Nous nous étions donné rendez-vous devant la gare.
Elle m'avait dit que sa tenue correspondrait au style de rencontre que j'attendais. Il n'y avait pas de scénario pré-établi. Juste une indication. J'attendais d'elle qu'elle soit juste assez autoritaire pour que je ne sois pas le maître du jeu ... Mais elle devait aussi être capable de montrer assez de persuasion psychologique pour ne pas avoir à recourir à des méthodes plus musclées. Il était entendu que je me devais de jouer le jeu, et me laisser guider sans résister plus que nécessaire pour apporter du piment à cette histoire que nous souhaitions particulière et unique.
Lorsque je l'ai vue, je n'ai pas eu de doute. Elle avait une silhouette sportive et était vêtue avec une élégance simple en apparence. Je veux dire par là qu'elle avait des épaules droites, une taille fine et des jambes que l'on devinait finement musclées, pour ce que j'en vis à ce moment là. Son port de tête était altier sans être hautain. Elle regardait bien droit devant elle et ses lèvres charnues formèrent un sourire assuré, souligné par son regard lumineux. A mesure que nous avancions lentement l'un vers l'autre, je pouvais mieux détailler la manière dont elle était vêtue. De fait, je n'ai d'abord vu qu'un manteau court, mais tout de même assez long pour s'arrêter à mi-cuisse sans qu'aucun autre vêtement ne dépasse ... Etait-il possible qu'elle fût entièrement nue dessous? Elle ouvrit petit à petit son manteau et laissa entrevoir un pull en maille fine. Nous étions encore assez loin, et je distinguais pourtant pendant un fugace instant une sorte de tige assez longue et souple, applatie à son extrémité inférieur, et qui semblait attachée à son manteau. Elle la fit disparaître je ne sais trop comment tout en ouvrant complètement son manteau. Son pull était en fait une robe en maille qui descendait bas sur le haut de ses cuisses. Et la maille fine et souple la déshabillait parfaitement tant elle ne laissait rien ignorer de la forme de son corps. Ses hanches larges soulignaient une taille fine rehaussée d'une poitrine que je pouvais supposer généreuse et dont les pointes n'étaient clairement pas indifférentes à la caresse du vêtement. J'avais cependant du mal à détacher mes yeux des siens.
Des yeux verts, sous une crinière rousse. Et ce sourire ...
Comment nous nous étions-nous contactés ?
Sur MSN, puis par mail. Mon pseudo un peu bizarre, yetis1pa@gmail.com, l'avait interpellée. Elle avait voulu en savoir plus, et nous avons commencé à discuter ... Le piège commençait à se mettre en place, mais je ne le savais pas encore...
Elle me serra la main, en vissant son regard dans le mien. Ses hauts talons lui permettaient de me dominer très légèrement par la taille. Elle pencha légèrement son visage, approchant ses lèvres charnues tout près des miennes, et me dit de la suivre d'une voix légèrement rauque, un peu voilée mais chaude et avec juste ce qu'il faut de dureté pour qu'il n'y ait aucune ambigüité sur le fait que je n'avais désormais plus d'autre choix.
