Après l’épisode que j’avais vécu avec Mohamed, Omar et Salim je suis resté tranquille un bon bout de temps sans même repasser par la rue de Milly de peur de tomber sur eux par hasard. Mais une des propositions de Mohamed avait éveillé mon attention et pour en reparler il fallait absolument que je repasse par le chantier de la rue de Milly et saluer mes amis intimes si on peut dire, je savais à quoi m’attendre de toute façon. Ce lundi matin je décidais donc de faire ma marche à pied quotidienne et de de passer devant le chantier, cela faisait trois semaines que je n’étais pas revenu, je m’approchais de l’endroit, le chantier n’étais pas terminé et les trois lascars étaient toujours là, je passais devant la porte du chantier et bien obligé comme à mon habitude je m’arrêtais pour contempler l’avancement des travaux, trois minutes s’écoulèrent et je fus interpellé par Mohamed qui me salua :
- Alors tu t’es enfin décidé à revenir nous voir, je suis sûr que tu es intrigué par une de mes propositions, en particulier celle de l’abattage, est-ce que je me trompe ?
- Non lui répondis-je, tu as raison, mais je ne sais même pas comment cela se passe.
- Ne t’inquiètes pas je t’accompagnerai et tout se passera bien, mais comme tu es revenu nous voir tu prendras bien un café avec nous ?
- Je répondis que je n’avais pas beaucoup de temps.
- Nous non plus mais tu peux quand même nous faire un plaisir si tu veux un jour connaitre l’abattage.
Je répondis que oui et je le suivis.
Je me retrouvais en face de Mohamed Omar et Salim, un café à la main, assis sur une chaise, relativement tranquille, Salim s’approcha de moi, sortit son sexe de son pantalon, m’attrapa la tête et me colla son sexe dans la bouche, je dus le sucer pendant cinq minutes jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma bouche, je retenais mon souffle et avalais le sperme tant bien que mal, je buvais une autre gorgée de café et Omar m’enfourna sa bite et je suçais de nouveau, ces arabes ne me laissaient pas respirer et lui aussi se crut obligé de décharger dans ma bouche.
J’avais à peine fini mon café que Mohamed m’entraina dans une autre pièce que je ne connaissais pas il me demanda de baisser mon pantalon et mon slip et de me pencher en avant jusqu’à ce que mes mains touchent mes pieds, je pense qu’il m’enculât comme on encule un prisonnier ou un otage où comme un soumis face à un arabe, j’étais dans un coin de la pièce pantalon et slip sur les chevilles complètement à disposition et il me laminait comme une brute.
Il me libera 15 mn plus tard et me dit :
Lundi prochain tu viens vers 11h00, tu t’habille simplement, pantalon de jogging, sans slip, en tennis, sans chaussettes, et une serviette de toilette, je t’attendrai ici avec une camionnette de chantier et je te conduirai sur un chantier pas très loin, je t’aiderai au début et ensuite tu te démerderas tout seul, on est clair j’espère ?
Je répondis que oui et je m’en allais dubitatif et inquiet.
Le lundi suivant je me préparai comme convenu, ma femme était partie sur Paris et J’étais relativement tranquille pour la journée, je me vidangeais à fond et lavais super bien, j’enfilais le pantalon de jogging et le haut du jogging une paire de tennis et rien d’autre. Je sortis de la maison comme quelqu’un qui allait trotter et me dirigeais vers la rue de Milly.
Il y avait effectivement une camionnette double cabine qui était garée dans la cour du chantier, Mohamed m’attendait tranquille pour une opération qui semblait la routine pour lui, il me serra la main et m’invita à monter à l’avant de la voiture, Omar et Salim montèrent à l’arrière, ils faisaient partie du voyage, Mohamed sortit du chantier, il pris la N191 tourna au rondpoint et descendit le long du collège, il prit la route d’Echarcon, tourna à gauche en direction de la croix blanche et après le nouveau rond-point il prit à droite et entra dans une zone en construction , plusieurs petits bâtiments de 4 étages étaient en construction, Mohamed s’arrêta devant une double porte et klaxonna, la porte s’ouvrit et nous entrâmes dans une zone de chantier, la porte fut refermée immédiatement .Mohamed s’arrêtât de nouveau .Il me regarda et en voyant mon visage un peu angoissé, tenta de me rassurer en me disant qu’il y avait environ 20 ouvriers sur le chantier , qu’ils étaient tous algériens, célibataires géographiques, et qu’ils avaient besoin de se soulager, alors il me fit comprendre que je rendais service d’une certaine manière, et pour eux de toute façon un trou c’est un trou homme ou femme.
Ne t’inquiète pas, ils vont utiliser des capotes, et ils vont payer dix euros chacun c’est le tarif habituel, il avança de nouveau la voiture, contourna un bâtiment et immobilisa le véhicule.
Nous descendîmes tous les quatre, nous marchâmes 100 m et on me fit entrer dans un local qui devait servir de dépôt, là je fus surpris par le nombre de personnes qui m’attendaient en fait, il y avait bien une quinzaine d’arabes tous un peu souriants, je regardais Mohamed qui me poussa plus en avant et me désigna l’endroit du supplice, deux tréteaux avec une planche en bois recouverte d’un bout de mousse, 4 cordes fixées aux quatre pieds des tréteaux, les spectateurs commençaient à se frotter le bas ventre sans équivoque. Omar et Salim vinrent à la rescousse Omar enleva mes tennis, il baissa mon pantalon de jogging et Salim fit passer ma veste par-dessus tête, je me retrouvais à poil devant tous ces mecs, Salim me fit pencher sur les tréteaux, dans le sens de la longueur, ma tête dans le vide , Omar avait déjà attaché mes deux pieds aux deux montants des tréteaux en écartant bien mes jambes et mes fesses, mes mains furent attachées aussi aux deux autres montants, Mohamed enfin s’approcha et me banda les yeux, c’est pour pas que tu puisses les reconnaitre, ils aiment pas qu’on sache qu’ils ont baisé des mecs.
Dans la position où j’étais il fallait que j’assume, j’étais fin prêt pour un abattage en série par une quinzaine d’arabes, Mohamed me souffla à l’oreille qu’il allait commencer le premier pour montrer l’exemple aux autres, et que de plus j’étais très appétissant.
Je sentis comme un mouvement de foule, les hommes s’étaient rapprocher de moi, on me graissa l’anus abondamment et je fus pénétré par le premier mec qui devait être Mohamed, je me faisais ...
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