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La Coline de Sainte Appoline des Yvelines

Publié par : monideal le 03/05/2024


En repos cette semaine et ayant du temps à perdre, je décidais donc de retourner me perdre dans mon lieu favoris et si bien répertorié sur le site.

— Un endroit pour respirer l’air frais.
— Mais surtout un vrai repère pour se faire baiser !

Cette envie qui me vient souvent et qui me donne un superbe but de promenade. Je me changeais pour ne porter que mon Jokstrap petit short sexy court et facile à enlever, polo ample et des baskets, et c’est donc dans cette tenue que je me rendis sur le parking en question, il se trouve proche de chez moi, et c’est bien commode.

Arrivé sur place, j’en profite pour regarder les alentours afin d’éviter les forces de l’ordre qui passent régulièrement…

J’ai bien l’intention d’occuper une partie de mon après midi en réalisant mes fantasmes homo ! Je rêvais d’avoir une belle queue dans ma bouche, une belle queue que je rendrais bien raide avant qu’elle ne m’encule ! Je monte doucement par le petit chemin discret, et l’envie se fait de plus en plus présente de sucer une bonne queue.

Arrivé en haut du chemin, j’emprunte ensuite l’allée qui mène aux alcôves ou il est possible de bronzer nu et d’y faire des rencontres. j’en trouve une et j’en profite pour faire une pose.

Mais voilà que j’entends des voix, effectivement, un peu plus loin, deux types arrivent dans l’autre sens. Ils s’approchent, ils m’ont vu et, pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté, ils se tiennent par la main. 2 beaux mecs, et je pense qu’ils ont bien envie de jouer car j’ai droit à un petit sourire…

— Bonjour !
— Bonjour !
— Tu as l’air perdu ? avec un clin d’oeil évocateur….
— Je suis surtout un peu seul ! Je me lance direct, car j’ai trop envie
— Tu veux t’amuser un peu avec nous ?
—  Avec plaisir.
— Cette petite clairière est faites pour nous alors ! Approche, qu’on s’embrasse ?

J’ignore dans quoi je m’engage, mais très envie de jouir. Les deux hommes s’approchent et on s’embrasse. Sans que j’aie le temps de réaliser, le premier baisse son pantalon, libérant son sexe qu’il tient à pleine main et qu’il fait maintenant grossir en le masturbant légèrement. Cette bite est magnifique, bien droite et terminée par un gland bien lisse, d’une belle couleur un peu mauve. Le trouble me gagne. Cette bite, il me la faut. Soudain, l’homme qui s’appelle Mario cesse de se branler, sa bite a maintenant grossi, et il me l’exhibe, que dis-je, il me l’offre. Je la prends dans mes mains et la masturbe à mon tour. Elle est douce, elle est chaude. Le deuxième promeneur Arnaud passe alors derrière moi et, sans me demander mon avis, baisse mon cycliste et vois mon jockstrap, me voici les fesses à l’air.

— T’as un beau petit cul, un vrai petit cul de gonzesse !

Le voilà qui maintenant me lèche l’anus, il y a longtemps que l’on ne m’avait pas fait cela, il fait cela très bien, sa langue est douce et agile, et il n’hésite pas à pénétrer dans mon trou aussi profondément qu’il le peut. Il arrête soudain de me lécher, je sens maintenant un doigt me pénétrer, il me masturbe le cul à coup de va-et-vient. Cette position n’est pas pratique, j’écarte les jambes et me penche en avant, j’ai donc du coup la bite de Mario à hauteur de ma bouche, et j’entreprends de la sucer, elle est délicieuse, un léger goût d’urine, mais ce n’est pas pour me déplaire.

Derrière moi, Arnaud a retiré son doigt, j’ignore ce qu’il fabrique, ne souhaitant pas me retourner, et tout d’un coup, je sens quelque chose de plus gros qui tente de pénétrer mon anus. Il est tout bonnement en train d’essayer de m’enculer, la pénétration est douce car il a mis une capote, et il joue avec ma chatte, le type a du savoir-faire et continue à me pénétrer, une fois entré, il reste un moment sans bouger, puis commence des petits va-et-vient qui deviendront de plus en plus rapides. Je suis aux anges, voila ce que je recherchais, ce plaisir trouble, et me voici dans ce bois en train de me faire enculer tandis que je suce une bonne queue. Le bonheur, quoi ! et en plus complètement à poil…. moi qui adore l’exhib…

La bite de Mario est devenue toute dure au contact de mes lèvres et de ma langue, j’agis d’instinct, en donnant des petits coups de langues sur le gland, puis me sers de mes lèvres pour effectuer un mouvement de succion. Arnaud s’est retiré de mon cul. Le voici qui passe devant et retire son préservatif, du coup c’est Mario qui se positionne derrière moi et qui me prend le cul, la pénétration est plus facile, sa bite doit être plus longue que celle de son copain, car je la sens nettement aller plus loin. Dans le même temps, je suce la bite d’Arnaud, le contact du préservatif lui a donné un goût de plastique peu agréable, mais ça ne dure pas.

