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l'été de tous les possibles !

Publié par : string31 le 31/08/2023

L'ETE DE TOUS LES POSSIBLES !
Samedi 02 Juillet 2022
- Tu travailles toujours sur le même chantier ? (Ça, c'est mon voisin !)
Oui j'en ai encore pour deux bons mois, en plus mon ouvrier a changé de métier !
- Ma femme a un jeune cousin qui travaille pas loin de ton chantier et en ce moment il est à pied après le vol de sa voiture, sa femme n'à pas les mêmes horaires que lui alors il fait du co-voiturage, mais c'est l'enfer certains ne passent pas le chercher et d'autres le laissent à plus de 2km du travail, il est Prothésiste et son boulot est à 200m de ton chantier.
(Hé oui il m'a aidé une fois à porter un plan de travail très long et très fragile, il sait donc où je travaille!)
Pas de soucis qu'il vienne ici le matin et je l'amène!
- Pas besoin il t'attendra devant chez lui c'est sur ta route, il t'enverra le N° de sa maison par SMS si tu veux.
Mon voisin avait raison c'était bien sur mon trajet et le lendemain après avoir échangé les coordonnées et l'heure par SMS, il était bien là devant le portail de sa maison, je devais partir plus tôt mais pas bien grave car en ce mois de juillet le matin même à 7 heures il fessait déjà25 degrés !!
1m 75 ou 1,76 Fin, cheveux long et bouclés une trentaine d'années, bermuda et chemisette, les cheveux clairs, il avait l'air d'un surfeur sans les muscles plutôt que Prothésiste.
D'habitude je ne travaille pas très loin de chez moi et plutôt en centre ville, mais là c'est un de mes clients habituels qui avait investi dans deux studios qu'il fallait rénover et je n'ai pas pu refuser, mais presque 60km de chez moi et autant au retour sans autoroute, la circulation en ce mois de juillet était assez fluide et en une heure le chemin était fait !
J'ai comme véhicule un Ford Custom avec trois places à l'avant, quand il est monté il s'est assis sur la place du milieu la plus étroite!
Mais bon il verrait au retour que la place contre l'autre fenêtre était plus spacieuse.
Après m'avoir chaleureusement serré la main, en chemin il me raconta ce que mon voisin m'avait déjà expliqué le vol, la galère du co-voiturage, son travail, etc.
Il était franchement sympa ce jeune gars, et les kilomètres furent avalés sans y faire attention. Je le déposais devant l'entreprise où il travaillait. En été il pouvait cumuler les heures de repas pour sortir plus tôt c'est à dire vers 15h30 où 16h. Il pouvait m'attendre dans un café si je partais plus tard.
Moi cela m'arrangeait parce que il y avait pas de clim sur le chantier et l'après midi c'était un four !
je passais donc après avoir reçu son texto à 16h au café à 50m de mon travail.
Rémy, il s'appelait Rémy, monta dans le fourgon, et s'installa à nouveau sur le fauteuil du milieu, je lui expliquais qu'il serait mieux sur l'autre, bien plus large mais il voyait bien la route d'où il était et cela lui plaisait, de nouveau le chemin retour fut avalé sans s'en rendre compte.
Arrivé devant chez lui il défit sa ceinture et se tourna vers moi pour me faire la bise en me disant : vous ne pouvez pas savoir le service que vous me rendez...
J'étais franchement gêné, mais je n'ai pas eu le temps de répondre !!!
Les jours suivant jusqu'au vendredi furent les mêmes, il montait me faisait deux bises puis prenait place sur son siège, sur le chemin il se dévoilait un peu plus en me racontant son itinéraire, et comment il avait fini par travailler dans cette toute petite ville comme prothésiste. Moi j'en faisais de même. En arrivant devant chez lui même scénario il défaisait sa ceinture se levait pour me faire la bise et rentrait chez lui. Au fil de la semaine le tutoiement s'était imposé, plus simple et plus amical.
Le premier vendredi en le déposant devant chez lui, après le travail, il se leva pour me faire la bise mais s'appuya d'une main sur ma cuisse, la réaction fut instantanée. J'ai eu une érection fulgurante, d'avoir senti cette main qui serrait un peu ma cuisse, mais heureusement il n'a rien vu...
Tout le week-end j'ai eu cette image dans la tête Rémy qui me faisait la bise en s'appuyant de sa main sur ma cuisse.
Deuxième semaine:
Lundi matin il m'attend devant son portail, il est toujours à l'heure et j'apprécie !
Il monte et avant de s'asseoir me fait la bise en s'appuyant une nouvelle fois sur ma cuisse, heureusement je porte un tee-shirt assez long sur mon short pour cacher un peu cette érection que je n'arrive pas à contrôler !
16h, je pars du chantier et passe au café où il m'attend déjà, monte dans le fourgon en me faisant la bise et s'appuyant sur ma cuisse mais un peu plus haut que le matin même, et là malgré la fatigue et la chaleur subie dans la journée je bande comme un fou et j'ai du mal à cacher mon état !
Le parcours se fait rapidement jusqu'à chez lui, il parle beaucoup et je ne l'interromps que rarement. En parlant il fait beaucoup de gestes et bouge beaucoup sur son siège, sa cuisse venant se coller de temps en temps sur la mienne, impossible de débander de tout le parcours !
Mardi
Je le prends devant chez lui...
La bise, la main qui se tient à ma cuisse...
Il me fait à nouveau avoir une érection instantanée...
Il s'assoit, met sa ceinture, il se met à son aise sur son siège et entame un monologue, je l'écoute à peine, j'ai du mal à cacher cette foutue érection, c'est de plus en plus difficile car en plus quand il parle de temps en temps il pose sa main sur ma cuisse ou me colle sa cuisse contre la mienne, en disant :
Tu comprends !
Oui je comprends que j'ai mal au bas ventre à force de bander.
Bonne journée qu'il me dit en descendant devant son travail ...
A toi aussi...
Je décharge quelques fournitures du fourgon et entame ma journée.
15h30 je suis en nage je quitte ma blouse de travail et heureusement dans un des studios la cuisine et la salle de bain sont finies, je prends une douche salutaire, j'enfile mon short propre le teeshirt puis envoi un SMS a Rémy pour lui dire que je démarre mais bon à cinquante mètres le texto n'a pas le temps d'arriver que je suis devant le Café.
Il monte...
La bise, de plus en plus près de mes lèvres...
Où alors c'est moi qui me fais des idées !!!
La main qui s'appuie sur ma cuisse de plus en plus haut.
Il s'installe sur son siège en écartant les jambes, dont une des cuisses vient se coller contre la mienne, il ne l'enlève pas et je crois deviner qu'il l'appuie davantage.
Il me raconte sa journée avec des gestes de la main qu'il pose légèrement, mais de plus en plus souvent sur ma cuisse. Et voilà je reste tendu jusqu'à devant son portail !!!
Mercredi. Jeudi. Vendredi :
Tout pareil invariablement, sauf que les bises du matin et de l'après midi effleurent de plus en plus mes lèvres, je pense que je me fais du cinéma, mais sa main qui se pose de plus en plus souvent sur ma cuisse à tendance a partir du genoux vers le haut et cela devient une courte caresse !!!

