En ce temps-là, j’étais travesti
Enfin un rayon de soleil ! Je ne veux pas rater cette matinée. Aucune de mes connaissances, semble-t-il, n’est disponible pour s’occuper de moi.
Tant pis, trop longtemps privé de bites, je me prépare et inaugure ma robe léopard.
Bien sûr, pour quitter mon domicile, ma tenue est cachée sous mon survêt.
Très vite, je suis sur le parking du bois et, une fois à l’arrière de ma voiture, je me change : je quitte le survêt devenu inutile, mets ma perruque blonde, mes chaussures à hauts talons, et avec mes bas noirs attachés par mon porte-jarretelles, j’ai maintenant l’air d’une bonne salope.
Une famille débarquant près de moi, je dégage rapidement du parking et me dirige vers la route du pont Neuf (maintenant barrée et servant de parking interdit aux mecs en manque).
Plusieurs voitures y sont garées et mon arrivée est remarquée.
Juste le temps de me garer, je m’assois à l’arrière de ma voiture, porte ouverte, laissant largement le temps aux automobilistes de regarder mes jambes, et pas que, qu’un homme est déjà sorti de son véhicule et me mate en se touchant la braguette.
Je lui fais signe de me rejoindre, mais il refuse : trop de monde tourne autour de nous.
Tant pis pour lui, un autre me fait signe. Je lui désigne la porte et il me rejoint immédiatement.
Lui ne se préoccupe pas d’être vu. Aussitôt installé, il sort sa bite déjà à demi bandée et bien sûr je la prends de suite en bouche et, consciencieusement, je la suce avec application, pratiquement allongée sur lui.
Sa main parcourt mon corps sur le fin tissu de ma robe et finit par la soulever pour me caresser les fesses, laissant ainsi mon petit cul bien visible de l’extérieur.
L’autre porte ne tarde pas d’ailleurs à être ouverte et une main remonte le long de ma jambe. Je peux jeter un œil et reconnais un ami. Il me fait comprendre qu’il a envie de s’occuper de moi une fois que j’aurai fini.
M’étant un peu relevé, mon sucé en profite pour s’emparer de ma bite et me suce à son tour. Ne voulant pas jouir, il abandonne et m’invite à rejoindre mon ami. Je le connais, il a déjà largement profité de mes charmes.
— « La route derrière le parking de la foire expo est ouverte, on y sera à l’abri. »
Aussitôt dit, aussitôt fait, on quitte les lieux.
Dès que je m’arrête, je suis rejoint par mon ami.
— « Tu as ton collier de chienne ? »
— « Oui, tu veux que je le mette ? »
Alors que je le sors de mon sac, il s’en empare, ainsi que de la laisse, et me le met autour du cou.
— « Je vais te promener ainsi le long du lac… tu seras ma chienne ! »
Un peu surpris malgré tout, je me soumets et le suis docilement.
Nous avons à peine parcouru une centaine de mètres que déjà un homme apparaît.
Dans un ensemble parfait, nous nous arrêtons. Mon ami tire sur la laisse et nous disparaissons dans les bosquets. Une fois à l’abri, mon ami attache la laisse à un arbre.
Nous n’attendons pas longtemps : l’homme se montre et semble particulièrement intéressé par ce qu’il voit.
Mon ami remonte alors très lentement ma légère robe jusqu’à découvrir le haut de mes bas, puis mes fesses. L’homme n’en perd pas une miette et a les yeux exorbités.
— « Elle te plaît ma salope ?… Si tu veux, tu peux toucher. »
Pas une seconde d’hésitation : déjà ses mains se promènent sur tout mon corps.
D’abord par-dessus ma robe, puis rapidement l’une de ses main ...
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