La suite
Au bout d’un certain temps, difficile à évaluer, ils arrêtèrent de se relayer dans ma bouche et mes fesses. Ils m’enlevèrent l’anneau dans la bouche et le masque. Je me trouvais dans une grande pièce aux fenêtres fermées tendues de rouge. J’étais à quatre pattes sur un tapis, un lit avec des barreaux à la tête et au pied à ma droite. A ma gauche légèrement en retrait, deux canapés où étaient mes hôtes, trois homme et une femme, les trois une caméra à la main. Nus et en érection quatre hommes, un noir et trois arabes costauds, grands ; L’un d’eux me dit « Grimpe sur le lit » Je m’exécutais. J’eu une drôle de sensation. Comme si j’étais dans un état second, incapable de dire non, devenu spectateur de ma soumission et non plus acteur. Je grimpais sur le lit. « Mets-toi à plat ventre « On lui remet l’anneau » « Non pas la peine, maintenant il ne peut plus rien nous refuser, il est devenu tout à fait docile » ; C’est ça, j’avais été drogué, sûrement dans l’eau que j’avais bu. Sensation bizarre qui eut sur moi un effet curieux. Tout à fait conscient de ce qu’il se passait et plus réceptif comme si mes sens étaient exacerbés. Ils m’attachèrent sur le lit, bras et jambes écartées aux quatre coins. Je pouvais à peine bouger. Je vis le noir prendre un martinet et le premier coup s’abattit sur mes fesses. Je poussais un cri « Tais-toi ou je t’enfonce le plug dans la bouche et je le gonfle à mort » « Vous me faites mal » « Oui on sait, c’est fait pour et tu vas en redemander » « Au cinquième coup je pleurais de douleur. « Dis-nous que tu en veux encore » Je m’entendis dire « Encore » « Tu vois quand tu veux » Je reçus dix coups de martinet sur les fesses. « Tu pleures mon grand » « Bon maintenant retournez le » Je fus attaché sur le dos, bras et jambes écartés et ficelés aux quatre coins du lit ; la femme se leva du canapé et vint vers moi, elle se pencha sur mon visage et posa sa main gantée sur ma joue gauche. Elle me dit d’une voix douce « dix coups sur les fesses, ça fait mal et dix coups sur tes petites couilles et ta petite bite, ça va faire plus ou moins mal ? » « Vous m’avez fait mouiller comme une folle » A ce moment-là elle remonta sa robe. Dessous elle portait des bas auto-fixant et pas de culotte. Elle mit sa main entre ses cuisses, enfonça deux doigts dans sa fente, qui ressortissent luisant de mouille sur ses gants « Ouvre ta bouche petite larve » J’obéis « Suce bien mes doigts, voilà, comme ça » « Maintenant ils vont vous donner dix coups sur le sexe, dites-moi que vous en avez envie, ça me ferait plaisir » « J’en ai envie » « Parfait, messieurs, vous avez entendu ce qu’a dit votre jouet » Elle posa sa main sur ma bouche « C’’est pour étouffer vos cris, sinon vous allez ameuter le quartier ». Le premier coup tomba, la main de la femme appuya fortement sur ma bouche. Je me tortillais à chaque coup qui me faisait un mal épouvantable « Vous savez quoi petite pute, votre petite bite se durcit, il paraît que la douleur finit par se transformer en plaisir au bout d’un certain temps » » Vous croyez que vous allez éjaculer, ça serait cocasse, non » quand le dixième coup tomba, je pleurais à chaudes larmes. Elle retira sa main « J’adore voir les hommes souffrir » Elle posa sa main gantée sur mon sexe, je me raidis, « Sensible peut-être ? Très bien » « Messieurs détachez le, et enlevez lui ce tablier » Lorsque je fus détaché, elle dit 3maintenant tu vas te masturber devant moi. Je vais te mater tripoter ta petite bite pour en faire sortir le jus » « Viens t’asseoir dans le fauteuil », « Ecarte tes cuisses », elle s’assit sur une chaise en face de moi « montre-moi comme tu te branles bien »
J’obéis et commençais à me masturber tout en titillant mon sein gauche. « Remettez- lui son masque » L’un deux remit mon masque. Elle posa doucement sa main sur ma joue gauche. « T’aime ça te branler, hein » dit- elle « réponds » « Oui » « Oui quoi » Oui j’aime ça me branler » Aussitôt je reçus une gifle « Petite salope va » Puis une autre voix « alors on aime se branler » » réponds » « oui j’aime ça me branler » de nouveau une gifle sur l’autre joue ; Encore une fois, même question, même réponse et une gifle. Au bout de la cinquième gifle, je les suppliais d’arrêter « S’il vous plait, arrêtez » « Madame arrêtera quand tu auras joui » Je redoublais de vigueur pour jouir. J’y arrivais après avoir reçu encore une dizaine de gifles toujours avec la même question. Evidemment en jouissant, j’avais mis du sperme sur le plancher. Je fus obligé de nettoyer en léchant mon sperme.
« Bien messieurs, je vous le rends, utilisez-le pour ce qu’il est, une serpillère à foutre, nourrissez-le de votre semence, fécondez-le, n’oubliez pas de recueillir votre foutre qui sortira de ses fesses et de lui faire boire, on ne perd rien de ce précieux nectar » C’est exactement ce qu’ils firent. Pendant au moins 20 minutes, j’eu en même temps une bite dans la bouche et une dans les fesses. Puis le premier jouit dans ma bouche. Je pris le plus gros mais q ...
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