer. Le médecin assis derrière le bureau était un homme d'âge mur ventripotant. Sans même me saluer, il me dit de me déshabiller. Du regard, je cherchais la cabine pour enlever mes vêtements dans l'intimité mais il me dit que je pouvais me déshabiller ici! Un peu maladroitement je retirais un à un mes vêtements sous son regard de fouine jusqu'à me retrouver en slip chaussettes devant lui. Il m'invita ensuite a m'asseoir et fit rouler son siège face à moi, en passant son stéthoscope de son cou à ses oreilles et posa l'embout métallique froid contre ma poitrine. Tout en "m'auscultant " ,il se rapprochait de plus en plus de moi, son genoux vint en contact de mon entrejambe et comme si de rien n'était il commença à le frotter de plus en plus rapidement contre ma culotte. Affolé par la situation très gênante mais aussi très excitante mon cœur commença à s'emballer. Au travers du stéthoscope, le gros médecin au sourire pervers me dit de me calmer et de monter sur la table.
Une fois allongé, tremblant d'excitation, j'attendais la suite avec impatience et appréhension. Il commença à me palper, me dit que j'avais la peau très claire et très douce...il s'attardait au niveau de mon bas ventre, je sentais ses mains boudinées glissées sous ma culotte pour me la retirer. Je levais les fesses pour l'aider comme une bonne patiente bien obéissante. Mon sexe gonflé de plaisir s'éjecta de mon slip, comme un diable de sa boîte sous le regard amusé du docteur satyre. Les jambes écartées,, la culotte pendue autour d'une de mes chevilles, j'attendais la suite, offert et rouge de honte d'être exposé de la sorte. Ses mains soupesèrent mes grosses bourses remplies de jus, ma queue tendue palpitante suintait de mouille mon abdomen. Je dut mordre ma main pour étouffer mes jappements de plaisir. Je fermais les yeux pendant qu'il continua de "m'examiner" avec ses mains baladeuses pendant un moment qui me parut trop court. Il me dit de descendre pour venir m'asseoir à nouveau sur la chaise. Il vint se remettre en face d ...
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