Encore une fois il se retira et allait s’asseoir sur la cuvette des toilettes en se branlant, mais illico comme une salope obéissante ma bouche goulue a remplacée sa main et il ajouta « Hum on ne peut même plus se branler tranquille ! » et j’ajoutais « hum j’adore te sucer Bernard je te suivrais au bout du monde pour te sucer», il se déplaça encore une fois et alla s’asseoir sur le lit de mon fils dans sa chambre jambes écartelées la bite toujours aussi raide, je n’étais pas décider à abandonner et il n’allait pas en revenir quand je suis arrivée en courant comme une folle « oh Bernard Bernard ta bite ! » et je me suis empaler en fond de gosier à en vomir sur son énorme bite ! Je l’ai pompée encore plus goulûment qu’auparavant, ma chatte dégoulinait et comme personne ne s’en occupait c’était ma bouche qui compensait le manque ! Ma bouche était carrément devenue le fourreau de la bite de Bernard, son garage, son cocon, son âme sœur et j’étais bien décidée à ne pas la lâcher même si devait le sucer pendant plusieurs jours sans m’arrêter et passer pour la pire des putes, j’avais atteint le point de non retour. Encore une fois il la retira et alla dans ma chambre sur mon lit et ajouta « Alors ma puce c’est ici que tu veux te faire asperger la gueule ? » Trois secondes plus tard j’étais agenouillée et je le pompais comme une tarée et mes mots dépassèrent ma pensée
« Bernard ne ramollit pas de la bite s’il te plaît, ne ramollit pas de la bite sinon » « Sinon quoi ? » demanda-t-il « Sinon j’te fais bouffer mon string et crois moi il est bien mouillé » « J’ai bien envie de ramollir pour voir ça tiens » Ajouta-t-il « Non ne ramollit pas de la bite, ne ramollit pas de la bite ! » hurlais-je comme une dingue et je lui envoyait une grosse claque sur les fesses en pompant comme une damnée. « Oh j’ai envie de te finir ici Bernard, laisse moi ta bite » il gémissait de plus en plus et je sentais sa bite de plus en plus gluante aussi « Laisse moi te finir Bernard, donne moi tout ton jus, ta bonne poupoute » Les jambes de Bernard commençaient à flageoler, ses grosses cuisses se crispaient et ses grosses boules gonflaient, j’ai sucé quelques secondes encore et j’ai senti tout son sperme envahir ma bouche, il se vidait à gros bouillon c’était à la fois bon et écœurant tellement la quantité était impressionnante ! J’ai continué à le sucer en laissant tout dégouliner de ma bouche, ça coulait le long de mon cou pour finir entre mes seins et comme je n’avais pas de soutien-gorge ça dégoulinait encore plus bas vers mon ventre et Bernard me regardait toute dégoulinante « oh tu es bandante comme ça toute dégoulinante ma puce » et ses mots me poussèrent à le sucer encore, je ne pouvais plus m’arrêter de sucer j’étais déchaînée, je ne sais pas pourquoi mais une force insurmontable m’empêchait de lâcher sa bite. « Oh oui fais comme ton fils, nettoie moi bien, fais moi une bite nickel » Je continuais à sucer Bernard car son sperme continuait à s’écouler de son gros pieux, son sperme était bon, légèrement sucré j’en avais partout sur le visage et même dans les cheveux mais je suçais encore. »Oh mais tu ne me lâcheras jamais la bite toi ma parole » « Oh non jamais, jamais » Ma chatte était grave frustrée de ne pas avoir reçu d’autres coups de boutoirs, j’étais prête à me dilater pour les plus grosses bites du monde mais c’est ma bouche qui faisait tout le boulot à tel point que je ne vais plus jamais pouvoir sucer une sucette ou une glace ni même un bonbon sans penser à la bite de Bernard, j’étais comme une petite fille accrochée à son sucre d’orge et jalouse qu’on lui vole, en effet j’avais un rapport incroyable avec cette bite comme si elle avait été la mienne depuis toujours. La bite lisse de Didier m’avait bien formatée le gosier aussi, je l’avais tétée avec amour mais celle de Bernard c’était encore autre chose je ne pouvais pas m’en décoller, il mollissait après l’éjaculation mais je ne pouvais pas m’en détacher je lui léchais encore les couilles et le gland, je lapais son gland comme un chaton lape son lait, sa bite était devenue molle et pendouillait mais je l’aimais toujours autant, j’aspirais son gland comme pour l’avaler totalement « Oh chérie tu est toute dégoulinante et tu suces encore, arrête va prendre ta douche bébé, tu es poisseuse de partout » « Oh Bernard j’adore être sale pour toi, laisse moi être ta cochonne, ta grosse cochonne toute sale » « Oh oui t’es ma grosse cochonne en effet, même les PD ne sont pas sale comme ça, tu es la meilleure chérie » « oh oui mon cœur, si tu le veux je ne me lave ...
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