Il y a des histoires qui n’ont qu’un si désespèrent chapitre qu’il est tombe dans le panier des choses à ne pas se rappeler, la case de chose à ne surtout pas refaire, voire carrément les deux. Avec ma soumise Dominique (Tv), nous n’avons qu’une idée après avoir écrit le second tome, c’est de se mettre à l’ouvrage pour le troisième avec les moyens ad-hoc.

Le plan est de se retrouver sur le parking du sauna « Le 9» au Cannet, d’aller faire les boutiques ensembles puis de passer une partir de l'après-midi au sauna aprèm 3eme sexe. La veille au soir, j’apprends que le sauna est fermé quelques jours et il est difficile de contacter ma puce à cause de Madame (Sa femme, pour ceux qui n’ont pas lu mes précédents écrits). Je me mets tout de même en route un peu en avance sur mon horaire prévu. Elle me téléphone peu avant mon ravitaillement en GPL. Nous changeons de lieu de rencontre, le parking de covoiture habituel. Sur place, une fois un souci de gant en dentelle perdu résolu, objet que Madame ne doit trouver en aucun cas, nous prenons la direction d’une boutique que j’avais visité seul à Villeneuve Loubet lors d’un précèdent déplacement professionnel. Nous y sommes restés un moment tant la tâche était un poil compliquée. Donner un semblant de poitrine… Au bout de moult essayages, sous le regard de la vendeuse ravie de voir un duo aussi inhabituel autant à l’aise, nous trouvons notre bonheur. La silhouette est plus féminine, naturelle sans excès. De mon côté, pour la petite histoire, j’affole un peu le personnel en annonçant que lécher ne me pose pas trop de soucis, mais je ne trouve le gout du lubrifiant parfois pré appliqué moyen moyen. Un autre domaine qui est plus naturel et qui se confirmera tout au long de la journée, c’est notre relation. Ne vous méprenez pas, ce fut bien auparavant, c’est encore meilleur. Le stress de la première rencontre est loin, la seconde s’est déroulée à merveille, et les échanges chats et téléphoniques, car oui, nous utilisons parfois ce moyen, ont pour résultat de confirmer notre complicité. Nous quittons la boutique et pendant le trajet nous parlons, de pas mal de choses y compris de mon défaut… Ma pilosité. Car oui, même si je faisais un élagage pour que cela ne ressemble pas à la forêt vierge, c’était loin d’être un paysage lunaire. Moi qui comptais garder ça pour le sauna, j’annonce avoir déclaré la guerre à mon isolant thermique naturel il y a quelques temps déjà. De son coté, elle me fait part de son désir de se faire maquiller comme une dame en institut. Je trouve cette attitude digne d’une femme qui veut plaire, qui prend soin d’elle, et fatalement en contradiction avec une de mes voisines que je croise robe tong chaussettes sans égaler le bon gout de son mec qui lui troque la robe au profil d’un peignoir zèbre. Dominique, ça se confirme, est un bonheur de femme sexy, pas pénible du tout. Ah oui ! Je ne vous ai pas dit où nous allons: Cap 3000, un grand centre commercial avec plein de monde. Nous passons à la vitesse supérieure en délaissant les lieux un peu spécialisés ou assez peu fréquentés pour notre premier bain de foule. Dominique a un collier noir avec anneau en plus d’être habillée pour mettre bien en évidence la splendeur de ses jambes. Si le but est de rendre autant fous les males présents que raide de jalousie leurs nanas finalement pas aussi bien foutues, nous sommes au bon endroit. D’ailleurs, nous nous faisons quand même parfois bruyamment remarquer. Nous faisons quelques boutiques, surtout des chaussures. Pas seulement… Chez une enseigne de luxe, Après avoir mis de côté un peu de maquillage, un vendeur, probablement gay, propose de tester les produits de la marque sur Dominique. Elle a droit à quelque chose d’assez poussé, rouge et crayon à lèvres, fond de teint, poudre, crayon pour intensifier le regard. Elle s’inquiète du temps que cela prend car je ne suis que spectateur, mais ce moment est pour elle, si ce n’est en institut, elle se fait pomponner et elle y trouve un plaisir certain. Des vendeuses se délectent discrètement de ce spectacle inhabituel. Une dame en profite de beaucoup plus près et nous parle un peu… Elle a raison, en plus, ça lui donnera un croustillant sujet de conversation au moment de prendre le thé entre copines. Maquillée et contente du résultat, nous cherchons des bas… Cette vendeuse-là, qui ne se doute de rien au départ, est surprise d’apprendre que Dominique fait partie de ces femmes qui ont quelque chose en plus. Déstabilisée, elle patine un peu dans la semoule un court instant, j’adore. Nous partons et en route. Dominique appelle Madame pour lui dire qu’elle rentrera plus tard, nos moments ensembles, même softs sont si intense que le temps s’écoule vite. Nous nous arrêtons pour partager un café gourmant histoire de ne pas avoir le ventre complétement vide en tête à tête, comme tout le monde,. Nous nous dirigeons vers notre destination finale, le Klub, sauna libertin à Fréjus pour une première visite.

Nous entrons et payons le tarif couple. Je pars me dévêtir et je me montre nu comme un ver. Une couple, des Allemands font de même, nous échangeons difficilement quelques mots. Malgré le surplus de temps obtenu, nous n’en n’avons pas plus que ça. Désirant être punie, j’emmène la coupable vers la zone conviviale afin d’y mettre un peu d’ambiance. Problème, Dominique est seulement adorable… C’est avec une mauvaise foi absolue que j’y demande de poser ses mains con ...

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