Deux jours de travail au centre-ville, qui m’ont bien occupé, ont exacerbé le manque cruel de mon beau Rahim. Ses baisers, le goût de sa salive, la caresse de son abondante toison contre ma peau, les fragrances de sa transpiration légèrement acide, la saveur de son sperme, la chaleur de son sexe et la douceur au doigt de son anus vierge.
La chienne ayant été confiée à un dog-sitter, je n’ai eu aucune occasion de le voir, partant assez tôt le matin et rentrant à 18h00. Mais ce soir, en voyageant en tramway, tout en matant certains beaux mecs, mais moins bien virils que mon Rahim, je ne peux m’empêcher de penser à lui… En pénétrant dans le hall, je tente le coup et sonne à la loge.
Sa femme, vraiment magnifique, mais visiblement très jeune ouvre. Je remarque tout de suite sa magnifique poitrine plus qu’opulente. Mon Rahim doit en avoir plein les mains ! Il faut dire que s’il veut lui glisser sa queue énorme entre ses paires de loloches, il faut bien ça ! LOL ! Je rigole en pensant dans la tête à toutes ces images tout en discutant avec elle ! Car elle m’accueille avec un sourire bavard que je qualifierai de « commercial ».
« Bonsoir, Madame, je suis désolé de vous déranger à cette heure, mais j’aurai besoin que votre mari m’aide à déplacer certains meubles. Il est là ? »
« Non, il travaille à l’extérieur, mais dès son retour, je lui dirai de passer vous voir. »
« Oh, je ne voudrais surtout pas le déranger (hypocrite que je suis) s’il rentre, en plus, fatigué de son travail ! Il n’y a rien d’urgent. Cela peut se faire demain matin. »
« Non, non, je vous assure, il sera sûrement content de vous rendre service. Il arrive habituellement vers 19h00 / 20h00 »
« Non cela va faire trop tard ? Cela me gêne, vraiment… »
« Non, non, il viendra. »
« Un grand merci. Bonne soirée, Madame. »
Et je monte dans l’appartement. Je range un peu le bordel, douche complète et m’installe au salon, à poil dans ma robe de chambre.
Je temps passe. Je bous d’envie et bande déjà en pensant à lui… 19h00, rien. 20h00, rien, 21h00 toujours rien. Je me fais tout de même un sandwich rapide avec une bière. Merde il ne viendra plus ! 22h00. Les boules… Je vais regarder un bon porno en me branlant et en pensant à lui.
Je m’installe.
22h30. Sonnette ! Merde, ce ne peut plus être lui à cette heure et je ne suis pas dans un état très présentable.
Dans le mouchard, j’aperçois le visage sérieux de mon Rahim. Une onde de bonheur m’envahit. Je le fais entrer et ferme la porte à clé derrière.
« Putain, je suis furax ! Ma femme vient de me prévenir que maintenant. Elle avait oublié ton message. On a mangé et elle vient juste de me le rappeler. Excuse-moi, Pierre, si j’avais su… »
« Ce n’est pas grave mon beau Rahim, le principal est que tu sois là, non ? »
« Oui, mais je ne vais pas pouvoir rester trop longtemps… »
« Pas dramatique, je vais avoir tout de même le temps de te faire une petite gâterie non ? »
Il me sourit… Si gentiment… Je craque.
Je le plaque au mur et avale sa bouche et sa langue sauvagement. Une main va chercher par l’élastique de son slip sa belle queue, qui est encore toute molle et que je perçois avec surprise moite, mais que je sens bien vite grossir. Mon autre main va chercher ses fesses. Il me l’ôte brusquement.
« Non, je suis pas propre »
Je lui sors un « Pas grave, je ne veux pas lécher ton anus ! »
« Non, non, j’aime pas quand je suis comme ça. »
Je me résous donc à le lécher de partout, mais de face. Effectivement il n’a visiblement pas encore pris sa douche et les bouquets que je perçois de sa journée de travail n’en sont que meilleurs ! J’ai l’impression de venir complètement fou, mon subconscient chauffé à mort ! Je lèche avidement et abondamment l’épaisse toison de ses aisselles dans lesquelles j’enfouis mon nez pour encore mieux humer les senteurs de l’intérieur de son tee-shirt imbibé de ses mouvements de l’après-midi. J’ai des petites touffes de ses poils dans la bouche, mais je m’en fous, je les recrache au fur et à mesure.
Il rigole et me dis : « mais t’es devenu complètement fou ? Qu’est-ce qui t’arrive. Arrête, tu me chatouilles ! »
« Tu me rends dingue, Rahim, tu m’as tellement manqué et j’ai pensé tout le temps à toi ! »
Je mordille ses tétons tout en broyant son sexe que je sens terriblement dur, ses couilles remontant doucement. Lui lèche tout le torse. Je lui remords les seins jusqu’à ce qu’il crie « Aie ! » en se tordant un peu. C’est bon, je connaitrai maintenant la limite de sa douleur pour la suite. Mais visiblement, à la réaction de sa queue, il adore qu’on les lui suce.
Par gentillesse, car je sais que ce n’est pas son trip, il me caresse mon sexe et mes couilles.
Complétement excité, je descends lui bouffer le nombril, que je découvre très protubérant, le faisant éclater de rire.
« Mais arrête ! tu es fou ! »
« Oui, Rahim, je suis fou de toi, de ton odeur, de tes poils, de ton sexe, de toi quoi ! »
Tout en lui titillant très fort les tétons, je descends vers son pubis, où un très léger relent d’urine imprégnant encore sa touffe m’excite encore plus. J’y enfouis mes narines profondément. Quel nirvana ! Il faudra que je lui demande absolument de ne pas se laver avant de venir me voir, sauf le cul.
Fou d’excitation j’avale son gland dilaté et complètement décalotté maintenant. Je ressens tout de suite le goût d’un reliquat d’une tenace odeur de sperme !
« Mais tu as déjà joui mon salaud ! »
« Oui, j’ai baisé ma femme en arrivant du travail et j’ai même pas eu le temps de me laver après ; je te l’ai dit ! »
Je retire sa queue de ma bouche pour mieux admirer son énorme gland rouge sang. Il est gonflé à mort, je remarque un frein épais et de grosses veinules strient son magnifique vit.
« Tu l’as baisé en arrivant du travail ? Comme ça ? Directement ?
« Oui, sur la table de la cuisine. Je le fais souvent. J’exige qu’elle ne porte jamais de c ...

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