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Hummm qu'elle delice

Publié par : hyann le 11/01/2020

J’avais décidé de m’offrir à son meilleur ami pour l’anniversaire de celui-ci. « 30 ans : ça se fête tout de même !

Et réaliser enfin mon petit trip candauliste me plairait tellement, allez, dis-oui ! »J’étais en couple avec Stéphane depuis 5 ans et cela faisait quelques mois qu’il me parlait inlassablement de me mater en train de me faire prendre par un autre homme. J’avoue que l’idée a bien germé dans mon petit cerveau – et au bout d’un moment – cela a éclot, j’ai accepté. (Et son pote Melchior est loin d’être laid !).



Nous avons décidé ensemble de ma tenue, robe rouge ultra provocante, talons noirs, brushing parfait. Il a noué un bandeau noir sur mes yeux en attendant que Melchior sonne. Je ne suis pas quelqu’un de nature très patiente, et la délicieuse angoisse dans laquelle il me mettait ne faisait que redoubler mon excitation. Comment Melchior allait-il réagir en me voyant sur ce canapé, offerte à lui ? Enfin, j’ai entendu sonner, Stéphane et Melchior discuter.
Je tremblais comme une feuille morte, j’étais à fleur de peau, tous mes sens étaient en alerte.

Stéphane m’a demandée de me mettre debout et de me présenter à notre invité. Je me suis exécutée dans la minute. Je voulais avant tout faire plaisir à ces deux hommes, ravie de me retrouver dans la position d’objet de désir si convoité.

Stéphane a dénoué mon bandeau et mon regard s’est plongé dans celui de Melchior, il me dévorait littéralement des yeux, sa bouche était légèrement entrouverte.

Il s’est levé, face à moi, et à pris mon visage entre ses mains. Stéphane n’a pas bougé, il était toujours derrière moi, et j’ai senti qu’il commençait à bander. Melchior me contemplait toujours, impatient, obsédé, concentré. Il a retiré son pantalon, d’un coup, me faisant alors sursauter, et m’a demandée de venir le sucer.

Stéphane m’a murmuré à l’oreille : « C’est lui qui choisit ! S’il te demande de le sucer, tu dois le faire. »

Je me suis donc agenouillée, trempée par l’excitation et la tension ambiante, et j’ai examiné le sexe bandant de Melchior. Il l’avait bien rasé avant notre petit rendez-vous et je l’ai immédiatement comparé à celui de Stéphane. C’est peut-être très nul de ma part, mais je me suis bien rendue compte qu’il devait être plus long de 5 cm. Et ce n’était pas tout ! À le prendre en main, il était également beaucoup plus épais. Je l’ai mis tendrement dans ma bouche pour me familiariser avec cette nouvelle sensation.

Depuis que j’étais en couple avec Stéphane, je n’avais connu que son sexe, et j’avais très peur de l’inconnu. Sentir un calibre différent dans mon gosier, c’était soudainement très excitant ! J’ai donc accéléré le mouvement de mes allers-retours. « Mmmmmh, mmh »,commençait à geindre le pote de mon mec. J’étais fière, hyper fière même, de lui faire ce petit effet. Stéphane continuait à me masser doucement l’épaule en guise d’encouragement et soudain, un sentiment de pleine euphorie m’a envahi.

Certainement d’avoir la certitude physique que deux hommes me désiraient en même temps, et que les deux ne pouvaient pas m’avoir. Le plaisir transgressif de ne pas satisfaire mon mec, certainement, aussi. Bref, ça me plaisait vraiment et je prenais un pied d’enfer ! Je me suis mise à sucer Melchior de façon un peu plus affirmée, en le regardant lentement dans les yeux, en sortant ma petite langue. Je sentais Stéphane, derrière moi, dégager mon visage pour éviter qu’un de mes cheveux ne se prenne dans ma bouche.



Le moment était délicieux. Melchior avait du mal à rester immobile, je crois que la situation le rendait complètement dingue. Il s’est écrié tout d’un coup « Stop, on arrête ! Sinon je vais te jouir en bouche, et ce serait se terminer un peu trop tôt.
Je crois que Stéphane mérite un spectacle plus poussé, non ? ».

Ça m’a fait rire, mais je l’ai écouté, et j’ai arrêté net de lui tripoter la bite. Nous nous regardions un peu hébété, lui la bite pleine de salive, encore toute luisante, et moi encore habillée, le regard vif en remplit d’appétit.

J’ai retiré ma belle robe rouge devant mes deux hommes, avec sensualité et lenteur. Personne n’osait prononcer un mot. Je me suis assise sur le canapé, nue, écartant alors mes deux cuisses de façon provocante. Melchior, comme une abeille attirée par le miel, est venu me butiner la fleur.

Mon amour de Stéphane me triturait les nichons en même temps en regardant bien la langue de son pote s’insinuer dans les replis les plus secrets de mon intimité.

