Au bout de la matinée entre les mains de Pierrot, j'étais mort.
Mais j'étais bien, comme dans un nuage.
La fatigue passée, je rentre chez moi manger et reprendre une douche.
Je ne voulais laisser de traces qui puissent me trahir.
Je jette un œil à mon slip, encore propre, je le garde.
Je vais voir les potes, Pierrot nous rejoint.
On discute, on rigole.
- j'ai envie de casser un cul!
En disant cela, Pierrot est tourné vers.
- va te trouver une pute!
- tu connais pas moins et pas trop loin ?
- Si! T'es mains !
J'arrive à lui jeter un regard pour qu'il change de conversation.
Un jour, je tombe sur une planche montrant l'anatomie de l'homme.
Je regarde bien et je remarque le passage étroit au bout du côlon.
Je comprends pourquoi Alex et moi avions mal quand on s'enfonce loin.
En tout cas, ça fait du bien.
Je vois la prostate tout près de l'anus, mais rien n'indique qu'elle a une incidence pendant la sodomie.
Je pense que Pierrot doit en avoir une bien longue, pour pouvoir dépasser ce passage.
Je me rends compte que je ne l'ai jamais vue, alors que je l'ai sentie quelques fois.
Un vendredi soir, temps pourri, on passe la soirée chez Pierrot, bière, alcool et musique.
A plusieurs reprises, je jette un œil sur son paquet pour estimer sa taille.
Il finit par le remarquer.
Il baise légèrement son pantalon.
- y'a personne qui veut me sucer ?
2 filles qui l'ont vu faire se fâchent et décident de rentrer.
- t'es con, tu as gâché la soirée!
- qu'elles aillent se faire foutre, elles en ont déjà vu. Si elles ne comprennent pas la plaisanterie, eh ben, merde.
Une fille prend leur défense.
- ça commence avec des plaisanteries puis ça finit mal!
- mal? Ça dépend !
L'ambiance revient petit à petit.
Je pense à son geste, dommage que je n'ai pas eu le temps d'estimer la taille.
J'y pense presque toute la soirée.
Et je me souviens de ce que j'ai enduré il y a plusieurs jours.
Les bières défilent.
A un moment, Pierrot me demande si je veux dormir avec lui.
L'idée me plaît mais je refuse à plusieurs reprises. Je n'ai pas envie que quelqu'un comprenne.
En plus, Jésus risque de passer le matin. Je sais très bien que ça ne serait pas la première fois.
Viens le moment de rentrer.
Je rentre avec le regret de ne pas pouvoir dormir sur place.
Ça fait plusieurs jours que je n'ai pas baisé, Alex a déménagé depuis plusieurs semaines.
Je n'ai pas encore chopé un petit cul.
Je me décide, demi-tour.
Je toque à la porte, Alex m'ouvre et son visage s'ébloui.
- je n'ai rien oublié?
- regarde.
J'entre, il est seul. Il ferme la porte à clé.
Il a compris que j'avais cherché un prétexte et je me sens un peu gêné.
- il enlève son caleçon et je prends le temps d'estimer la taille de son engin.
- putain! J'ai pris çà?
- ça t'a pas gêné!
Il me baisse le pantalon pendant que j'enlève la chemise.
Je m'assieds sur le bord du lit pour enlever baskets, chaussettes, pantalon et slip, tout en regardant son matériel.
- putain, c'est pas possible! Tu l'as rallongée!
- attends que je bande.
Je compare avec mon bassin, c'est pas possible, il doit arriver à mon nombril.
L'idée qu'il rentre jusqu'à bousculer mon estomac me réveille.
Il s'allonge sur mon ventre et me roule une pelle pendant qu'il me caresse tout en se frottant contre mon bas-ventre.
Il durcit.
- fait voir combien elle fait, maintenant!
Elle dépasse un peu mon nombril.
J'insiste pour qu'il mouille au moins le bout. J'en profite pour m'humecter la rondelle. Ça fait plusieurs jours que mon anus s'est refermé.
Il rentre tout doucement, mais assez facilement.
J'ai à peine un peu mal, mais ça va.
Il arrive au deuxième passage étroit. Je marque ...

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