Je laisse pour le moment ma seconde femme, héroïne de toutes les histoires que j’ai publié à ce moment pour parler de la troisième que j’amenais une fois dans un sexe shop.
Nous ne sommes pas restés mariés longtemps aussi je vais vous raconter cette anecdote qui sera l’unique souvenir mémorable que je garde d’elle.
C’était une cérébrale, elle avait un doctorat en lettres classiques, elle avait un tempérament de feu, elle venait du Brésil.
Je ne m’étendrais davantage sur notre rencontre ni sur notre séparation, j’avais dès l’avoir connu décidé d’être un modèle de mari et cesser la dépravation dans laquelle la seconde épouse m’avait plongé.
Nous nous étions rencontrés sur un site fait exprès, elle était en France une année pour se perfectionner en français et c’est ainsi qu’elle prenait le train pour concrétiser notre rencontre en me rejoignant.
Notre première nuit d’amour m’avait rendu perplexe, après avoir joui dans elle, elle prenait ma main gauche, l’appliquait sur son clitoris et me faisait comprendre que je devais l’astiquer vigoureusement pour au final après l’avoir branlé un long moment lui arracher un cri de bête sauvage assez impressionnant je dois dire.
J’avais l’impression qu’elle accouchait et que cela se passait mal ou qu’elle agonisait.
Je constatais qu’à chaque fois que nous baisions, elle ne donnait pas vraiment l’impression d’être satisfaite et inexorablement je devais terminer l’acte par une longue branle de son clitoris.
J’avais essayé de le sucer longuement comme je sais bien le faire mais non, elle ne recherchait pas un contact buccal, c’était une forte pression de mon doigt sur cette zone érogène qui lui convenait.
J’en concluais qu’elle était clitoridienne mais j’avais aussi le doute qu’elle était peut être lesbienne ou qu’elle l’avait été…
Elle rentra dans son pays, je la rejoignais plus tard et après trois aller-retour au Brésil nous nous marions et entamons une vie de couple en France.
Passionnée de culture et amoureuse de notre pays, je lui faisais découvrir toutes les ressources culturelles de notre Provence.
Lorsque je décidais de l’amener au festival d’Avignon, entre deux pièces de théâtre elle se demandait ce que pouvait être cette devanture tapageuse avec du papier autocollant rose criard empêchant de voir ce qui se trouvait à l’intérieur, elle me demandait ce que signifiaient ces grosses lettres « X » accolées aux mots « salles de cinéma, cabines ». J’essayais de lui expliquer ce qu’était un gloryhole, en même temps démangeait par la curiosité, elle me demandait d’entrer à l’intérieur.
Cela faisait longtemps que je n’étais pas rentré dans ce lieu de perdition, de commerce du sexe ; j’avais connu les VHS, maintenant c’était les DVD.
Elle insistait pour découvrir le gloryhole, l’employé du magasin l’entendant me remis un jeton et m’attribuât une cabine.
Pendant que nous descendions au sous-sol je remarquais qu’elle était excitée, ses yeux avalaient tout ce qu’elle voyait, ici un homme nu, quinquagénaire se masturbant devant l’écran diffusant un film porno, là, deux hommes s’occupant d’une jolie trentenaire nue sur une balançoire sexuelle, les jambes bien écartées comme lors d’une consultation chez le gynécologue.
Ma femme ne disait mot, je pense qu’elle était choquée, c’était la première fois qu’elle découvrait ce genre de lieu, de pratiques, je sentais qu’elle était gênée mais courageuse ne refusait pas de rentrer en ma compagnie dans la cabine.
Celle ci était centrale, ainsi de chaque côté nous avions une cabine attenante à celle où nous étions, un trou sur chaque côté.
Le téléviseur passait un film de triolisme, je me réjouissais de ce bon choix cela pouvait peut être lui donner des idées, du moins elle était carrément dans le vif du sujet…
Elle était toute excitée, je venais de lui expliquer que bientôt une bite allait apparaître dans l’un des trous ou peut être deux bites en même temps et qu’il n’y aurait qu’à les sucer.
