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IL Y A ENCORE DES PETITES AIRES DE REPOS AVEC DES ROUTIERS

Publié par : aubois33 le 04/11/2024

En ce temps là j’étais travesti

Pour une fois je dois faire l’aller-retour en voiture dans la journée aussi je n’ai pas à traîner pour l’aller.
Seul, sous la grisaille, je sais que le trajet va me sembler long.
Sur le retour par contre, pour que cette route me paraisse moins ennuyeuse, je décide de me vêtir mode dévergondée. Petit haut, minijupe noire légère, sous vêtements et bas résille également noirs, tenue que j’avais, en bonne petite salope, dissimulé dans le coffre au cas ou.
Après un court trajet, je me change discrètement sur une aire de repos.
En remontant dans la voiture, l’envie d’ôter mon string me prend, personne autour, je le jette sur le siège passager, bien apparent, en pensant aux routiers que je vais doubler et relève haut ma jupette.
Quelques bouchons ce qui ne me réjouit pas bien qu’à certains moments les coups de klaxon me signalent que certains ont vu mon string et le haut de mes cuisses qui bien sur sont apparentes au dessus des bas résille.
Quelques appels de phares de camions, dont un plus insistant que les autres, doublés par des coups de klaxon attire mon attention.
Un peu étonnée par la façon d’agir de ce routier que je viens de doubler, je commence à être excitée et garde donc mon allure suivi de près par celui-ci.
Après avoir parcouru une bonne dizaine de kilomètres avec ce camion collé derrière moi, une aire de repos, avec uniquement les sanitaires, propice aux rencontres est signalée et bien vite apparaît.
Je ralentis, de suite mets mon clignotant et m’y engage.
Sans surprise je suis suivie par le routier. Au fond de moi, j’ai très envie de savoir la suite.
Aucun sentiment d’insécurité juste que la nuit commence à tomber et que cet endroit est surtout sombre avec seulement la lumière des sanitaires près desquels sont garés 3 poids-lourds aux cabines allumées.
Je me gare près d’eux, suivi par mon routier.
Je reste quelques instants dans ma voiture et je suis surpris de ne pas apercevoir celui-ci descendre de son bahut.
Je l’aperçois occupé avec sa CB.
Déçue, je tente une sortie vers les WC. J’hésite un peu, puis me dirige vers ceux des hommes faiblement éclairés.
Je jette un rapide coup d’œil ; vide. Alors que je vais y pénétrer, j’entends un léger bruit derrière moi.
Mon routier est là, un peu plus costaud que je ne l’imaginais. Pas le temps de réfléchir que déjà il me saisit fermement, me guide vers les toilettes turcs, me pousse à l’intérieur.
« Je m’en doutais ! Un trav en quête de queues ! … Entre vite la dedans et tu m’la suces ! » ordonna-t-il en déboutonnant son pantalon. 
Soumise et sans un mot, j’entre et m’accroupis devant lui.
« T’as oublié ta culotte, espèce de salope...! »
Bien que la porte reste ouverte, étant en face de sa bite déjà bien bandée, j’ouvre spontanément la bouche laissant pénétrer entièrement cette belle queue en gorge profonde.
Un râle de plaisir accompagne le moment où son gland touche le fond de ma gorge.
Je commence alors à lui faire une bonne une pipe maison, ma main gauche soutenant ses couilles bien lourdes, mon autre main le branlant. Je le suce avec enthousiasme.
Il semble, à entendre ses gémissements, bien apprécier ma fellation.
Alors que je le pompe, ce vicieux me saisit brutalement les aisselles pour me relever.
Me retournant sans douceur, il me pousse et je dois plaquer les paumes de mes mains contre le mur pour ne pas tomber.
Avec son pied, il m’écarte les jambes, puis après m’avoir penchée en avant, prenant chacune de mes fesses à pleine main, les ouvre.
Dos à lui, je sens un doigt s’insérer dans mon cul étroit suivi bien vite d’un second l’ouvrant légèrement.
Mon anus s’écartant sous cette poussée, il en profite pour me le branler d’abord avec douceur puis de plus en plus vite.
Il change de position et je sens son gland se frotter le long de ma rondelle.
Je n’ai pas longtemps à entendre avant de percevoir une nouvelle poussée et cette fois il me pénètre.
Le gland passé, je sens sa belle bite s’enfoncer au plus profond de moi.
Déjà il prend son rythme de croisière et avec bonheur sa belle verge coulisse en moi pendant qu’il pelote mes tout petits seins. Hum j’aime me faire sodomiser de cette façon.
Bien sur les insultes pleuvent et parfois une petite claque sur les fesses pour faire bonne mesure.
Soudain il se crispe et dans un grand cri vide ses couilles au fond de mon petit cul bien labouré.
Pas le temps d’apprécier que déjà il se retire, laissant mon trou béant dégoulinant de sperme.
Étonnée de cette fin précoce, je me retourne et découvre 2 costauds en train de se branler en nous matant.
« Elle est à vous... Cette salope avait un cul étroit : il l’est moins ...Profitez-en c’est une sacrée pute ! »
«  merci de nous avoir prévenu de la présence de cette chienne … et t’inquiète on va bien s’en occuper ! »
Très rapidement les 2 comparses s’emparent de moi, sans même refermer cette fichue porte.
Je me retrouve de nouveau dominée dans ce WC et cette fois j’ai droit à 2 bites.
L’une va direct sans formalité dans mon cul cette fois bien lubrifié. Quand à l’autre, après m’avoir penchée sans douceur, s’engouffre dans ma bouche. Certainement trop excité il ne peut résister que quelques secondes et jouit en grosse quantité remplissant ma bouche qui ne peut tout garder.
Couilles bien vidées, il regarde avec un plaisir non dissimulé le surplus de sperme couler le long de mes lèvres.
Le second après un dernier coup de bite éjacule à son tour. Bien qu’ils se soient ...

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