Nous sommes montés dans un bus, presque vide cette heure tardive d'une douce soirée d'été. Elle m'entraîna vers le fond. Je ne pouvais pas reculer et elle se pressa contre moi, jambes écartées, son bassin contre le mien. Elle frottait doucement contre mon torse sa poitrine frémissante et que je sentais ferme. Sans aucune retenue, elle m'embrassa à pleine bouche, goulûment. Complètement indifférente aux va et viens des rares voyageurs à chaque arrêt. J'ai soudain senti une main descendre le long de mon corps, jusqu'à mon entrejambe. Elle me caressait, à peine discrètement. Sans doute d'ailleurs n'ignorait-elle pas la gêne que je pouvais ressentir. Une femme, très jeune, était assise quelques rangées plus loin sur un siège qui nous faisait face. Elle levait de temps en temps les yeux, un court instant mais sans vraiment s'en cacher. Ma maîtresse continuait pourtant son oeuvre, et n'arrangea pas mon trouble lorsque je sentis ses doigts qui défaisaient un à un, avec une lenteur calculée, les boutons de mon pantalon. Chaque nouveau bouton libéré était l'occasion pour qu'un doigt s'immisce le long de mon intimité. Lorsque trois de ses doigts eurent fait leur oeuvre, elle n'eut aucun mal pour sortir de sa cage l'objet de sa convoitise. Cela me soulagea un moment, tellement la tension était forte, mais m'effrayait aussi. Un coup d'oeil rapide vers la jeune femme ne me rassura pas. Elle nous regardait certes furtivement. Mais chaque fois que je pouvais voir son visage ou croiser son regard, elle semblait fort troublée. Gênée mais attirée. Cela dit ma maîtresse savait ne pas dépasser certaines limites. Non pas qu'elle me permis de reprendre une tenue décente, mais elle arrangea mon blouson de manière à ce qu'avec mes mains dans les poches, rien n'y paraisse. Pas confortable, mais assez excitant ma foi. A l'arrêt suivant, elle descendit en me guidant devant elle, vers un parc boisé, dont la seule lumière était celle de la lune qui se levait tout juste.
Elle me prit fermement la main et m'entraîna dans ce parc que longeait la route et qui semblait s'étendre assez loin. A vrai dire, l'obscurité et les arbres ne permettaient pas de s'en rendre vraiment compte. Et c'est dans cette obsurité moite que nous nous enfoncions progressivement sur un chemin caillouteux. Arrivés dans un semblant de clairière avec des bancs tout autour, je fus contraint de m'asseoir sur l'un d'eux... Et cette position ne me permettait plus de cacher mon émoi. Cela dit nous étions seul... J'étais seul sous le pouvoir de cette femme. Et il était clair que toute tentative de fuite était vaine. J'ai bien esquissé un mouvement de recul, mais curieusement je vis alors le manteau s'ouvrir discrètement sur ce qui était manifestement une cravache.
J'étais donc assis dans la nuit quelque part dans un parc inconnu, à la merci d'une femme tout aussi inconnue et qui se tenait, altière, debout devant moi. Avec un sourire carnassier très suave, elle fit lentement glisser la fermeture éclair de son vêtement de maille. Libérant à moitié deux seins oblongs et fermes à la peau dorée, et qu'elle caressait du bout de ses long doigts fins. Je les caressais moi aussi ... du regard, à défaut de mieux. Puis elle s'est approchée et a laissé glisser son manteau sur le banc tout en l'enjambant, passant une jambe de chaque côté des miennes. Ses yeux vrillés dans les miens, elle se cambra, la pointe de ses seins frôlant mon torse et s'assit sur moi. Lentement. Et je sentis autour de mon sexe une chaleur humide et douce. Et comme ça ne pouvait s'arrêter là, elle amorça de lents mouvements du bassin qui accentuaient la cambrure de son corps et dévoilaient par moment ses mamelons dressés... juste à la hauteur de ma bouche. D'abord hésitant, je me suis mis à les lécher délicatement, puis à les mordiller. Elle accéléra les ondulations de son bassin, et sa respiration haletante montrait qu'elle appréciait mon initiative.
Sans dire un mot, elle s'arrêta d'un seul coup. Son regard se portait derrière moi, et ses lèvres dessinaient un sourire enjoleur. Ne pouvant pas me retourner, je ne pus que me fier à ce que pouvais entendre. Du bruit sur le gravier, puis une respiration. Nous n'étions donc pas seul. Elle se leva, contourna le banc pour passer derrière. Et elle revint en tenant par la taille la jeune femme du bus. Très jeune et d'apparence très sage. Jupe stricte et corsage boutonné jusqu'en haut. Cependant visiblement curieuse et pas farouche, puisqu'elle nous avait suivi. Et vu son émoi, elle n'a rien dû perdre de nos ébats. Les pommettes de ses joues étaient rouges. Une main posée sur sa poitrine, l'autre sur son ventre, très bas, elle ne parvenait pas à calmer sa respiration, d'autant moins que ma maîtresse s'était mise à la caresser doucement. En posant de ci de là de petis baisers dans son cou, elle égarait parfois ses mains sous la jupe en se frottant à elle avec volupté. La respirat ...
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