De temps à autre, il faisait ressortir sa queue de ma bouche, m’agrippant toujours par les cheveux, et il maculait mon visage d’un épais crachat qu’il étalait ensuite sur ma face avec son gland ou sa main. Il y allait également de quelques gifles toujours impeccablement dosées, suffisamment fortes pour que j’en gémisse de douleur mais jamais au point que cette douleur ne remplace totalement le plaisir que j’avais de les recevoir. Avec ses doigts, il recueillait également les cordons de bave qui reliaient sa queue à mes lèvres. Puis il les étalait sur mon visage et s’essuyait les doigts dans ma chevelure. Alors que son engin pénétrait à nouveau de toute sa longueur au fond de ma gorge, en d’interminables allées et venues, je sentais que je commençais à patauger dans une mare de salive gluante, qui coulait de mes joues et traînait en longs filets de glaires de mon menton jusqu’au sol. Mes cuisses agenouillées en étaient elles-mêmes badigeonnées et je sentais également ces glaires translucides couler le long de mon buste et maculer mon haut, mouillant jusqu’à mon ventre et mon pubis.

Une bonne demi-heure s’écoula ainsi mais en réalité je n’avais déjà plus la notion du temps. Ma mâchoire et ma gorge commençaient à être épuisées d’un tel pilonnage en règle. Fallait-il en outre que je m’efforce de ne point toucher ou même frôler de mes molaires sa queue si épaisse, sinon je me prenais une autre salve de gifles, l’entendant me dire sévèrement :
— Je ne veux pas sentir tes dents, pute ! Démerde-toi comme tu veux.
Marcelo dut ressentir ma limite à un moment où je ne pus réfréner un soupir d’épuisement. Il relâcha quelque peu son étreinte. Pour la première fois depuis qu’il m’avait attrapée, il me libéra même entièrement. Mais son humiliation se poursuivit :
— Allez pute, nettoie tout ça maintenant ! Et amène-moi quelque chose à boire. C’est comme ça que tu reçois tes invités ? Ça fait presqu’une heure que je suis là et tu m’as encore rien servi, petite connasse.
Je le regardais, toute chamboulée et désorientée, ignorant si j’avais le droit de parler, ne serait-ce que pour lui présenter mes excuses.
— Je vous demande pardon, Maître, m’entendis-je balbutier. Que souhaitez-vous boire ?
Je me pris alors deux nouvelles gifles, un vrai aller-retour qui me fit vaciller au sol.
— Tu ne peux pas t’empêcher de jacter, hein ? C’est plus fort que toi… Sers-moi quelque chose de fort. Et après je veux que tu nettoies toute ta merde-là…
D’un doigt, il pointait le sol qu’une flaque de ma bave inondait. Je me levais, chancelante, la tête tourbillonnante, les joues chaudes, rougies et endolories de ces claques qui m’enivraient. J’allais lui servir un whisky et lui ramenait, en même temps qu’un rouleau de sopalin afin d’éponger le sol.
Il me prit le verre des mains et le posa sur la table basse du salon. Il m’arracha le sopalin des mains et me saisit par les cheveux, l’air furieux :
— T’es vraiment qu’une pute stupide ! Qu’est-ce que tu crois que tu vas faire de ça ? C’est avec ta bouche, connasse, que tu vas nettoyer le sol. Je veux que tu lèches tout et que tu l’avales… Tout ce que tu nettoieras, tu le feras avec ta langue. Compris, pute ?
Il me tirait les cheveux si forts que je ne pouvais m’empêcher de gémir.
— Oui Maître, pardon, je n’avais pas compris…
Il me fit valdinguer par terre en me tordant comme une brindille. Avec un coup de pieds dans les fesses pour achever de m’amener au sol. Il m’abaissa la tête jusqu’au carrelage et je commençais à aspirer avec ma bouche toute la bave qui s’étalait par terre. Se servant de mes joues comme d’une serpillère, me tenant toujours fermement par les cheveux, il frottait mon visage contre le carrelage froid et mouillé de bave, et je crois pouvoir dire qu’en cet instant, je n’avais plus aucun plaisir à faire la pute pour lui et je commençais à sérieusement paniquer intérieurement. Je m’efforçai donc d’in ...

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