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GENEVE A NOUVEAU (QUINTO)

Publié par : pierre49590 le 14/04/2023

Mais dès le lendemain, je le croise à nouveau dans le hall. Il a l’air vraiment content de me voir. Cela me ravit et me flatte.
Toujours dans son bleu de travail. Je lui montre sa bosse, en rigolant : « Alors ? Toujours sans caleçon ? »
A voix basse « Non tu m’as convaincu ! c’est bien plus agréable, cela fait plein de nouvelles sensations. Et je m’en fous que ma femme râle. J’aime bien nos moments » me répond-il simplement ; ce qui me va droit au cœur. C’est simple, franc et presque pudique.
Je continue à voix basse en rigolant toujours : « et on peut passer un autre de ces moments au local poubelles aujourd’hui ? »
« Non, c’est trop risqué. Y a ma femme et les locataires, on ne sait jamais. » Il me semble un peu dépité.
« Tu peux être libre quand ? »
« Oh, moi à dix heures, j’ai terminé. Ma femme me laisse tranquille parce, qu’après, je travaille jusqu’au soir avec mes livraisons ! »
Je réfléchis un instant. « Eh bien, pourquoi tu ne viens pas chez moi, je suis seul jusqu’au retour de mes amis ce soir ? Là on ne risque rien ? »
« Ici ? Dans l’immeuble ? » Il semble réfléchir, interrogatif.
« Et pourquoi pas ? Personne ne peut nous surprendre là ! »
Il réfléchit à nouveau. Je le trouve encore plus magnifique dans cette attitude, avec ces lourds sourcils froncés.
« Bon d’accord. Mais comment te prévenir ?»
« Ben, je laisserai la porte non fermée avec les clés derrière. Tu rentres discrètement et tu refermes à clé la porte juste derrière toi. Tu connais l’appartement ? »
« Bien sûr, le 1-B, au premier ! Bon c’est ok. J’arrive à dix heures ? »
« Ok, à plus. A dix heures précises, je compte sur toi. »
Et je sors pour la balade.
Retour à neuf heures, j’ai largement le temps. La femme de ménage vient de passer, l’appartement est nickel. Douche complète. Je ferme toutes les fenêtre et rideaux pour plus d’intimité. Mis en place des brûleurs d’encens (j’adore ça). On va baiser dans la salle de bain. Je prépare un chemin de bougies au sol qui y mène. Éclairage bougies également dans la salle de bain. Tant pis pour la VMC et la vapeur. Je lui veux une ambiance d’intimité.
9h40, je remplis l’immense baignoire (2,2 m de long tout de même !) de sels et d’huiles de bain.
9h55, je m’immerge dans le nuage de mousse aux délicieuses effluves. Et je l’attends…
J’entends un bruit de clés, je regarde la pendule de la salle de bain. Dix heures pile !
Un murmure : « T’es là ? »
« Non, je suis au garage ». J’éclate de rire. « Suis les bougies au sol. »
Et je vois son visage illuminé apparaitre par l’embrasure de la porte.
« Putain ! C’est génial ! C’est toi qui a fait toute cette mise en scène ? »
« Non, c’est le Pape ! »
« Oh merde ! La taille de la baignoire ! »
« Allez déshabille toi ! Pose tes fringues sur le valet, là, et viens vite me rejoindre. J’ai hâte qu’on se respire le cœur. »
Je profite du magnifique spectacle d’un strip-tease à la douce lueur des bougies : le jeu de son corps souple, ses muscles qui roulent, ses abdominaux, sa bite apparaissant au fur et à mesure du lent tombé de la salopette, les chaussettes jetées virilement au loin comme dans un film…
Il me regarde sûr de lui, les mains sur les hanches, complètement à poil, les jambes fuselées et musclées légèrement écartées et son beau sexe pendant au milieu . Il m’assène avec assurance : « Je crois que c’est comme ça que tu me préfères, non ? »
« Magnifique mon Rahim. Mais au risque de te surprendre, je te préfère en vêtements plus suggestifs, qui me laissent imaginer tes formes. Mais assez parlé, viens me rejoindre. »
« Putain ! Quelle organisation ! Dommage que je puisse pas faire la même chose avec ma femme ! »
« Oui, mais je te rappelle qu’avec elle tu ne fais pas les mêmes choses qu’avec moi ! »
Il éclate de rire. « C’est vrai, tu as raison ! » et enjambe dans la foulée la baignoire. « On se met comment ? »
Comme je suis sur le dos allongé, je lui réponds : « viens t’allonger au-dessus de moi, le dos contre mon ventre. »
Il s’exécute. « Putain, on peut presque y nager dans ce bassin ! Quelle mousse ! Quels parfums ! »
Aussitôt, je le colle à moi, ses fesses presque contre mon nombril puisqu’il est tout de même plus petit que moi. Il se détend et s’allonge complètement, la tête posée dans l’encoignure de mon cou. Je plaque ma main droite sur son torse et la gauche sur son pubis. Je sens toute sa chaleur contre ma peau. Quel pied !
« Ferme les yeux, Rahim, tais-toi, respire profondément et tu découvriras qu’on peut s’écouter nos cœurs. »
En dépit du placement précis de ma main gauche, je le sens se détendre encore plus et respirer profondément, et de plus en plus lentement.
« Qu’est-ce qu’on est bien comme ça ! »
