J'ai toujours jouit d'une très bonne santé. C'est pour moi un motif de satisfaction. Je dirais même : de fierté. Bien-sûr, c'est un peu déplacé parce que je n'ai aucun mérite à cela.
Pourtant, au cours de ma soixante-et-onzième année, je dus subir une intervention chirurgicale. Rien de très grave mais, comme prévu, elle dut être suivie d'une assez longue convalescence, que je passai dans l'établissement spécialisé vers lequel m'avait orienté mon médecin. Une fois là-bas, je me rendis compte qu'il était l'anti-chambre de la maison de retraite attenante, ce qui me plongea dans un abîme de perplexité.
Mais bon, l'endroit n'était pas sordide, l'ambiance plutôt bonne et le personnel sympathique. Ayant récupéré l'essentiel de mes forces, mon moral revint après quelques jours. En fait, ce qui me manquait dans cette nouvelle vie, c'était d'être privé des petits plaisirs auxquels je m'étais accoutumé ces dernières années. Après mon divorce, et une fois en retraite, j'avais pris l'habitude de rencontres sexuelles avec des hommes trouvés avec la complicité de lieuxdedrague.fr.
C'est là qu'entre en scène Paul (le hasard a voulu qu'il ait le même prénom que moi), mon aide-soignant attitré. Paul, robuste Malien de 35 ans, était amené à pénétrer régulièrement dans mon intimité, pour mes soins, pour les nécessités du service ou pour simplement me tenir un peu compagnie. Ces visites ont rapidement pris un tour intime et je pus profiter de la vigueur de son membre, au grand plaisir de mon anus qui était en manque. Finalement, cette convalescence était agréable !
Mais cette douce euphorie fut troublée au bout de deux semaines.
"- Monsieur Paul, je ne vais plus pouvoir vous voir si souvent, madame Sylvia est de retour.
- Madame Sylvia ?
- Oui, l'intendante en chef. Elle revient demain de vacances."
Madame Sylvia, j'en avais entendu parler par les résidents. Plutôt des murmures, des allusions, certains positifs, d'autres non. Bref, je ne savais pas à quoi me tenir à son sujet mais il était clair que la dame ne laissait pas indifférent.
Et je vis madame Sylvia. Une magnifique femme à l'épaisse chevelure brune, aux lèvres recouvertes d'une couche de vermillon - le même que celui de ses ongles -, aux formes généreuses. Une femme de cinquante-cinq ans, âge qui est pour moi celui de l'apogée de la beauté féminine. Sous la blouse blanche de rigueur dans cet établissement médicalisé, impossible de ne pas imaginer un soutien-gorge noir tentant de contenir une opulente poitrine. Impossible de ne pas fantasmer sur une culotte de dentelle noire, des bas, un porte jarretelles. Et ce nom, Sylvia ! Pourquoi pas Katia tant qu'on est dans le registre de l'infirmière porno ?!?
Mais, de fait, je voyais Paul beaucoup moins. Je remarquais qu'il était souvent dans l'aile Nord, où je savais qu'il y avait quelques chambres. Quand je l'interrogeais à ce sujet, il restait évasif, presque mal à l'aise. Je n'en fus que plus curieux et trainais de plus en plus souvent dans le hall donnant accès à l'aile Nord. Je finis par réaliser que seules des femmes y logeaient. Certes les femmes étaient largement majoritaires dans notre établissement mais le fait était que le seul homme (et quel homme !) pénétrant dans ce sérail était Paul.
J'étais plongé dans ces réflexions quand, en fin de matinée, le beau Paul vint me trouver dans ma chambre.
"- Monsieur Paul, j'ai quelque chose à vous demander...
- De quoi s'agit-il Paul ?
- Eh bien, il y a maintenant sept pensionnaires dans l'aile Nord et j'ai du mal.
- Explique-toi ! Que veux-tu dire ?
- Euh, c'est madame Sylvia qui pense que vous pourriez venir avec moi pour m'aider.
- Si c'est une idée de madame Sylvia... Entendu, Paul, je t'accompagnerai."
Et je verrai alors de quoi il retourne, me dis-je intérieurement.
Dès l'après-midi, Paul vint me chercher pour aller dans l'aile Nord.
L'aile Nord se distingue des autres par son raffinement, sa coquetterie, son parfum. Les couleurs, sans être criardes, y sont plus vives qu'ailleurs. La moquette plus épaisse. Des fleurs fraiches agrémentent les guéridons. On est en "première classe".
À la porte de la chambre 105, Paul s'arrête et se tourne vers moi :
"- Monsieur Paul, s'il-vous-plaît, venez avec moi et faites comme moi".
Il frappe et la porte s'ouvre aussitôt. C'est une femme "encore belle" qui ouvre. "Encore belle", l'expression n'est pas bonne. C'est une belle femme de soixante-quinze ans peut-être, qui s'est apprêtée avec soin, avec goût. Juste ce qu'il faut de maquillage, un décolleté comme il faut pour donner envie d'en voir plus, une jupe droite au-dessus du genou sur des jambes gainées de noir. Une autre femme est là aussi, un peu en retrait bien qu'habillée de façon plus provocante. Nous entrons dans la chambre et la porte est soigneusement refermée derrière nous. Les femmes attendaient Paul avec impatience mais ne semblent pas surprises par ma présence. Sans doute en avaient-elles été averties. Bientôt la première femme enlace Paul et leurs bouches se trouvent. Paul se dénude entièrement devant la femme, qui garde ses sous-vêtements. J'admire encore une fois la formidable érection de Paul, mais son membre disparait rapidement dans la bouche de la femme. Je suis captivé par ce spectacle mais Paul, d'un regard significatif, me rappelle la consigne : faire comme lui. Je m'approche donc de la deuxième femme, dont la timidité bridait l'envie de sexe. Comme Paul, je me déshabille et c'est entièrement nu que je l'enlace. La femme réagit aussitôt et me plante une langue salivante dans la bouche. Ma main droite passe entre ses cuisses et remonte vers sa culotte pour la caresser. Puis je dégrafe son chemisier et le fais glisser sur ses épaules. Les bretelles du soutien gorg ...
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