« Ça te va, il te fait du bien ? »m’a-t-il alors demandé. Je lui ai souri en faisant tomber ma tête en arrière. C’était un dieu du cunnilingus, mais je n’osais pas en faire trop devant mon Stéphane. Peut-être allait-il prendre la mouche ? Je me suis contentée de lui répondre par des petits gémissements enjoués. Au fond de moi, c’était la tornade. Je n’avais jamais rien senti d’aussi bon et j’avais très peur d’y prendre un peu trop goût. Stéphane m’a tendrement caressée les cheveux, il ne se doutait certainement pas que je prenais un pied d’enfer. « Bon eh bien, vous baisez maintenant ? »,a-t-il alors naturellement demandé, comme si cela coulait de source ! Mais bien sûr ! Melchior s’est allongé sur notre canapé et m’a regardée avec des yeux brillants.

Mon Stéphane s’est posé juste à côté et m’a fait un signe tendre sur sa cuisse pour que je vienne y déposer ma tête. Docile, je me suis coincée entre ces deux hommes. Je sentais contre mes fesses que Melchior cherchait doucement le chemin jusqu’à l’entrée de mon vagin, il ripait sur mes petites lèvres qui débordaient un peu.

Il a tenté un premier à-coup, mais ça butait un peu. Je le sentais nerveux, impatient de découvrir tous les délices que mon minou allait lui offrir. Il a alors eu une idée brillante. Il a demandé à Stéphane de lui cracher dans la main – Stéphane a alors éjecté un gros mollard – et il s’est badigeonné la queue avec la bave de mon mec !

C’était incroyablement sexy, une belle façon de faire participer son pote à l’aventure. Amusé de la situation et la bite bien lubrifiée, Melchior s’est à nouveau essayé à s’immiscer en moi, et cette fois-ci, il n’a pas loupé son coup. Mmmmmh. Sa bite longue dilatait à fond mon antre qui n’avait pas du tout l’habitude d’un tel calibre. J’ai serré très fort la cuisse de Stéphane pour ne pas hurler.

D’habitude, je suis d’un naturel plutôt discrète au pieu, et je ne voulais pas que Stéphane se rende compte qu’il y avait cette chose en moi qui sortait complètement de l’ordinaire.



Melchior m’a très lentement portée la jambe pour s’enfoncer encore plus loin en moi. j’ai découvert de nouvelles parcelles sensibles au fin fond de mon trou. J’étais devant un aventurier, en pleine exploration de territoires vierges.
Ça y est les premiers cris, sonores, aigus, se sont fait entendre. Je ne pouvais pas contenir mon plaisir plus longtemps.

Stéphane me caressait tendrement la tête, comme pour me rassurer « Tout va bien. Elle est bonne la bite de mon pote, non ? ». Pour être bonne, elle était bonne sa bite, oui. Plus Melchior entendait mes cris enthousiastes, plus il s’amusait à accélérer son rythme. La cadence était infernale, j’avais l’impression d’être la partie essorage d’une machine à laver.

Stéphane me maintenait fermement par le bras pour que je ne tombe pas du canapé. Mmmh. Qu’est-ce c’était bon.

Et là, le drame est arrivé, j’ai hurlé « Plus fort ! Encore ! Encore ! ».

Mon Stéphane m’a regardée avec de grands yeux, il redécouvrait manifestement sa femme. Eh oui, j’étais moi aussi une bonne grosse salope, capable d’apprécier vivement les bons gros calibres. Stéphane est passé de cet état de sidération à complice, il a relevé ma jambe pour que notre invité du jour puisse s’enfoncer encore plus profondément dans mes entrailles. Il tapait totalement au fond, s’en était presque douloureux. Je me suis dit qu’il était temps de changer de position, et de reprendre en main la partie de baise avant que je ne finisse en lambeaux.

Je me suis mise à quatre pattes et j’ai accentué ma belle cambrure pour Melchior capte le message : « hop – mets-la moi en levrette, et que ça saute ! ».Il a pris son temps, le garnement, pour trouver son assise sur le canapé. Je le voyais toiser Stéphane du regard d’un air de dire « vois comment je vais baiser ta femme sous tes yeux », et mon Stéphane lui rendait le regard, avec une bienveillance qui m’a étonné. Qu’est-ce qu’ils étaient beaux mes hommes, à jouer à se défier.

Enfin, Melchior a doucement poussé le bout de son gland au fond de mes entrailles. Sa bite glissait facilement dans ma chatte écartelée et baveuse.

À présent, je pouvais beaucoup mieux contrôler la pénétration, et faire moi-même les mouvements de va-et-vient. Je m’empalais follement sur sa queue, en retournant ma tête pour le regarder dans les yeux. Il essayait de suivre mon rythme en s’agrippant à mon cul. J’ai posé ma main sur la sienne, ses doigts étaient brûlants.

Stéphane s’est risqué à me toucher la pointe des tétons, qui étaient maintenant tout à fait accessibles. Je lui ai lancé un regard noir, un de ceux qui veulent dire « pas touche », chasse gardée. Il a retiré sa main comme s’il s’était brûlé, voyant que dorénavant je n’appartenais plus qu’à un seul homme : et c’était son pote.

Melchior a fini par m’appuyer sur les épaules pour que je lui sois complètement offerte. Ma tête reposait sur le canapé, ma joue était déformée par le tissu qui s’imprimait sur ma peau.

Je bavais presque, et Melchior ne ralentissait pas le rythme, bien au contraire. Je me demandais quelle vision devai ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Hétéro