« Chut, ne parle pas et essaie de ressentir nos vibrations à travers nos peaux. »
C’est tout simplement divin et je suis aux anges. Complètement détendu, je perçois son corps dans toute sa profondeur. Bien sûr je ne peux m’empêcher de bander comme un fou. Je m’amuse à dessiner avec mes doigts les lignes de ses compacts pectoraux et joue à titiller les abondants poils frisés de son pubis. Le temps passe
Puis, à un moment, il rigole.
« Pourquoi tu rigoles ? »
« Pour l’instant, je sens surtout comme vibrations ton sexe dur qui frétille contre mes fesses ! » Content de sa blague il se tord de rire. La contraction de ses abdominaux sous ma main m’excite encore plus. Et je suis content qu’il en soit à la plaisanterie, signe qu’il se décoince complètement.
Je lui prends sa grosse bite déjà bien dure que je décalotte d’un seul coup pour la broyer très fort et lui tourne la tête pour l’embrasser fougueusement. Il y répond avec gourmandise. Que de progrès ! Puis il se retourne, se plaque contre moi et commence une série de reptations du bassin pour mieux frotter son vit contre mon ventre comme un jeune chien, tout en me farfouillant la langue profondément.
« C’est bon ? »
« Le pied ! Mais là je vais jouir ! Je suis trop excité à me frotter contre toi. »
« Et bien jouis, mon bel amant ! »
Il accélère la cadence, je sens son souffle s’activer, il me mort la langue maintenant ! Je retrouve dans sa respiration haletante le goût des épices orientales que j’avais déjà remarqué lors de nos premiers baisers. En dépit du clair-obscur des bougies, je distingue nettement ses pupilles brillantes se dilater, puis vient l’extase qu’il me gueule carrément dans ma bouche qu’il ne veut plus lâcher, échangeant nos salives abondantes. Avec mes bras qui enserraient ses fesses, je les reporte alors sur son dos et le plaque très fort contre mon torse, comme si je voulais l’écraser contre mon corps, tellement je suis comblé.
« Attends, tu m’écrases là, je vais étouffer ! »
« Ça avait l’air drôlement bon, dis donc ! »
Putain, c’était génial. Toute ta mise en scène m’a terriblement excité ! j’ai joui très fort en imaginant que tu me suçais. »
« Mais ça peut se refaire… »
Il sourit. « Attends que je reprenne un peu de force tout de même… »
Et ma réponse vient naturellement « En as-tu vraiment besoin ? »
Il éclate de rire. Quel bonheur la joie et la spontanéité de cette jeunesse !
« Allez, reviens contre moi, je vais te câliner. »
Il vient se relover tendrement contre moi, puisqu’il est assouvi maintenant, du moins c’est ce que j’en déduis…
« C’est vraiment génial comme idée ta mise en scène. »
« Je suis content que ça te plaise. Mais désolé, pas possible pour ta femme. Mais tu n’as pas besoin de ça non ? Elle doit te rendre heureux sexuellement. »
« Oui, j’adore faire l’amour avec elle ! On fait ça tous les soirs et tous les matins, sauf pendant ses règles. »
« Tu fais ça tous les soirs et tous les matins ? »
« Ben oui, quoi ? Et même parfois encore en pleine nuit si je me réveille en bandant !»
« Et quand tu as joui deux fois de suite l’autre fois avec moi tu avais déjà joui au réveil ?
« Si je te le dis ! »
Je lui réponds : « Ben dit donc, tu es un sacré gaillard ! » tout en lui caressant le sexe qui est déjà dur…
« Et elle suce aussi bien que moi ? »
« Mais tu es fou ? Jamais ! »
« Elle n’aime pas ça ? »
« Elle refuse absolument. Mon gland mouillé l’écœure et mon sperme la dégoutte. C’est pour ça que j’adore tout ce que tu me fais. »
Eh bien mon vieux, tu n’as pas de chance alors. Mais tu t’es déjà fait sucer par quelqu’un avant moi ? »
« Jamais ! On s’est marié très jeunes ; ce sont nos parents qui ont tout arrangé. »
« Tu n’avais jamais eu d’autres expériences sexuelles avant elle ? »
« Non, jamais, je te le jure ! »
« Pas de sodomisation alors non plus je suppose ? »
« Mais tu es fou ! Cela ne se fait pas entre mari et femme ! »
« Et la levrette ? »
« Comme les chiens ? » me répond-il avec une moue de dégoût.
« Ah !!!!! Décidemment, tu as beaucoup à apprendre mon beau Rahim. »
Et de me répondre le front un peu buté : « Moi, je sais ce que je sais… »
« Tu as pourtant bien aimé que je te suce… Tu vois que toute nouveauté peut se révéler bonne à prendre, non ? »
Il se tait mais me sourit tendrement. Je le reprends contre moi et recommence à caresser tout son corps, car j’ai bien compris qu’il adorait qu’on s’occupe de lui.
J’y vais lentement, faisant monter progressivement le désir chez cet homme jeune que je commence à mieux maitriser. Je le branle lentement, m’arrêtant quand je le sens trop tendu, caresse sa poitrine velue et commence à lui titiller les tétons tout en l’embrassant voluptueusement.
« Hum… »

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Mots-clés : Gay, Branle, Fellation, Jeunes, Odeurs, Maghrebin(s)