Le weekend de la Toussaint, mes parents invitent la famille de Patrick à Rieumes.
On y va samedi matin, parce qu'il fait un peu frais et qu'il vaut mieux chauffer la maison avant d'y passer la nuit.
Je préviens mon ami de prévoir maillot de bain ou short et une grande serviette.
La piscine est un peu sale.
J'insiste à peine et mon père lance le filtrage et le chauffage de l'eau.
On aide un peu avec l'espèce d'épuisette.
Nous sommes jeunes, peu frileux ou inconscients, la piscine à peu près propre, nous nous jetons à l'eau.
Flo n'a rien prévu mais elle veut se baigner.
- A ton âge t'as rien à cacher!
Une petite culotte et une poitrine plate comme une planche à repasser.
L'heure de passer à table. Tant qu'on est dans l'eau, ça va. En dehors, on n'a plus rien dans le maillot, comme les cornes d'escargots, tu les touches elles s'enfoncent.
Il fait beau mais un peu frais. On se réchauffe vite et on mange tranquillement.
Au digeot, je me tape une bière devant l'air étonné des parents de Patrick.
Mon père avait mis la radio, Sud radio ou RTL, je ne sais plus.
Au moment où passe : je vais t'aimer de Sardou, il demande le silence puis invite ma mère à danser.
Je fixe du regard Patrick, comme si c'était moi qui chantais pour lui.
Ses parents prennent exemple sur mes parents, et ce couillon m'invite à danser.
- dégage, connard !
Déjà, je ne savais pas danser, même un slow.
- Ah ! Tu m'aimes pas?
- dégage!
Dans l'après midi, on pique quelques têtes et Flo finit par attraper froid et chopper un rhume.
Son père file à la pharmacie avant qu'elle ne ferme pour ramener des médicaments.
La nuit venue, ses parents prennent le canapé convertible ( on sait recevoir), la sœur de Patrick dans ma chambre, et les garçons sur le grand matelas, à côté de ses parents.
Un peu trop près, merde!
Il serait temps de penser à agrandir la maison et faire une chambre d'amis.
On reste sages..... Juste quelques touchers discrets.
Au matin, p'tit dej sur la terrasse. Mais Flo a un sacré rhume.
Patrick n'arrête pas de la câliner et la serrer dans ses bras.
Fini la piscine pour elle, juste les pieds, les fesses sur le rebord.
A quelques reprises, on va lui tenir compagnie, le corps dans l'eau.
Puisque personne ne peut nous voir, je glisse à chaque fois la main dans le maillot pour tâter les fesses de Patrick qui ne réagit pas.
- attends demain, on pourra s'amuser.
Une idée me vient.
- papa, je peux rester pour les vacances (de la Toussaint) avec Patrick?
Une longue bataille s'engage à 2 contre 4.
- et Flo, on va pas la laisser toute seule, malade.
- maman, je m'en occupe!
Connard! Elle va être de trop !
Ils finissent par accepter à condition de les prévenir au moindre problème.
Pour le linge de change, l'huile de coude !
On mange le soir, on nous laisse un peu d'argent pour les courses et au pire, on fait une ardoise qu'ils payeront le weekend d'après.
A peine Flo endormie, on se rattrape dans le salon, sur le matelas.
Au petit matin, je me réveille en érection, avec Patrick endormi contre moi, à poil.
Un peu de salive, et je lui monte dessus. A peine son intimité effleurée il se réveille.
Quelques coups de lime.
- j'ai faim !
Je me raidis et je vois Flo sur le canapé, juste à côté.
Je me retire gêné en nous couvrant avec la couverture.
Il remet vite son short et se lève pour préparer le bol de chocolat au lait à sa petite sœur.
Il l'installe de façon qu'elle nous tourne le dos.
- quand tu as fini, tu m'appelles sans bouger de là !
Il revient sous la couverture et enlève son short.
Le canapé nous cache. Je replante mon dard et je le nique en jetant un œil.
Je suis trop en manque, je ne tiens pas 2 minutes.
A son tour. Il ne tient pas plus longtemps,
Il reste sur mon dos quelques minutes.
- j'ai fini!
Je lève la tête, elle est juste devant moi ! Son frère sur mon dos.
Il se lève d'un coup sec.
- mais je t'ai dit de m'appeler quand t'as fini.
Il met le bol dans l'évier, essuie la table, nu comme un ver.
Il revient ...

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