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L'amour comme à une femme

Publié par : h_cochonne_pass le 06/03/2021

Je me souviens que mon patron est venu chez moi pour boire un verre un soir après le travail. C’était imprévu. J’avais 25 ans à l’époque et lui la soixantaine. Nous avons bu et discuté et je crois qu’il a senti que je me sentais bien en sa compagnie, en retour j’ai aussi compris qu’il se sentait bien.

Après une petite discussion sur le boulot, il a tenu des propos sur les plaisirs et en particulier sur les plaisirs un peu contre nature.
Cela ne m’a pas étonné car j’avais remarqué depuis longtemps au bureau qu’il regardait discrètement mes cuisses quand j’étais assis. Pourquoi ? J’aimais souvent porter des bas, un porte-jarretelles et une petite culotte sous mon pantalon, et mes bas devaient faire une marque sous le pantalon en haut des cuisses. Et ce soir-là c’était encore le cas chez moi : tout en parlant il regardait le haut de mes cuisses pour essayer de savoir si je portais des bas. Et j’en portais bien. Il regardait aussi ma braguette, probablement pour estimer la taille de mon pénis … qui est petit. Cette situation me provoquait des bouffées de chaleur et je quand je me déplaçais pour aller me rafraîchir dans la salle de bains je le sentais regarder aussi mes fesses.

Bref, il a fini par se lancer plus directement :
Lui - JeanJean (c’est mon diminutif dans l’entreprise), je vous aime bien et j’aimerais vous faire plaisir. Pourquoi ne viendriez-vous pas chez moi demain soir, nous pourrions poursuivre autour d’un verre ?
Moi - Pourquoi pas. J’apporterai du champagne.
Lui - D’accord. Je vous préviens que j’aurai bu un peu avant pour être décontracté. Faites de même, cela met à l’aise. Et venez dans la tenue qui vous plait, m’a t-il dit, suggérant ainsi sans le dire, qu’il aimerait me voir en dessous.
Moi - Très bien. J’aurai bu un peu moi aussi avant de venir.

Et il est parti en me donnant son adresse et l’heure du RDV : 22h. Je me doutais de ses intentions, et dès le soir même je me suis enfoncé un petit god pour la nuit, histoire de lui faciliter la tâche le lendemain. J’ai pensé à ce qu’il pourrait me faire, et cela me plaisait à l’avance.

Le lendemain, comme convenu j’ai bu quelques doses de whisky sans être ivre tout en étant « décoincé ». J’ai gardé le god toute la journée, je l’ai enlevé juste avant de me rendre chez lui et j’ai bien lavé mon petit trou. Je suis parti pour être à l’heure en portant, comme d’habitude, sous mon pantalon des bas de couleur chair, un porte jarretelles, une petite culotte et une nuisette courte sous ma chemise. J’avais apporté aussi dans mon sac des chaussures à talons pas très hauts, pour parfaire le look au cas où, et du Champagne.

Arrivé chez lui je sonne. Il m’ouvre. Il était en peignoir, nu en dessous, et les joues un peu rouge avec le vin qu’il avait bu avant comme il me l’avait annoncé, mais sans être ivre.
Il s’excuse pour sa tenue et me dit qu’il a voulu me recevoir dans la tenue qu’il a tous les soirs pour être à l’aise. Je vois qu’il essaie de deviner déjà si je porte des bas. On s’assoie et on ouvre le champagne que j’avais apporté frais.

On trinque très près l’un de l’autre et voilà qu’en me parlant il pose la main sur mes cuisses tout naturellement et remonte vers le haut pour tâter mes bas. Comme le whisky bu dans la journée m’a décontracté, j’ai envie qu’il laisse sa main et je sens des bouffées de chaleur monter. Il voit mon émotion et ma rougeur et me dit d’aller dans la salle de bains, de me rafraichir et de me mettre à l’aise … comme lui. C’est le moment de me montrer en dessous, comme il le souhaitait sûrement.

Dans la salle de bain, j’enlève ma chemise et mon pantalon et reste avec ma nuisette arrivant au milieu des fesses, ce qui est excitant, mes bas, mon porte- jarretelles, ma petite culotte. Je mets mes chaussures à talons. Mes jambes et mes cuisses sont épilées, mes fesses et mon petit trou aussi. J’ai un petit triangle avec quelques poils au-dessus de mon pénis. Le désir monte et je reviens au salon. En me voyant il semble ravi, me dit que je suis sexy et enlève son peignoir. Il bande déjà. Il doit se dire que je suis très passive.
Nous continuons à boire assis l’un à côté de l’autre mais cette fois ses mains sont audacieuses, elles caressent mes cuisses, il enlève ma petite culotte et sa langue trouve ma bouche. Il m’embrasse longuement tout en me pelotant. Comme je me laisse faire il comprend que cela me plait et me prend par la main pour m’amener sur son lit.
Là je le suce (j’adore ça) puis il m’enlace et m’embrasse langoureusement. Il descend v ...

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