Près de chez moi, il y a un petit garage de quartier comme on en voit plus. Le propriétaire est un vrai ours vicelard : baskets montantes, chaussettes montantes, salopette de mécano toujours légèrement ouverte pour montrer son superbe torse poilu, une bonne gueule virile avec barbe courte et moustache, et une casquette vissée sur la tête. Un sourire charmeur mais bien vicieux, des yeux de braise et de grandes mains.
Un jour il me voit passer devant son garage en basket, des chaussettes avec un logo « BOTTOM », une combinaison lycra moulante, doudoune sans manche, casquette et petit sac à dos. Il se tenait debout devant un capot de voiture ouvert, et il m'a maté tout en se mettant la main au paquet. J'avoue que son look et sa pose suggestive m'ont excité un maximum. Il me fait signe de m'approcher :

- « Salut, tu vas où habillé comme ça ? Si tu as besoin d'une bonne révision tu pourrais passer au garage dans l'après-midi, j'ai un local aménagé. Viens équipé avec ta caisse à outils. J'ai très envie de m'occuper de toi. »

Ce fut très direct mais super excitant, alors comme prévu, je repasse au garage. Je me suis looké et préparé en conséquence : à poil dans une combinaison lycra orange avec une fermeture à glissière blanche au cul, la bite encagée pour montrer que je suis bien à utiliser, ma doudoune assortie bleu-orange sans manche et mon petit sac à dos avec un peu de matos : cagoule, bâillon et gode.

- « Putain mec, tu m’excites un max en lycra comme ça. Allez, va au fond dans le local, y’a un matelas, attends moi là-bas à genoux. »

En effet, il y a un local avec un matelas par terre, une table massive et un fauteuil. Je pose mon sac, enlève casquette et doudoune, et j’attends à genoux. Je l’entends parler au téléphone, mais je ne distingue pas ce qu’il dit, il arrive au local :

- « Ok alors viens » et il raccroche.
- « Alors ma pute, tu es venue pour une révision à ce que je vois ! On va t’arranger ça tu vas voir. »

Il s’approche de moi, descend la fermeture à glissière de sa salopette. Je vois son torse velu et je découvre un gros pacson moulé dans un maillot de bain bleu. Il me colle direct la tête contre son pacson :

- « Allez ma salope, vas-y sniffe bien et lèche moi bien la bite au travers du maillot de bain en lycra. C’est bien pour ça que tu es venu, hein ! Te faire démonter par de la vraie bite de mâle. »

Très vite sa bite massive et bien épaisse gonfle et déforme le maillot pour faire apparaître une belle poutre de mâle bien épaisse, je suis très excité à l’idée de voir cette belle bite.

- « Allez ma pute, assez joué. Passe-moi ton sac. J’espère que tu as bien pris ce qu’il faut ! »

Il fouille dans le sac et il a l’air satisfait. Il prend la cagoule aveugle en néoprène, me l’enfile sur la tête, vérifie que je n’y vois rien, que l’ouverture met bien ma bouche en valeur et il verrouille la fermeture pour qu’on ne puisse pas l’enlever avant de dire :

- « Tu en as assez vu ma salope, tu ne pensais pas que tu pourrais mater ma bite et le reste. Maintenant tu es ma poupée gonflable en lycra et tu es à moi. »

Il me prend la tête à deux mains et la dirige vers son gland qui dépasse de son maillot de bain pour bien se le faire lécher. Puis il baisse son slip de bain pour me faire sucer doucement sa bite pour bien m’ouvrir la bouche en douceur et en profondeur. Putain sa bite est super bonne à téter, il a le gland bien gros et rond qui me remplit bien la bouche. Alors que je suis excité par sa bite en bouche, il me fout une de ses chaussettes gluantes dans la bouche à sucer pour me bâillonner et m’attache une de ses baskets comme un masque sur le nez avec les lacets pour bien me gazer avec ses odeurs de panards.

Il me fait me lever et pencher en avant sur la table ; je suis le torse collé sur la table, la tête et le cul totalement à disposition. Il ouvre le zip de ma combinaison en lycra et il m’enfonce direct un de ses gros doigts lubrifié dans mon trou de salope. Il prend un gode dans mon sac et il me ramone un peu avec pour bien me chauffer le conduit qui s’assouplit et s’élargit. Le gode est bien à fond, et il décu ...

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