nous passons cette fin d'amidi dans mon bureau, je n'arrive pas à ne pas regarder Karine qui n'arrête pas de me sourire.
Je n'ai pu résister aux avances de cette jeune fille brune aux yeux bleus.
En plus d'être magnifique et superbement gaulée, elle embrasse comme jamais je ne l'ai jamais été.
Nos premiers ébats dans les toilettes ont été intenses mais j'ai adoré notre étreinte finale, je plane.
Elle se rapproche de nouveau de moi pour m'embrasser.
Nous entendons descendre l'escalier, mince c'est la collègue qui revient chercher le courrier à signer.
"stp Karine, retournes à ta place sinon je ne pourrais terminer."
"tout de suite mon chéri " me répond t'elle en m'embrassant de nouveau au moment où la porte s'ouvre.
" les amoureux vous n'arrêtez plus !"
Je suis obligé de repousser ma nouvelle conquête et en 5 minutes j'ai complété le parapheur.
De nouveau seul, je rejoins la "stagiaire",
"Comment nous faisons pour ce week-end ?"
"Je le passe avec toi mon cœur, je repars avec mon père, je prends des fringues et tu passes me chercher dès que tu peux."
"Tes parents ne vont rien dire ?"
"Je te rappelle que j'ai 19 ans et que tu n'es pas mon premier " clin d'œil et rires appuient ces paroles ...je suis cloué par tant d'aplomb.
Plus je la regarde plus je la trouve belle.
J'expédie un dernier dossier, puis je file chercher mon nouvel amour qui habite à 10 km de chez moi.
J'appréhende la réaction de ses parents.
Je suis reçu par la mère, le père est dans le garage.
Karine apparaît aussitôt. "Viens voir ma chambre", à peine le temps de réagir qu'elle me tire par la main vers l'escalier.
La porte franchit, elle la ferme, me pousse sur le lit et se jette sur moi.
"Tu m'a manqué mon chéri"
" Arrêtes ça fait une heure et ta mère est en bas "
Elle m'embrasse dans le cou et progressivement le torse en déboutonnant ma chemise.
Son sexe est collé au mien, elle ondule du bassin et ainsi masturbe ma queue prisonnière de mon caleçon et de mon pantalon.
Je passe mes mains sous sa jupe, ouahhh elle n'a pas de culotte.
"Surprise mon chéri"
Dans l'instant je la retourne et me retrouve sur elle, j'ai envie de découvrir son corps vu trop furtivement dans les toilettes de l'entreprise cet amidi.
J'ôte ma chemise et entreprend de soulevé son top, hummm sans sous tif, plantés au centre de petites aréoles,ses tétons bruns pointent...je les dévorent, les mordillent encouragé par des "oui ...

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