Troisième semaine :
Lundi :
Je pars seul au chantier il m'a envoyé un SMS le samedi pour m'avertir qu'il prenait un RTT de récupération pour accompagner sa femme au docteur et faire des démarches administratives.
La route aller et retour, a été triste et monotone !
Mardi :
Je suis en avance et c'est moi qui attends devant son portail, il s'excuse d'être en retard en ouvrant la portière et lui répond que c'est moi qui suis en avance.
La bise qui frôle mes lèvres...
La main qui s'appuie sur ma cuisse...
Mais là j'avais prévu et j'ai mis ce matin là un short de sport très court et assez ample sans rien dessous à part la doublure du short. Ca l'a un peu surpris. En prenant place sur son siège il me dit que cette tenue sera parfaite avec la chaleur qu'il va faire.
Je lui réponds que c'est juste pour le chemin car au travail je me change et je mets une blouse sans rien dessous, de toute façons je travaillais seul et personne pouvait me voir travailler. Les studios n'avaient pas de vis à vis. Ce à quoi il répondit qu'il m'enviait un peu ...!!!
Sur le chemin toujours un monologue me racontant son week-end, et toujours des gestes de la main cette main qui courrait de plus en plus souvent de mon genoux au haut de ma cuisse, j'étais décidé à voir jusque où il irait alors je le provoquais un peu en écartant un peu mes cuisses quand la route le permettait.
Mais non ! Il n'allait pas plus loin il recommençait ainsi d'innombrables fois les va et viens sur ma cuisse dénudée, ce qui me faisait avoir une érection incroyable.
Là il pouvait le voir quand de temps en temps il se tournait vers moi en me parlant, son regard s'attardait sur mon pieu qui tendait le tissu de ce petit short de sport.
Je le déposais devant son travail, en général il descendait en me disant bonne journée, mais ce mardi matin de la troisième semaine il se leva de son siège et me fit la bise, je tournais la tête exprès et ses lèvres rencontrèrent les miennes, il avait les lèvres aussi douces qu'une femme, sa main se posa sur ma cuisse et remonta à presque toucher l'aine de mon corps frôlant mon sexe et aussitôt descendit du fourgon sans même dire "bonne journée".
Je pensais être allé trop loin avec lui, après tout je le connaissais à peine !
Je décidais que sur le chemin de retour, j'éviterais ces "bises" et sa main qui parcourait ma cuisse !!!

Troisième semaine Mardi 12h30
Petite pose pour m ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay, Bisexuel, Branle, Fellation, Sodomie, Jeunes, Mûrs, Européen(s)