Job d'été Chapitre 1

Je m'appelle Frédéric et cette aventure s'est bien produite.
Mes années de collège sont terminées, je n'ai pas réussi à faire une seconde générale, je me suis donc orienté sur un BEP Horticulture. J'aime bien la nature, les plantes et les fleurs, j'aurais au moins un métier dans les mains et ça me plait. Mon père étant du genre avare, me dit qu'il fallait que je fasse un travail pendant les grandes vacances, il voulait bien me payer l'internat avec tout ce qui en découle, mais pour mes frais annexes pas d'argent de poche. C'est vrai que je n'étais pas très musclé, j'étais plutôt chétif pour mes 16 ans, d'ailleurs mon prof principal au collège voulait plutôt que je m'oriente vers un BEP secrétariat, je ne me voyais pas enfermer toute la journée dans un bureau.

J'ai donc cherché un job pour tout l'été et quoi de mieux que d'aller dans le milieu de mes futurs études. J'ai donc trouvé une petite entreprise d'horticulture dans le village voisin, une entreprise familiale, le patron était super gentil ainsi que sa femme, ils avait un fils de 17 ans, super baraqué, il faisait lui aussi des études dans le milieu, il avait déjà un an de lycée derrière lui et une expérience très longue car depuis l'âge de 10 ans, il aidait ses parents.

- Bon ben, écoute, tu viens lundi pour 8 heures, me dit Jean-François le père.

- Tu mangeras avec nous le midi, donc n'apporte pas de gamelle, me dit la mère Catherine.

Le fils, Julien, me serra la main fermement, en me faisant un petit clin d’œil, que je ne compris pas sur le moment.

- Au fait, il faut que j'apporte des vêtements de travail ?

- Non t'inquiète, on a ce qui faut, Julien te passera des vêtements, me dit le père.

J'étais heureux d'avoir trouvé ce job et Julien était un beau garçon, car de mon côté, je n'étais pas attiré par les filles mais je n'avais jamais rien fait avec un garçon même si l'envie était là, je ne savais pas trop si j'étais homo ou pas, j'étais assez solitaire et très pudique.
Arrivée à la maison, j’annonçais la bonne nouvelle à mes parents qui étaient content que je travaille durant l'été.

- En plus, la patronne m'a dit que j'allais mangé avec eux tous les midis, elle est très gentille.

- Et tu commence à quelle heure le matin ? me demanda mon père.

- A 8 heures.

- Faudra te lever de bonne heure, comme tu as un bon quart d'heure en vélo pour y aller.

- T'inquiète papa, ça me changera pas des horaires pour aller au collège, je suis très motivé.

C'est vrai que j'étais très motivé, faire un boulot qui me plait, en plus peut-être que Julien pourrais devenir un bon copain comme on avait la même passion.

Lundi, mon réveil se met à sonner, il est 6h45, mes parents dorment encore, comme à mon habitude, je descend à la cuisine préparé mon petit déj ensuite je pars me laver, je prend mon temps, surtout que je n'ai pas d'affaire à préparer. A 7h30 mes parents sont réveillés, comme j'avais lancé la cafetière et mis la table, ils n'ont pas grand chose à faire.

- Alors, tu es prêt pour ta première journée de travaille ? Tu deviens un homme mon fils, me dit ma mère.

- Un homme, un homme, c'est vite dit, il n'a pas encore de copine à ce que je sache.

- Ah, mais laisse lui le temps...

- Bon c'est pas tout ça, mais faut que j'y aille, bisous p'pa, bisous m'man.

J'enfourche mon vélo et me voilà partie. Ça va, c'est que du plat, j'arrive donc à l'entreprise cinq minutes en avance. Dans la cour, je vois Jean François.

- Et ben, c'est bien tu viens avec un peu d'avance, vas dans la grange sur le côté, Julien est à l'intérieur, il va te passer des vêtements, tu pourras te changer.

J'arrive dans la grange, je vois Julien dans un coin qui range des cagettes, dans l'autre coin, il y a un petit vestiaire, je vois aussi qu'il y a des douches et des sanitaires.

- Salut Julien, ton père m'a dit que tu vas me passer des vêtements.

- Salut Frédo, oui, suit moi. Voilà, celle ci sera ton armoire pour mettre tes affaires, je t'ai préparé des vêtements, comme j'ai vu que tu n'es pas très épais, ce sont des vêtements que je portais à 15 ans, ça doit être à ta taille, on va bien voir...

J'allais devoir me changer devant lui, j'étais un peu gêné, mais je m'exécuta. Je commençais par retirer mes chaussures, ensuite mon pantalon et mon sweat, j'étais en slip devant Julien.

- Ben dis donc, y a pas grand chose dans le slip...

J'étais devenu tout rouge, je mis les vêtements tendu par Julien. Il m'allaient bien.

- Je t'ai pas vexé en te disant que tu n'as pas un gros paquet dans ton slip...

- Non, t'inquiète pas, c'est que j'ai pas trop l'habitude de me déshabiller devant quelqu'un.

- On en reparlera plus tard, faut qu'on aille bosser maintenant, mon père m'a demander de te montrer et que je te prenne sous mon aile..

Après ces paroles, il me refait un petit clin d’œil. L'exploitation était très grande, il y avait des serres en verre mais aussi des grands tunnels en plastique, plus des plantes en extérieur. Julien m'a emmener faire le tour en m'expliquant ce qu'on allait faire. 30 minutes plus tard, de retour à notre point de départ son père s'adressa à Julien :

- Tu vas avec Frédéric dans les tunnels de l'autre côté pour faire les semis, vous en aurez pour la matinée, à tout à l'heure pour le repas.

- Ok...

J'allais donc me retrouver seul avec Julien pour toute la matinée, une matinée qui fût très riche pour moi mais surtout la découverte de ce que je rêvais depuis longtemps.

- Bon, on va commencer par faire des mini-mottes avec la motteuse à main, on en a une automatique mais elle est dans les serres en verre, donc là, il faut du muscle.

Etant en T-shirt, je voyais bien ...

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