Assise sur un siège d’appoint bien devant le trou, elle rigolait, faisait des pitreries, je pense surtout qu’elle essayait de dissimuler son trac, elle essayait de voir de l’autre côté du trou en se baissant, elle faisait un peu la gamine, je pensais que bientôt ce serait plus pareil…
J’avais hâte de la voir à l’œuvre…
L’attente était longue, elle en profitait pour réunir ses longs cheveux bouclés sur le dessus de la tête et les serrer avec une élastique façon coupe « palmier ».
La première queue arrivât, elle était pas mal, le mec avait du s’astiquer auparavant, il ne bandait plus mais il n’en fallait pas beaucoup pour la faire devenir raide à nouveau.
Ma femme étouffa un petit cri admiratif et me regardât comme pour avoir mon accord que je lui octroyais de suite en clignant les paupières.
Délicatement elle pris la bite de l’inconnu dans sa main droite et la portât au niveau de sa bouche pour l’engloutir goulûment. J’étais gêné, je n’avais jamais eu de relations plurielles avec cette épouse, je découvrais que finalement elle était assez à l’aise, c’est vrai qu’elle n’était pas timide…
En suçant elle tournait la bite en faisant des mouvements de son poignet droit, sa main gauche soutenait les couilles du mec, c’était une paire de grosses couilles ; avec ses faux ongles américains, son rouge à lèvres carmin vif, on aurait dit une grosse pute, elle cachait bien son jeu…
Elle continuait de sucer, les yeux fermés, elle gloussait de plaisir, sans doute du fait que son mari la voit, sans doute aussi parce qu’elle prenait du plaisir, je dois reconnaître qu’elle suçait divinement bien…
Son poignet tournait de plus en plus vite autour de cette bite, elle alternait entre descendre jusqu’à la garde pour faire entièrement disparaître la bite au fond de sa gorge, puis revenir pour téter le gros gland turgescent…
Elle se contorsionnait pour aller sucer le dessous des couilles du type, elle remontait sur la verge, j’apercevait sa langue bien baveuse sucer toute la bite offerte à elle…
Le mec était complètement couché sur la paroi, je voyais ses poils roux, je pense qu’il allait pas tarder à vider ses couilles, je voyais ses testicules monter et descendre à l’intérieur de ses bourses. Je me souviens de lui, lorsque nous étions au sous-sol je l’avais remarqué entrain de sucer le vieux quinquagénaire dépravé nu comme un ver dans cet univers…
Cela faisait quatre minutes que ma femme s’occupait de sa bite, je la vis se désolidariser du manche qu’elle avait en bouche pour bien téter juste que le gland et pousser des petits soupirs de gémissement, je compris que le type avait éjaculé dans sa bouche, c’était plus son poignet mais sa tête qu’elle ondulait autour de cette queue, elle s’arrêtait plus de sucer en ronronnant, j’allais devenir jaloux tellement ce devait être merveilleux d’avoir cette bouche aspirante sur sa bite…
Avec délectation elle se retira doucement, presque à contre cœur et je vis sa langue remplie de sperme, une semence bien épaisse avec des grumeaux plus épais au milieu, putain ! le mec avait mis le paquet !
Après m’avoir montré la quantité de sperme dans sa bouche, elle avala, le mec passa une main et le pouce levé fit rire ma femme, la gars avait vraiment apprécié et l’en remerciait…
Elle était heureuse, elle passa ses doigts sur les contours de ses lèvres qui collaient, je compris que le mec avait un sperme bien épais, c’est bien ce que j’avais vu…
Cette première pipe avait duré cinq minutes, le temps de se retourner, une seconde bite était en place dans le second trou, elle retira son short en jean, je la laissais faire
Elle ôta son string noir, me le balançât en souriant et s’assit prête à besogner, elle engloutit cette nouvelle bite, la ressort de sa bouche chaude, la recouvre de crachat et suce méticuleusement le prépuce, la pipe fut plus courte que la ...
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