Je suis directeur commercial dans une boîte d'édition et je viens de recruter Jessica. Jolie asiatique, mi chinoise mi vietnamienne, 1m80 mais aussi plate devant que derrière. Elle a 35 ans, mariée et mère de deux enfants, je ne cesse d'ailleurs de me demander comment elle a pu expulser de son si petit corps deux marmots. Son mari est flic et très souvent absent du domicile conjugal.
Malgré ce manque cruel de forme, y'a un truc hyper excitant chez elle. Elle porte souvent des jeans très moulants et son cul minuscule me donne envie de l'enculer en levrette. Elle a en plus cette fâcheuse tendance à faire sans cesse des allusions de cul. C'est ma collaboratrice est même si j'ai envie de la déglinguer je m'efforce de ne pas rentrer dans son jeu.
Tout bascule au mois de décembre. C'est la soirée de fin d'année de notre entreprise et l'alcool aidant, les vérités sont lâchées à un moment où on se retrouve tous les deux à fumer une clope en dehors des locaux. Notre discussion est simple et efficace :
Jessica : "Tu sais moi dès que je bois quelques verres, tu peux faire ce que tu veux de moi !"
Moi : "T'as vraiment de la chance que je sois ton chef parce que ce genre de remarque ça me fait bander direct ! Et quand je bande bah j'arrive pas à me maîtriser !"
Jessica : "Et ça donne quoi quand tu ne te maîtrise plus ? Parce que perso, j'adore les hommes qui perdent le contrôle avec les femmes ! J'aime bien les brutes qui me retournent comme une crêpe et qui se défoule sur moi !"
Moi : "Arrête de m'allumer Jessica, ça va mal finir cette histoire !"
Jessica : "Si finir mal ça veut dire pour toi me baiser alors ne te retiens surtout pas ! T'as déjà baisé une asiat' ?"
Moi : "J'ai déjà baisé pas mal d'asiat mais pas des comme toi !"
Jessica : "Ça veut dire quoi des comme moi ?!"
Moi : "Bah comme toi, toute maigre..."
Jessica : "J'ai peut être pas de forme mais je suis une putain de suceuse et en plus j'encaisse tu n'imagines même pas !"
Là s'en est trop ! C'est la provocation qui fait basculer notre discussion. Je jette ma clope et lui attrape la main en lui ordonnant de me suivre, ce qu'elle fait sans broncher. Perchée sur ses talons, elle peine à suivre mon rythme. On entre dans les locaux, je me dirige vers les escaliers de services, et on descend au niveau de la salle de sport où il n'y a bien évidemment personne à cette heure là. J'éteins la lumière, ne laissant que les panneaux de sorties de secours illuminer cette vaste pièce.
Il y a un tas de tapis de sol dans le fond que je m'empresse de rejoindre toujours à vive allure.
Et de sa petite voix, Jessica me conforte dans mon choix :
"Fais ce que tu veux de moi !"
Je lui retire sa petite robe en deux secondes chrono et me rends compte qu'elle ne porte pas de sous vêtements. J'enleve mon tee-shirt et elle s'occupe de déboutonner mon pantalon. Je lui roule une énorme pelle, elle a une langue de velours qu'elle mélange énergiquement à la mienne. Je glisse 2 doigts dans sa chatte déjà baveuse, elle émet un petit gloussement super excitant. Allongée sur le dos, j'ouvre sa chatte en faisant aller et venir mes doigts pendant qu'elle me branle. La légère lumière suffit pour mettre en évidence son petit corps fluet. Elle est vraiment encore plus désirable dans cette posture.
Elle me dit :
"Laisse moi te pomper s'il te plaît ! J'ai envie que tu enfonces ton gland au fond de ma gorge !"
Je retire mes doigts que je lèche pour me délecter du jus de sa chatte. Elle s'agenouille aussi vite et me gobe d'un coup. Je sens sa gorge serrée sur le bout de ma bite et les "eurk" qui rythment sa pipe me font bander encore plus dur. J'appuie sur sa tête pour aller chercher quelques centimètres en plus et cette chienne arrive encore à tirer la langue pour me lécher les burnes en même temps. Elle ne mentait pas, elle s'est pomper une queue, elle est niveau expert. La dernière fois qu'on m'a sucé comme ça, c'était une pute dans un bordel en Espagne.
Les larmes lui montent aux yeux, son mascara coulent sur ses joues et ça lui donne encore plus une gueule de chienne. Je me mets à lui ramoner la gueule et ça semble la faire kiffer, elle branle sa petite chatte en même temps. Je serre mes mains autour de son cou pour réduire sa capacité respiratoire et cette légère suffocation décuple son aspiration. Elle pourrait me faire jouir avec sa bouche tellement elle est douée, elle n'a pas menti sur son talent c'est une sacrée suceuse. Je retire ma queue et je lui balance un énorme crachat sur le visage et lui balance une petite gifle. Elle me regarde presque amoureusement et me dit alors :
"J'adore quand on me violente, tu sais exactement ce que j'aime !"
Je l'empoigne par les cheveux, lui cale l'arrière de la tête contre le tas de tapis et je commence à lui baiser la gueule comme un enfoiré. Je m'enfonce jusqu'aux couilles, son visage s'empourpre par le peu d'oxygène qu'elle parvient à aspirer entre les allers et retours de ma queue. Je continue ce traitement jusqu'à ce qu'elle me vomisse sa bile sur ma bite.
Jessica me dit alors :
"On m'avait jamais baisé la gueule aussi violement, je kiffe ça !"
Et je lui réponds :
"T'es vraiment une putain de suceuse, t'es faite pour ça ! Franchement, à la place de ton mec, je te ferai vomir sur ma bite tous les soirs en rentrant du taf !"
Elle me répond :
"Le problème c'est que mon mari ne me baise plus. C'est pour ça que j'allume tous les mecs pour me faire démonter ! Mais maintenant je sais que je peux compter sur toi pour me faire du bien !"
C'est clair, je vais faire de cette femme mariée et mère de deux enfants, mon vide couilles attitré.
C'est bien bon de lui fourrer la tronche, mais moi depuis le début, ce que j'ai en tête c'est d'enfoncer ma bite dans son tout petit cul. Je la relève manu militari, la retourne et la plaque sur le ventre sur ce tas de tapis de gym. J'écarte ses jambes avec mes pieds, ma main gauche entre ses omoplates la maintient dans cette posture et je lui dit :
"On va voir si t'es une grande gueule ou si tu encaisses vraiment !"
Et elle me répond :
"Encule moi direct tu en auras la preuve !"
On dirait que cette petite trainée à lu dans mon esprit.
Je crache dans ma main droite et j'etale toute ma salive sur sa rondelle. Sans attendre, je pose mon gland sur sa pastill ...

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