C'est l' Hiver , tous les faunes et satyres sont repartis vers la ville. Il y en a bien quelques uns qui retournent sur les bords de l’Éden, mais ils repartent dépités , nostalgiques .
J'en ai rencontré un qui traînait les pieds sur le chemin de la Couesne à Cazoules . Nous nous saluons , la main sur l'entrejambe d'un signe convenu, et nous poursuivons notre promenade ensemble. Au bout de quelques phrases , il me dit :" tu es solitaire , connais-tu un site qui te remplira un vide (double sens): LIEU DE DRAGUE? Il te renseignera sur des lieux de rencontre , mais surtout il te fera connaître plein de gens comme nous: des solitaires discrets qui veulent s'amuser baiser , se lier d'amitié".
Rentré chez moi , je me précipite sur mon P.C.: je visite, je m’inscris et je vois défiler quantité de "profils"agrémentés de photos : des corps pas toujours de la première jeunesse mais qui dégagent des envies de plaire , ou plutôt de faire plaisir . On y voit aussi quantités de vits pleins de vie,droits, penchés, redressés,massifs , fins, les glands timidement masqués par une couverture de peau ou bien turgescents et brillants.
C'est formidable, ce ne sont pas des Apollons, ce sont des gens comme moi. Il se dégage de l'enthousiasme ou de la nostalgie des ces corps figés.
Sur l'écran défile une foule de profils : il faut choisir. Si je veux simplement discuter il faut sélectionner un point bleu foncé, si j'ai l'intention de faire une rencontre alors il me faut sélectionner un domicile près de chez moi(Ceci pourrait être compromettant, mais on est tous dans le même bateau) .J'ai donc chatté avec plusieurs hommes, sans entrain jusqu'à ce que je tombe sur deux mâles avec lesquels j'accroche: le premier, tout sourire ressemble à Bacchus: un nounours ventripotent, jovial. Nous avons peu discuté avant de nous rencontrer.
Il pleuvait des cordes, donc , pressé d'en savoir plus je me suis laissé aller à lui dire de venir chez moi.
"Vite" c'est le maître mot de cette rencontre (hélas). Regarder sa montre pour être à l'heure pour le déjeuner, attendu par bobonne. Malgré cela ce fut une jolie partie nos sexes étant complices avec nos bouches: c’était bon, c'était doux, c'était chaud, mais ce fut bref, trop bref, la cloche a sonné avant que j'ai pu approcher ses douces fesses de ma langue pointue; quelle frustration! Depuis plus rien , les circonstances ont fait que nous ne pûmes nous revoir, mais je garde espoir. Il m'a promis de me la mettre , de me sodomiser de m'enculer , vivement mais en douceur.
L'autre je ne l'ai point rencontré, il habite plus loin , il est surveillé par sa femme-comme moi- mais nous chattons, nous rêvons ensemble: je rêve de l'emmener sur l’Île.
Je lui donne rendez-vous cet été sur les bords de la Dordogne à l'entrée du chemin du Paradis : sur la photo je n'ai vu que son buste c'est par là que je le reconnaîtrai: grand , svelte, le poil léger et grisonnant. de moi il a vu mon sexe et mon buste rondelet avec en haut du cadre quelques poils d'une barbe blanche assez longue.
Le voilà qui arrive à l'heure(c'est un indice)
Il s'approche : c'est bien lui !
-Louis ?(c'est un pseudo du pseudo)
-Aldo ? .
Il est plus grand que moi. Nous nous serrons puissamment l'un contre l'autre comme si nous nous connaissions bien, il se penche et m'embrasse au coin des lèvres , puis voyant que je ne suis pas farouche appuie sur ma bouche. Sa langue pointue force mes lèvres: premier contact, mais ça ne suffit pas.
Nous prenons le petit chemin sur la droite, il est étroit donc nous nous pressons l'un contre l'autre. Vite! à l'abri des premiers buissons, nous quittons nos chemises nous nous enfonçons loin du monde.
Enfin seuls. J'enlève tout et me précipite à genoux devant lui, fixe son entrejambe .Il baisse son short et là appairait une merveille: un vit enthousiaste, long, épais, un peu courbe comme je les aime. Je ne peux résister , je plonge sur lui, les lèvres en avant, luisantes, ma langue pointe sur son méat et il me pénètre la bouche. Mes yeux levés vers son visage surpris par ma précipitation mais souriant. Ses mains emprisonnent ma tête et il pousse ma bouche. Il"prend la main" et contrôle mes allés-retours sur cette merveille tiède et puissante. Mes lèvres caressent le prépuce délicatement tandis que ma langue s'enroule sur le gland qui grossit encore.
Mais stop , nous ne sommes pas arrivés il faut continuer sur la rive droite pour atteindre le gué qui nous séparera des gêneurs, seul accès à l’Île des Satyres.
Encore quelques minutes de marche , moi tenant sa bite , lui me caressant le cou.
Passé le gué nous avons le choix , mais je connais un endroit où je me sens particulièrement bien.
Pourquoi pas ici ? me dit-il -"Ici c'est le refuge d'un nounours , tu feras connaissance plus tard , je te promets . Je te veux pour moi seul d'abord. faisons connaissance".
Nous arrivons "chez moi" : une dépression tapissée de tout petits galets, accueillante et protégée par des saules. Nous étalons nos serviettes , je retire son short , il s'allonge et je m'agenouille à côté de lui pour l'admirer, pour le comprendre, deviner ses zones érogènes et admirer sa plastique
Je lui caresse les seins , mes mains descendent sur son ventre, ma bouche s'empare - délicatement -d'un téton puis de l'autre, mes mains découvrent ses hanches, glissent sur sa taille, mes lèvres s'approchent de l’aine, enveloppent son vit, chatouillent sa bourse. Le sceptre grandit, majestueux, magnifique , conquérant, elles l’enveloppent , le polissent le protégeant d'une salive tiède et amoureuse. Des vas et viens de plus en plus contraints l'honorent.
Les mains de Louis ne sont pas inactives; elles explorent mes formes, parcourent mes fesses l'une d'elle glisse sur mon mât, des doigts s’attardent sur ma fente, tournent autour de mon anus , j'en sens un qui tente une aventure. J’aimerais bien lui signifier mon contentement , mais je ne trouve pas le bon muscle, je n'ai pas encore les codes, mais je suis là pour être guidé (vous souvenez vous: j'ai encore peu d'expérience, mon éducation est à faire?)
Puis tout d'un coup il me pousse sur le côté , m’allonge sur ma serviette et se met à cheval sur mon bassin il m'immobilise par les coudes. Sa bite est contre la mienne, elles se caressent comme des amoureux dispensant délicatement leur liqueur translucide
Ses lèvres glissent sur ma peau investissent les miennes, nos langues humides se rencontrent combattant pour conquérir la bouche de l'autre .
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