Je venais d'avoir un accident de voiture en Allemagne, sans blessés heureusement, mais, la voiture bonne pour la casse, je prends le train de Paris pour rentrer chez moi dans le sud de la France. Autant profiter du voyage en bonne compagnie, je remarque un petit mec d'une vingtaine d'années seul dans un compartiment (j'en ai 40, mais les petits jeunes me font toujours fantasmer), je m'installe sur la banquette d'en face histoire de bien le mater...
Pas de chance, le mec a l'air innocent d'un hétéro pur et dur, il reste très concentré sur une lecture des plus sérieuses et ne fait absolument pas attention à moi. Arrivés à Strasbourg, un autre mec rentre dans le compartiment, un beau black de 20 ans à peine, mince, bien soigné, pas vraiment efféminé mais sa démarche comme son tee-shirt mode savamment déchiré ne laisse guère de doute à mon gaydar. Il a dû lui aussi remarquer le même mec, s'installe à la fenêtre en face de lui, je me dis que la concurrence va être rude ! Mais le jeune hétéro reste tout aussi imperturbable à ses attentions.
Le temps passant, je change de banquette pour me remettre dans le sens de la marche, et surtout pour pouvoir mieux mater le black... qui ne semble pas insensible à mon admiration. Devant le manque d'intérêt témoigné par notre hétéro il commence à me retourner quelques regards... Je me fais peut-être des idées, mais je veux en avoir le cœur net. Je me lève et pars en direction de la voiture bar, non sans lui avoir lancé une invitation du regard bien appuyée...
A peine cinq minutes après, je le vois me rejoindre au bar, avec un sourire entendu... nous entamons la conversation, il s'appelle Moussa*, il est Sénégalais, étudiant en tourisme, de toute évidence gay, et à ma grande surprise je ne semble pas le laisser indifférent... Ce serait dommage de s'en tenir à un coup vite fait dans l'exigüité des toilettes du train (quoique dans d'autres circonstances c'est bien excitant), je me dis que je pourrais prolonger mon passage à Paris pour faire plus ample connaissance. Dommage, il me dit que lui aussi ne fait que changer de gare pour prendre un train de nuit vers Briançon, où il va faire un stage... Qu'à cela ne tienne, rien ne me presse à rentrer, je vais l'accompagner !
Arrivés à la gare de Lyon, je prends comme lui une couchette, nous ne sommes pas seuls dans le compartiment assigné mais le train est à moitié vide et juste après le départ, nous nous installons seuls tous les deux dans le compartiment suivant. Rideaux fermés, porte verrouiller, nous pouvons enfin passer aux choses sérieuses... nous commençons une exploration mutuelle de nos corps par caresses de plus en plus hardies, il est très câlin ! A peine commencé, nous sommes interrompus par le contrôleur qui frappe à la porte pour vérifier nos billets. Il s'étonne que nous nous soyons trompés de place, mais, pas dupe, il comprend que nous voulions être tranquilles seuls dans le compartiment, qu'il nous aurait d'ailleurs affecté directement si on le lui avait demandé ! Non seulement nous pouvons rester, mais il s'assurera que les autres couchettes resteront vides... il nous souhaite bonne nuit avec un petit clin d'œil complice...
Rassurés, nous reprenons nos ébats et commençons à faire valser les vêtements les uns après les autres... je bande déjà comme un fou, après des heures à espérer ce moment ! Il vient à mon secours, délivre de mon boxer ma bite qui commençait à étouffer, sa langue commence à la lécher délicieusement, puis il l'enfourne tout entière dans sa bouche avec gourmandise... Je ne veut pas qu'il soit en reste, je vais à mon tour le mettre à l'aise, son pénis est curieusement plié en deux dans son slip, mais redressé il prend bientôt dans ma bouche une taille impressionnante !
Je m'occupe bientôt de son petit cul qui ne demande que ça. Je lui lèche la rondelle sous ses gémissements étouffé ...
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