Mais voici que j’aperçois, au bout du chemin, deux types qui viennent dans notre direction, d’instinct je cesse de sucer la pine d’Arnaud !

— V’là du monde, on va peut-être faire attention ?
— Pourquoi ? T’aimes pas t’exhiber ?

C’est vrai que j’en ai pas grand-chose à faire, je suis à poil et, comme si de rien n’était, je reprends ma fellation interrompue. Les deux types se sont maintenant approchés à la hauteur de notre groupe. Ils se contentent dans un premier temps de regarder, puis au bout de quelques instants, ils sortent leur bite et se masturbent en nous regardant. Moi qui adore voir des bites, me voici servi cette aprem. L’une d’elle est à portée de ma main, je la tends, le type me laisse faire et je le masturbe un peu, pas longtemps, parce que synchroniser tous ces mouvements demande une habitude que je ne possède pas. Il se place à présent juste à côté d’Arnaud, sa bite tendue vers mon visage, je comprends l’invitation et, abandonnant quelques instants la pine d’Arnaud, j’entreprends de sucer cette nouvelle queue qui s’offre à ma bouche. Je passe de l’une à l’autre, c’est trop bon ! Je suis en plein rêve, et Mario qui continue à m’enculer ! Tout cela est trop nouveau et trop bon.

Le quatrième comparse (Bertrand) ne s’intéresse pas à moi, mais profite du fait que je suce son copain pour engloutir à ma place la bite d’Arnaud ! Je bande comme un cerf, mais personne ne pense pour l’instant à me sucer ou à me branler… Mario, lui, vient de jouir dans mon cul, il repasse à nouveau devant moi, ôte sa capote et me tend son sexe gluant de sperme. J’hésite, je n’ai jamais fait cela, puis je me lance, je lui nettoie tout de la langue et des lèvres, avalant tout.

Bertrand s’est aperçu que la place était libre et, sans me demander mon avis, entreprend de m’enculer à son tour, il n’a malheureusement pas le savoir-faire des deux précédents et me fait un peu mal, à moins que ce soit mon cul qui ne supporte plus une fantaisie aussi longue et variée. Je vais pour le lui dire, mais la douleur a tendance à se calmer et finalement je le laisse faire. J’ai recommencé à sucer alternativement les bites d’Arnaud et de Kévin, ce dernier ne tarde pas à jouir dans ma bouche, et cette fois j’avale tout sans hésiter, puis il va s’asseoir un peu plus loin, attendant probablement que son copain cesse de me sodomiser.

Voici de nouveau quelqu’un qui arrive par le chemin, il s’agit d’un grand noir, seul. Il connaît Arnaud. Ils se saluent. Le voilà devant moi, j’ai maintenant sa braguette à la hauteur de mon visage. Bizarrement il ne fait rien, on m’expliquera plus tard que certains mecs ne sortent pas eux-mêmes leurs queues, trouvant beaucoup plus excitant qu’on le fasse à leur place… Je commence à tripoter sa bite à travers son jean, je la sens se raidir, mais pas assez, je continue donc. Pendant ce temps, Arnaud, que j’ai arrêté de sucer, s’est glissé sous moi et me suce (enfin !) à son tour ! Lentement je descends la fermeture de la braguette d’Alexis, je lui tripote maintenant la bite à travers son slip, je sais que je vais découvrir un très gros sexe, il me tarde de le voir, de le toucher, de le sucer. Délicatement, je sors l’engin du slip. Une merveille, j’esquisse à peine quelques mouvements de masturbation et l’engloutis dans ma bouche. Ma quatrième pipe de la matinée ! Elle est très bonne, peut-être encore plus douce que les autres, question de texture de peau, sans doute.

— Je peux t’enculer ?

Au moins, lui, il est correct, il demande ! J’appréhende quand même un peu. C’est quand même pas mal gros, tout cela !

— Ok ! Mais vas-y doucement !

Du coup Bertrand cède la place en maugréant et se finit à la main. Je n’ai plus personne à sucer ! Dommage ! Alexis pousse pour rentrer, seule l’introduction sera un peu difficile, après ça glissera tout seul, mon cul ayant été bien lubrifié par les trois autres lascars.

L’excitation est à son comble, je sens que je vais bientôt jouir dans la bouche d’Arnaud, tandis que le plaisir anal que me donne le grand black monte à son paroxy ...

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