J'ai rejoint mon amant à l'hôtel un début d'après-midi ensoleillé de février. Après une bise tendre sur sa joue, je m’éclipsai dans la salle de bain et m’habillai avec de beaux dessous noirs mi-dentelle, mi-satin, une jupette en simili-cuir et un haut en dentelle, le tout en noir. J'enfilai mes bas et les attachai délicatement à mes porte-jarretelles. Je mis des talons-aiguilles assortis. Mon « aimante » était déjà habillée. Elle finissait de se maquiller. J’en fis autant. Notre désir montait. Nous étions très excitées à l’idée de nous retrouver, sachant que nous allions passer un moment inoubliable. Nous nous embrassâmes longuement et tendrement. Nos langues se croisèrent, nos salives s’échangèrent. Cela dura une éternité. J’étais comme enivrée. Elle se baissa à la hauteur de mon sexe. Elle me le saisit et l'engloutit dans sa bouche gourmande et baveuse. Elle me suça longuement, langoureusement et puis vigoureusement. J'entrai mon sexe jusqu'à la garde dans cette bouche qui prit la forme d’un sexe aux lèvres charnues. J'ai trop aimé. Je me caressais les seins. J'avais les tétons bien durs d'excitation. Je me suis mise au-dessus d’elle et je lui ai baisé la bouche comme dans une chatte avide. J'allais et venais comme une amoureuse au fond de ce vagin humide. J'allais pour jouir. Elle l'attendait. Je jouis vigoureusement. Elle avala tout mon sperme sans en laisser une goutte. Elle m'embras ...

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