Il peut y avoir pire que de passer une soirée seule.

CAMION !

L’autre jour, alors que je m’étais permise de mettre une robe, comme ça m’arrive de temps en temps, c’est une robe longue à marinière, épaules nues, je l’aime bien parce qu’elle donne accès facilement à mes tétons, pour que les hommes me soumettent à leurs désirs.
Avec ça, j’avais mis un collant filé et ma paire d’escarpins noirs... ainsi que mon collier de soumise en métal, avec son anneau.
C’était la fin de journée, j’allais fermer, et j’étais en train de me caresser les tétons, comme ça m’arrive souvent quand je suis en chaleur... aucun mec à sucer ce jour-là. Lorsqu’un homme a poussé la porte sans que je l’entende.
J’ai rougi en remettant mes tétons en place... lui, il a souri.
C’était un homme plutôt pas très grand, un asiatique typique, si je peux me permettre, genre Jackie Chan.
— Je suis désolée, ai-je fait en baissant les yeux, tout en me levant pour l’accueillir.
Il m’a serré contre la bibliothèque, fermement mais avec douceur.
— C’est toi qui proposes le café-pipe ?
— Oui... Monsieur.
Il a appuyé sur mes épaules, et je me suis retrouvée à genoux.
— Montre-moi ce que tu sais faire, déjà.
Le rideau n’était pas tiré et ça m’ennuyait un peu.
— Pardon, mais il faudrait fermer la porte et tirer le rideau.
Il a tourné la tête vers la porte juste derrière lui.
— C’est bien... comme ça, si on te voit me tailler une pipe, ça leur donnera des idées.
Il m’a mis une petite claque.
— Allez ! Suce ! Et caresse-toi les nichons en même temps.
Je me suis exécutée sans dire plus.
Il a eu l’air d’apprécier, et ça a bien durée une dizaine de minutes avant qu’il n’éjacule dans ma gorge.
— Remets-moi la queue en place.
C’était la première fois qu’on me demandait ça, j’avoue que ça m’a bien excitée. Ce genre de service de soumise à l’homme. Je sais, ce n'est pas très féministe, mais il y a des moments où on peut se laisser faire, après tout.
Je pensais qu’il allait partir. Je me suis relevée.
— Tu fermes à quelle heure ?
J’ai regardé l’heure...
— Normalement, maintenant, Monsieur.
— Ça te dirait que je t’emmène à une soirée... spéciale ?
— Spéciale ? Comment ?
Il a pris l’anneau de mon collier comme s’il allait m’embrasser. J’avais mon visage presque collé au sien.
— Tu verras, mais je pense que ça va plaire à la salope que t’es.
J’ai souri. J’hésitai un peu... les plans de dernière minute, ça me dérange toujours. Mais d’un autre côté, c’est assez rare ce genre de proposition.
— Eh bien d’accord, ai-je fi ...

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