Pour ceux qui ont lus mes précédents récits, ils se souviennent que j’ai été, pendant 8 mois, le soumis d’un arabe et que cette expérience m’a fait découvrir ma vraie nature : celle d’un soumis, aimant obéir, être humilié. Il m’a offert à ses amis, me présentait comme « sa pute mâle » et leur disait que j’étais « une outre à foutre ». Je suis effectivement devenu ça et maintenant j’aime être entouré de types qui, leur sexe à la main, attendent leur tour de l’enfoncer dans ma bouche ou mes fesses. J’aime quand ils m’ordonnent de me mettre à genoux, d’ouvrir ma bouche, quand ils mettent une main derrière ma tête tout en faisant aller et venir leur sexe dans ma bouche, ou quand je suis à quatre pattes, de poser leur main sur mes hanches en enfonçant leur sexe dans mes fesses.
Les sentir jouir, surtout dans ma bouche, me comble de satisfaction du travail bien fait. L’objet sexuel que je suis a rempli son devoir.
Et puis l’arabe a disparu un beau jour, volatilisé. Je savais qu’il avait des dettes de jeu, il m’avait même demandé si j’étais d’accord pour l’aider en faisant la pute pour lui. Il connaissait un turc qui organisait des soirées où des femmes et des hommes étaient les jouets sexuels d’autres hommes et femmes devant des spectateurs payants. Un pas de plus dans l’humiliation que j’étais prêt à franchir.
Entre temps, un de ses amis qui étais assez souvent venu, m’a prévenu qu’en fait il voulait me vendre au turc et que je finirais comme pute sur les chantiers ou à migrants. Je ne le saurais jamais.
S’en est suivi une période bizarre, puis le confinement est arrivé. Dès que les saunas ont réouvert, dans celui où je vais quelque fois, j’ai rencontré deux frères noirs avec lesquels j’ai sympathisé. Je suis vite devenu leur « esclave blanche ». Ce qu’ils aimaient, était jouir sur mon visage et m’obliger à rester ainsi ou bien ils jouissaient sur la table basse et je devais lécher leur sperme pour nettoyer la table. C’est à eux que j’ai dit que j’aimerais bien être mis en abattage mais que cela me faisait un peu peur car je ne voulais pas que ça dérape et que je ne savais pas combien de temps j’étais capable de tenir physiquement.
Ils m’ont dit qu’ils pouvaient m’organiser ça et nous sommes convenus de le faire durer 2 heures, voire moins si je ne le supportais pas.
Un soir, nous sommes partis du côté du port de Gennevilliers, dans le sous-sol d’un entrepôt désaffecté. Il y avait un long couloir, des sortes de caves de chaque côté, au bout une cave éclairée d’où sortaient des voix. J’ai dû me déshabiller, gardant mes dessous féminins, collant jarretelle et string satiné noir avec des dentelles. Ils m’ont mis un masque sur les yeux, menottées mes mains dans le dos, mis un collier et une laisse et nous sommes dirigés vers les voix.
Arrivé dans la pièce, un des deux frères dit « les gars, voilà votre jouet de ce soir »
« Ah merde, c’est un vieux »
« Oui mais c’est un blanc et j’adore enculer les blancs, allongez-le »
Je fus littéralement soulevé et allongé sur une sorte de planche. Mes jambes furent relevées, bien haut, bien écartées, mes chevilles furent attachées. Ils enlevèrent les menottes et me tirèrent mes bras de part et d’autre de ma têtes en les écartant et attachèrent mes poignets. Je pouvais à peine bouger.
Je sentis deux doigts toucher mon anus pour y mettre du gel, surement un des deux frères. Je gémis doucement.
« Eh ben si tu commences à couiner avec deux doigts, t’as pas fini de gueuler avec nos queues »
« moi j’aime bien que le mec que j’encule, gueule »
Le même qui avait dit de m’allonger, dit :
« Maintenant que t’es bien ficelé, on va pouvoir s’occuper de toi »
« Tu vas tous nous sucer et on va tous t’enculer »
« On va bien te remplir ma salope, on va te farcir au foutre, on va crémer ta petite gueule de pute »
Il me dit « ouvre ta bouche », j’obéis, il me cracha dedans. Avec sa main, il ferma ma bouche « maintenant avale » je m’exécutais, j’eu un haut le corps ce qui fit rire autour de moi.
« Allez on a pas la nuit, on l’a que pour deux heures »
« t’aime ça te faire enculer »
« oui »
« oui quoi »
« oui j’aime ça »
« t’aime ça quoi »
« oui j’aime ça me faire enculer »
« vous avez entendu les mecs, elle aime se faire enculer, la salope »
Je sentis un sexe dur toucher mon anus, peser sur mon petit trou, l’ouvrir, s’y enfoncer et commencer les vas et vient
« c’est pas la première fois qu’il se fait enculer, dis donc, il s’ouvre tout de suite »
Un autre sexe appuya sur mes lèvres, j’ouvris la bouche, il s’y enfonça.
Les deux premiers jouirent assez vite.
« tiens prends ça dans ton cul »
« allez avale tout salope »
Immédiatement deux autres prirent la place, puis un que je suçais sorti son sexe de ma bouche et jouit sur mon visage « de la bonne crème d’homme pour ta petite gueule de pute » il entreprit de consciencieusement étaler son sperme avec son sexe
« ouais, vas y crème lui la gueule »
Comme mes bras étaient écartés ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur