Il est 20h30 et je vais me mettre au lit en espérant que la seconde partie du plan, imaginée cette fois-ci par moi, va bien se dérouler. Pour tendre de nouveau la perche à Florian après sa petite séance de voyeurisme de hier soir, je lui mets un rapide sms « Florian, ton oncle a confirmé son retour vers 01h30. Tu peux donc profiter de ta soirée entre amis. Je me mets au lit. A demain ». En moins de cinq secondes je reçois sa réponse « Bonne nuit Hélène. Faîtes de beaux rêves… ».
Comme la nuit précédente, je choisis de mettre la petite nuisette noire quasi transparente que Florian m’a aidée à choisir dans le magasin à Pigalle. Je me parfume légèrement et je me glisse sous la couette. Je prends mon roman posé sur la table de chevet et parcours quelques pages. Ce n’est pas facile de se concentrer sur la lecture d’un roman policier de Mary Higgins Clark quand tous vos sens n’aspirent qu’à une seule chose, sentir le corps nu de votre neveu tout contre vous dans le lit conjugal. Je finis donc par reposer mon livre et me contente de regarder un peu la télévision. Vers 22h00, je me décide enfin à éteindre la lumière et m’endors bien vite.
Un bruit de verrou me tire soudain de mon sommeil, je regarde rapidement les indications fluorescentes de mon réveil : 22h45. Ce n’est donc pas François mais Florian qui rentre à la maison. Je replonge dans un semblant de sommeil dans l’éventualité où il mordrait à l’hameçon. Je l’entends prendre une douche puis le silence se fait. Au bout d’une dizaine de minutes, je me dis qu’il ne va pas oser revenir dans ma chambre comme il l’a fait la veille en suivant les indications de François. Soudain, la porte de ma chambre s’ouvre doucement et quelqu’un s’avance vers mon lit à pas furtifs. Mon cœur se met à battre plus fort, il faut pourtant que je me maîtrise pour donner le change et lui faire croire que je dors profondément sous l’effet des somnifères que je suis sensée prendre chaque soir avant de me coucher. La couette se soulève légèrement puis un corps se glisse à côté du mien. Rien ne se passe durant deux ou trois minutes, le coquin hésite encore. Le voici qui s’enhardit enfin, son corps se rapproche du mien et une main me caresse avec douceur, il ne faudrait pas rompre le charme de l’instant par quelques mouvements brusques. Le corps se rapproche encore plus et se colle à mon dos. Je devine une queue bien raide dans mes reins, mes palpitations augmentent. Mais je ne veux pas tout lui donner ce soir, il faut que cela soit progressif pour que son envie de moi augmente chaque jour lorsqu’il me voit. Je veux faire durer le plaisir car une fois que je lui aurai pris son pucelage, cela ne sera plus aussi excitant !
Faisant toujours semblant d’être endormie, je me tourne face à Florian. Puis, comme si j’étais dans un demi-sommeil, je me colle tout contre lui et dis
- Oh, François, tu es rentré !
Puis, je l’embrasse sur la bouche et ma main se glisse vers son sexe.
Florian se laisse faire sans rien dire, sa queue durcie rapidement sous mes caresses et il esquisse quelques mouvements du bassin comme pour se masturber dans ma main. Je continue mon cinéma d’épouse endormie ravie du retour de son époux
- On dirait que je t’ai manqué. Attends, je vais m’occuper un peu de toi.
Je me glisse sous la couette et pose ma tête sur son ventre. Je lui caresse les bourses tout en excitant son gland de la pointe de ma langue. Le coquin se laisse aller et en profite pour me caresser les fesses d’une main et les seins de l’autre. Je continue mon petit jeu pendant de longues minutes puis, le sentant à point, j’embouche ce gland juvénile qui découvre peut-être là les premières joies de la fellation. Après avoir bien aspiré entre mes lèvres son joli champignon, je décide de l’emboucher entièrement. Il a vraiment une superbe queue, bien plus intéressante que celle de François. Elle n’est pas très épaisse mais elle est bien longue et j’en ai plein la bouche. Mes lèvres coulissent entièrement le long de sa tige, je marque un petit temps d’arrêt lorsque son gland est au fond de ma gorge puis je reprends le mouvement. Il se laisser aller car il ne bouge plus, sans doute pour mieux apprécier ...
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