Nous sommes en 2003 en Guyane française ou je suis ingénieur cades supérieur chef d’une division de logistique à Kourou, j’ai sous mes ordres environ 400 personnes dont à peu près 300 de sociétés sous-traitantes, j’ai 53 ans marié mais seul en Guyane pour les besoins de la cause, ma femme étant restée en France pour s’occuper de nos enfants.
J’avais une maison individuelle qui me donnait beaucoup d’indépendance et me permettait de passer inaperçu et discret.
Antérieurement j’avais connu un certain Daniel qui tenait un restaurant à Cacao une petite ville en bordure de jungle, je l’avais contacté par internet et nous nous étions rencontrés deux ou trois fois lorsque j’étais missionnaire, il était venu dans ma chambre et nous avions fait un peu de sexe ensemble, il avait même réussi à me sodomiser une fois sur le bord de mon lit, bien sur tout cela se faisait dans la plus grande discrétion, j’étais à l’époque très connu en Guyane et surtout à Kourou, personne ne pouvait s’imaginer que moi j’avais des pratiques inavouables un peu homo.(le monde est encore homophobe)
Par connaissance ce Daniel avait connu une autre personne et m’avait donner son téléphone en me disant de l’appeler car cette personne était amateur d’hommes mur comme moi, il ajoutât au dernier moment que cette personne travaillait sur le pas de tir, ce qui me fit dresser l’oreille car j’étais pratiquement le chef de tous ceux qui travaillaient sur le pas de tir, de plus il avait donné mon numéro de téléphone à cette personne je me suis instantanément mis sur mes gardes, cette rencontre avec Daniel se passa en octobre 2002 alors que j’étais responsable de logistique lancement.

( anecdote intéressante, ce même Daniel trois ans plus tard m’avait demandé de le faire inviter à un lancement avec les VIP ce que je fis naturellement, le lancement terminé je descendais pour faire la fête avec les collègues, mon téléphone sonna, je répondis et reconnu la voix de Daniel que je n’avais pas vu depuis trois ans, il me remercia pour l’invitation et me demanda d’aller le rejoindre, je prétextais un aller-retour à ma chambre pour m’échapper de mes collègues, et je suis allé dans ma chambre rapidement où Daniel m’attendait, je baissais mon pantalon et mon slip et il m’encula sans autre formalité, je me changeais et rejoignis mes collègues)

La personne dont J’avais le téléphone s’appelait Xavier, je ne le connaissais pas sauf peut-être de vue, mais lui automatiquement me connaissait forcément puisqu’il avait mon téléphone et il savait qui j’étais.
En octobre, en novembre puis en décembre je reçu des coups de fil de sa part et évitait de trop parler de peur de ma trahir puis j’ai accepté d’aller prendre un verre chez lui, sans le connaitre de visu, je voulais voir l’individu et parler un peu avec lui.
Je me suis donc rendu chez lui ,il habitait au vieux bourg de Kourou et c’était plus discret pour moi, je sonnais , il ouvrit la porte, c’était un gaillard de 1.80m, assez élancé, j’appris qu’il avait 28 ans et qu’il travaillait pour une boite sous-traitante en instrumentation, effectivement je ne l’avais jamais rencontré au paravent , mais lui savait qui j’étais et ce que je faisais, je me suis assis et nous avons devisé sur pas mal de choses, j’ai appris qu’il aimait les hommes murs et les couples et qu’il était actif mais savait être passif aussi, moi avec très peu d’expérience je lui ai dit que j’étais plutôt passif, et que j’aimais les jeux de fessées, j’étais venu boire un coup et rien d’autre aussi quand je me levais pour m’en aller je lui dit que si on se rencontrai à nouveau nous verrions bien si on fait quelque chose , je n’oubliais pas que j’avais en face de moi un gars qui était six crans hiérarchiques plus bas que moi.
Puis vint le jour où je me décidais de retourner prendre un verre chez Xavier, il était en short et T-shirt, moi en pantalon léger, t-shirt et espadrilles, on se salua et je repris ma place de la première fois pour prendre un verre , un whisky pour me donner du courage, en fait on discuta à nouveau de tout et de rien et cela faisait à peu près une heure que nous bavardions, ni l’un, ni l’autre n’osant faire le premier geste, on se resservit encore un troisième verre, je voyais qu’il était jovial et très excité me semble-t-il à ce moment-là, enfin au bout de deux bonnes heures comme rien ne se passait , je pris l’initiative de bouger je me levais, je déboutonnais mon pantalon, j’enlevais mon T-shirt, fis tomber le pantalon et j’allais me mettre à genoux sur le canapé, le ventre sur le dossier, la tête dans le vide, offrant ainsi à mon hôte mon postérieur, je ne le voyais plus et j’attendis.
Il devait être excité car assez rapidement, il baissa mon slip et le fis glisser en dehors de mes jambes, il écarta mes cuisses, avec u ...

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