Par un beau et très chaud après midi d’été, j’eu envie de me rafraîchir et surtout de m’amuser un peu, et pour cela je suis allé au ciné gay situé dans un sex shop de la capitale. La petite salle gay, que je connaissais déjà par de passages précédents, environ 15-20 rangées de 2x5 sièges, était peu occupée à mon entrée, uniquement par des hommes, comme d’habitude. Une douzaine-quinzaine, tous assis, seuls et éparpillés, quelques uns la queue hors du pantalon, se caressant négligemment. Quasi indifférent au film très habituel qui passait sur l’écran - un minet à poils dans la nature au bord d’un champ, se faisait molester par deux motards, le forçant à sucer l’un, pendant que l’autre le pantalon sur les chevilles, l’enculait.
Vêtu léger, je m’installais, quasi au centre de la salle. La température rafraichie du lieu, l’envie pressente de la situation et l’endroit étant choisi à cet effet, sans hésitations aucunes et pour susciter hâtivement des convoitises, j’enlevais aussitôt directement mon short, par provocation et au vu de certains. Alors ainsi, assis le cul nu sur le fauteuil, la biroute en érection en main, je me cajole distraitement en regardant moi aussi le film.
Pas 10 secondes ne se passent, que déjà 2 hommes esseulés ayant repérés mon manège, s’approchent sournoisement et s’installent sur les sièges voisins du mien.
L’un à ma gauche pose sitôt une main possessive sur ma cuisse nue, l’autre m’empoigne le manche de la queue, tendue et raide dans ses cockrings. Me caressant l’un et l’autre, me soupesant les couilles, bien vite un doigt se fait plus inquisiteur entre mes fesses, me titillant bientôt l’anus. Derechef, étant venu en cet endroit non seulement pour m’exhiber mais aussi surtout pour avoir du plaisir, je glisse légèrement sur mon siège en écartant les genoux pour lui faciliter la caresse. Celle-ci plus pressante, je me lève, me retourne et m’agenouille sur le siège, m’accoudant au dossier du fauteuil, pointant le derrière - et l’anus - dans une position outrancière non équivoque.
Immédiatement, par l’invite non déguisée, un gland se pose très vite à mon entrée culière, lubrifiée d’avance. Un bref moment et, mon sphincter s’ouvrant docilement, il m’investi les entrailles sans hésitation, jusqu’à culée. Fourrageant comme un malade, me lime la rondelle et joui très vite. Sitôt retiré, une autre queue m’envahi aussitôt les viscères, pour elle aussi entamer une chevauchée ardente.
Plus vite encore, maintenant que mon manège est visible de tous, malgré la pénombre, un attroupement des personnes présentes, se crée alors autour de ma personne. Ainsi une bonne bite se présente illico devant ma bouche pour une pipe. Pourquoi suis-je encore venu en ce lieu ? Je ne me fais donc pas prier ! Balloté par celui qui m’honore les fesses, j’ai peine a contenir celui-ci en bouche.
Le film devenu maintenant totalement indifférent pour tous, se déroule vainement. Seuls les changements de luminosités des scènes étant perceptibles, le son reflétant qu’en a lui très bien la situation actuelle, avec ses bruits incongrus.
Mon anus, dès qu’il est libéré d’une queue, est immédiatement réassiégé par une autre. Je suis caressé, massé, pétri, sur tout le corps, le tee shirt bouchonné aux épaules, bien vite lui aussi ôté. Á part mes sandalettes, je suis mis à poils. Que dis-je, nu, car je suis épilé total du sexe et de l’entre fesses. L’on me pince les tétons, malaxe les couilles. L’un me masturbe lentement.
J’en bande énorme sous ces ravissements et l’appétence ainsi générée. Comme quoi, même à 50 balais passés, un trou offert avec complaisance reste un trou, à satisfaire et à combler. Je suis tout simplement un trou vide-couilles de salope et le revendique fièrement. Au 7e ciel, j’en red ...
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