Soumis depuis de longues années avec parfois des périodes de coupures, j'ai repris du "service" depuis peu. Marié mais plus rien au lit, je suis chaste. J'ai confié mon abstinence à une jeune amie domina qui connaît absolument tout de ma vie secrète et honteuse de soumis.
Elle m'autorise rarement à jouir et je dois me branler au moment où elle le souhaite ou plutôt lorsqu'elle m'en intime l'ordre (pas plus d'une fois tous les 6 mois). Comme rien ne se perd, et qu'il ne faut pas gâcher, tout le volumineux jus ainsi
récolté est recueilli pour que je l'avale. Et ça me va très bien tellement j'apprécie cette situation.
Ma vie de couple ne me permet hélas pas de porter une cage de chasteté en 24/24 mais c'est comme si j'en portais une mentalement.
Mes couilles et ma prostate sont bien pleines. C'est une sensation grisante. Parfois ça coule légèrement sous forme de precum et je récupère ce précieux nectar du bout du doigt que je suce avidement.
Cette abstinence me maintient en perpétuel état de manque et suis donc toujours prêt à me soumettre aux hommes que je peux croiser en dialogues sur le net ou rencontrer sur des lieux de dragues que je fréquente pour m'y exhiber.
Mon amie domina ne me domine pas comme on peut l'entendre. Pas de fessées, de cravache, etc. Nous sommes trop amis pour qu'elle puisse se comporter ainsi avec moi. Et puis elle a déjà un esclave boniche à domicile qu'elle "travaille" et encule. Elle gère simplement mon abstinence. Je dois tous les mois lui faire un rapport avec prise de mesures et photos pour suivre l'évolution de ce qui pend entre mes cuisses. L'objectif étant que ma bite ne servant plus, finisse par perdre de sa longueur. Oui ma queue a pris sa retraite, elle ne visitera plus de chatte ni même de bouche. Je l'ai voulu ainsi. J'ai accepté cette évolution et le revendique.
Toute ma libido est transférée dans mon cul, et comme une femelle j'aime donner du plaisir à des hommes murs avec mes deux trous.
Parfois me sachant particulièrement excité elle m'ordonne d'aller me faire enculer en sauna. "Ca te calmera chaudasse!" Et de lui reporter ensuite dans le moindr ...

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